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Terre des Éléments

Noeleroi

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Tout ce qui a été posté par Noeleroi

  1. Période Laboria, le 11: Dans le pays lointain d'où je viens, une coutume veut que l'on fête les mères un certain jour. Le calendrier d'ici est similaire à celui de là-bas, et, aujourd'hui, nous sommes ce fameux jour! Alors, je décidai d'offrir un joli cadeau à ma maman! Comme une jolie bombe! Elle sera sûrement ravie! Et donc, quand je la vis, je lui tendais ma jolie bombe, attendant avec impatiente le ravissement qui ne manquerait pas d'apparaître sur son visage! << - Je n'en veux pas de tes bombes, vautour liquéfié! Fiche-moi la paix, je ne suis PAS ta mère, j'en ai assez de ta voix suraigüe, va empoisonner la vie de quelqu'un d'autre, ou je te maudis et envoie des esprits te hanter et te tuer, sale petit moineau hideux!>> ... Elle ne voulait pas de ma bombe... Mais j'avais un plan F! Pour une jeune femme sensible, aimable, attentionnée, qui a le cœur ouvert aux merveilles de ce monde (oui, c'est vrai, elle veut le détruire pour en refaire un autre, mais...) et qui sait apprécier ce qui est beau et poétique... Quoi de plus approprié que des fleurs? Après de longues recherches, j'avais réussi à réunir plein de fleurs! Certains monstres m'en ont donné contre des câlins (les cactus aussi... et ce n'était pas désagréable... au contraire... leurs milliers de piques me traversant le corps... Hum... En même temps, ce côté de ma personnalité n'est pas un mystère, sinon, cela ferait belle lurette que je fuirais les Sentinelles au lieu de tenter de les câliner *-*) J'en trouvé d'autres par terre, sans doute délaissées par des aventuriers n'en ayant plus besoin. Mais... il me fallait de quoi les faire tenir ensemble! Mais déjà, une idée me vint. << - Coucou, Jardi la chatte noire! Tu aurais des jolies fleurs? Et des cordes toutes vertes? Les frib... fird... firbes de zut! C'est pour faire quelque chose de joli! Sieuplé! Sieuplésieuplésieuplé!>> Me toisant d'abord d'un air interrogateur, Enya accepta finalement de me céder quelques plantes, dont les firtes de zut. Je la câlinai tendrement pour la remercier, puis m'en allai. Hé hé hé...! Voilà, j'avais tout! Je me dirigeai vers la coquille des Sentinelle pour offrir le bouquet à Malexane, quand je vis, sur un cactus, un joli bandeau. Chouette! Ca rendra le bouquet plus joli, si il recouvre les fibres de jutes, qui ne sont pas très jolies! *toc toc toc* ... ... *TOC TOC TOC* ... *ffffssssshhhhh* Encore une fois, ils ne m'avaient pas entendu! Sacrés Sentinelles! Et, encore une fois, je décidai d'allumer une bombe pour les faire sortir! Et Malexane sortit... << - Tu n'en rates vraiment pas une! Dès que tu peux m'énerver, tu prends ton rôle très à cœur! Je t'ai déjà dit cent fois de ne pas faire exploser tes mauditesbombes! Recommence encore une fois et je demande à chaque Sentinelle de te faire du mal jusqu'à ce que tu ne m'appelles plus maman!>> L'idée me séduisit tout de suite, confirmant par là même ce que je sous-entendais plus haut, mais j'avais plus important à faire. Les yeux étincelants, un sourire ravi au lèvre, je lui tendis soudain mon beau bouquet! Comme elle allait être heureuse! Il semblait évident que sa colère se calmerait tout de suite! Elle recula soudain, comme effrayé, jeta le bouquet à terre, l'écrasa du pied et dit << -Mais c'est quoi, ça? Tu t'imaginais que j'allais apprécier ces horribles fleurs? Ne m'offre rien et va jouer dans ton bac à sable, tu commences vraiment à m'agacer!>> Et elle ferma la porte de la coquille dans un fracas terrible. ... Elle ne trouvait pas mon bouquet beau... Celui dans lequel j'avais mis tout mon cœur... Allons, haut les cœurs! J'en ferai un encore plus beau et, cette fois, elle sera ravie! A nouveau, longue fut ma quête; je parcourus ruines, plaines, désert et forêt en quête de fleurs, câlinant les plus fortes des bêtes, frôlant la mort plusieurs fois, mais sans jamais baisser les bras. Je ne connaissais pas le mot abandon. Mais plus que du courage, c'était juste que j'étais trop mono-obsessionnel et stupide pour cela... Et, ainsi, à nouveau, je fis un magnifique bouquet, lié à nouveau par des Filles de Zut recouverte d'un foulard (que je trouvai sur un monsieur déguisé en squelette. Son déguisement était très bien fait, mais même moi, je sais que les squelettes, ça bouge pas!). Comme elle allait être ravie! Quel bonheur se lirait sur son visage en recevant le bouquet! Mais il fallait qu'elle ouvre. Et pour cela... *pppppssssscccchhhhh*
  2. Noeleroi

    Coupe du Monde

    mais, heu... c'est rien... heu, je veux dire... "ne sait plus où se mettre" Bien que n'étant pas sportif, j'ai en général un certain respect pour le sport... quand il est fait selon les règles de l'art. Et, il faut bien l'avouer, le footballeur moyen manque cruellement de fair-play. Bha, touchons du bois pour que ça se passe bien cette année!
  3. Je rejoindrai volontiers l'avis d'Irenea de fermer un temps le sujet: les admins et les joueurs ont leur amour-propre, et celui-ci, que ce soit ou non la chose à faire, les empêchera, pour les admins, de céder et de démettre Guix, annuler le ban et se répandre en excuses, et, pour les joueurs, de lâcher l'affaire sans rien dire. Un temps de repos pourrait laisser les deux partis réfléchir sereinement au sujet, oubliant -je l'espère- les insultes et autres agressions pour se concentrer sur les arguments avancés, afin de reconsidérer leur position et trouver la solution qu'il trouve la plus juste. Malheureusement, le fait est que, pendant ce temps, Enya est pénalisée (en partant du principe que le ban sera annulé), et toujours dans l'incompréhension totale... Néanmoins, un sujet fermé n'empêche pas un admin de poster (sauf erreur): Guix, s'il veut soit annuler le ban, soit expliquer la raison d'une telle sanction, pourra toujours le faire. Mais fermer le sujet n'aurait-il pas pour seul conséquence de déplacer le débat en MP ou, pire, sur la criaillerie, où le débat en temps réel fait monter bien plus vite la tension et où la rapidité d'écriture poussera certains à ne pas se relire et donc à ne pas atténuer l'agressivité de leurs messages? Et, bien entendu, cela pourrirait la criaillerie... Personnellement, je ne sais pas du tout quelle est la bonne solution concernant le fermement temporaire.
  4. Noeleroi

    Coupe du Monde

    Merci, c'est l'année de ma naissance
  5. Ne nous éloignons pas du sujet: nous parlons ici du ban d'Enya, et non de l'élévation de Guix au rang d'admin. Pour ce dernier point, il ne concerne que les admins, et eux-seuls pourront juger avec le temps si Guix est ou n'est pas digne de sa fonction. Il serait même anormal qu'ils démettent Guix de sa fonction pour échapper à la pression des joueurs (de plus, le manque de neutralité dû aux liens créé va dans les deux sens...) Pour revenir au sujet, le problème ne vient pas de la confiance que nous avons en Enya, mais bien de l'absence d'explications claires. Pourquoi Guix reste-t-il si vague s' il a une bonne raison de bannir?
  6. Même pas forcément une preuve. Juste une vraie explication.
  7. Noeleroi

    Coupe du Monde

    Bha, quand tu cours, tu prend une radio avec toi °o° (j'y connais rien au foot aussi =p)
  8. Je me trompe peut-être, mais là, j'ai l'impression que c'est juste pour faire un exemple -gratuit, qui plus est. '' vous voyez? On banni qui on veut, quand on veut, pour la raison que l'on veut et la durée que l'on veut, alors ne dites plus une parole qui nnous déplairait, sinon...'' Théoriquement, c'est votre jeu, vous faites ce que vous voulez. Mais, moralement, il en va autrement. Enya a contribué à mettre de la vie dans votre jeu, et la jeter ainsi comme une malpropre sans explications, presque par caprice, ce n'est ni juste, ni responsable. Surtout que, comme dit précédemment, si Enya a eu parfois le verbe dur, elle en a accepté les conséquences, et n'a plus rien fait de mal depuis. Bref, cela n'est pas de la justice, mais un étalage de pouvoir gratuit et absurde. Du moins, c'est le ressenti actuel; s' il y a une explication, que Enya, au moins, l'aie
  9. Le problème, c'est que dès le moment où il a accepté d'être admin, il doit tenir ce rôle au mieux. Décourageant ou non, il est anormal de bannir quelqu'un sans explication: c'est un abus de pouvoir, ni plus, ni moins. (néanmoins, loin de moi l'idée de minimiser la reconnaissance du au admins pour leur bon boulot) Bref, pour ma part, je rejoins la demande de Kallen: qu'au minimum, Enya soit informée de la raison du ban.
  10. Noeleroi

    Coupe du Monde

    Moi, je dis, allez les arbitres! Vous allez la gagner, cette coupe!
  11. Chouette,merci ^^ PS: tout le monde est intime de moi °o°
  12. Je me suis aussi présenté,, je mettrai le lien dès que possible
  13. Période Pluvia, le 10. Heure solaire : 10h00 Cela faisait plus de dix jours, à présent. J'étais affalé à un bar, buvant bière sur bière, dans l'espoir d'oublier, de fuir ces souvenirs... Ma vie était devenue un enfer. De jour, les aventuriers me harcelaient en quête de précisions sur ce que j'avais vu. De nuit, impossible de m'endormir sans me réveiller en sueur, car sans cesse se rejouait ce spectacle lugubre, dans mes cauchemars. Maudit soit ce jour où je tombai sur cette effrayante compagnie... Des parodies d'humains au nombre de membres aléatoires marchant, mené par... un monstre ailé. A l'instant où je le vis, une onde glacée me traversa le dos et me tétanisa. Depuis, impossible de me remémorer cette scène sans trembler et avoir envie de vomir. Et cette histoire, de jour comme de nuit, j'étais forcé de la revivre... Ces maudits aventuriers savaient être persuasifs. Et, quand on parlait du loup... Un petit être marcha jusqu'à moi, affublé comme un épouvantail vert, et, d'une petite voix aigüe qui perce les tympans(*), il tenta de me tirer les vers du nez. Mais cette fois, j'étais décidé à les laisser tomber, qu'importe leur réaction. << - Bonjour, monsieur! Comment allez-vous?>> ... << - Mais... faut pas m'ignorer, comme ça! C'est pas poli du tout! >> Soudain, cette bruyante petite chose prit mon verre << - Puis, il faut pas boire ça, d'abord! C'est pas bien, après, on voit double, et on fait plein de bêtises!>> Je fus bien obligé de cesser de l'ignorer, afin de récupérer mon bien. << - Ecoute, insupportable bestiole, tu vas me rendre ce verre tout de suite. - D'accord, mais alors, tu m'explique tout!>> Ce petit air innocent cachait en vérité un esprit retord, semblerait-il... mais je dus céder, et lui raconta tout... Et, à nouveau, la peur me serra le cœur, et ma voix, pendant mon récit, se brisa. << - Allons, monsieur, il faut pas être triste! Je vais aller les gronder, les méchants qui te font peur! Et puis, je suis certain qu'en faite, ils sont gentils! Aller, pour plus que tu ais peur, je vais te faire un câlin!>> Et la petite chose de me serrer dans ses bras... Etrangement, c'eut l'effet estompé; mes tremblements se calmèrent, et mon cœur s'apaisa... << - Maintenant, rend-moi mon verre, petit bonhomme - D'accord, mais plus trop de la colle, d'accord?>> Je comptais aller à ce fameux temple, car j'avais entendu des rumeurs à ce propos, disant que l'Architecte y serait. Et je devais absolument le revoir... Parce que je devais m'excuser! Le pauvre, il avait organisé toute une fête, avec même un gros ballon, et tout le monde vint et s'amusa bien... Mais moi, je savais pas! Et j'ai pas été à sa fête... Sans même prévenir. Donc, il fallait absolument que je m'excuse. J'étais dans les ruines que le monsieur avait nommé, quand je vis... Un trou! Peut-être la grotte d'un ours? J'adore les ours! C'est tout doux! Il faut que j'aille le câliner! J'avais alors déjà oublié ma mission... Mais le trou était un tunnel, et je ressortis de l'autre côté après quelques minutes. Une jolie maison! C'était peut-être celle de ce grand fêtard d'Architecte! J'y allai, et frappai à la porte. Pas de réponse... Décidément, depuis ma visite chez les Sentinelles, ça devenait une manie de ne pas m'ouvrir! Sauf qu'on arrête pas un Noé comme cela, sapristi! Quelques bombes feront sauter cette porte! Hé hé hé...HAHAHAHAHA! MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA! ... Sauf que Tapate, elle dit tout le temps qu'il faut pas casser les coquilles des gens... tant pis... Comme j'avais soif d'avoir tant ri, je me dirigeai vers le seul point d'eau de l'endroit pour boire. En voyant soudain un poisson sauté à la surface de l'eau, l'envie de taquiner la sardine me vint... J'attendis cinq longues secondes, puis sautai sur la poiscaille pour lui faire un câlin! Et, sous la pression tendre de mes bras, le poisson recracha une jolie clé, que je saisis au vol, lâchant le poisson qui retourna dans l'eau, sûrement empli d'un sentiment de bien-être et d'amour grâce à mon câlin... Quant à moi, j'éternuai soudain; le bain forcé quand je tentai d'attraper le poisson m'avait rendu malade, apparemment... La clé servait sûrement à ouvrir la porte de la maison! J'y courus, et tentai d'insérer la clé. ... Sauf qu'il n'y avait pas de serrure. Diantre! Laissant échapper ma frustration, je dis, nasillard car enrhumé: << - Tu Bar-les d'une Borte! Même B-ATCHOUM de serr...>> Et la porte s'ouvrit. Il faisait drôlement sombre, dans cette maison... << - Il y a GuelGu'uuuuuuuuuuuuun ATCHOUM?>> Un rugissement me répondit, et un monstre me sauta soudain dessus! Mais mes réflexes étaient comme l'éclair: déjà, mes bras s'ouvraient pour faire un câlin à cette grosse boule de poil! La bête, surprise, en oublia de me mordre et, emporté par son élan, nous tombâmes et roulâmes sur le sol -pas très propre, soi dit en passant. L'affaire aurait été amusante si, ayant oublié de refermer sa gueule, la bête ne s'était cogné l'incisive contre le sol! Le choc fut tel que celle-ci se sépara de la mâchoire! Et la bête hurla de douleur, avant de s'enfuir. Il fallait la soigner! Je ramassai la dent et poursuivi la bête... Elle passa entre des caisses en bois et une grille... et fut bloqué; je bloquais la seule issue. << - Tu es perdu, miséra-TCHOUM!! Hahahaha! Je vais te soigner, de gré ou de forc-ATCHOUM!>> Mais l'animal sauta sur une étagère, rebondit et sauta par dessus les caisses, fuyant tel l'éclair! Une coupe tomba du meuble, et je m'en saisis. Il y avait des choses écrites, mais... je ne savais pas lire! J'allai demander assistance auprès de l'aubergiste, qui me dit qu'il fallait faire le signe de l'imperfection sur des tombes... Je me baladai en quête de tombe, et arrivai à un cimetière. Imperfection... imperfection... C'était carrément trop dur, comme énigme! En réfléchissant, je m'amusai à appuyer sur les tombes; j'adorais les boutons! Surtout que ceux-ci étaient carrés! Je trouve les carrés superbes, car élégants! Je m'étais lassé de jouer avec les tombes, et je décidai de retourner à la grande maison sombre. Il fallait que je m'excuse doublement à l'architecte; pour la fête et pour son chien adoré qui était blessé... Je remarquai des écritures sur la murailles. Zut, il allait encore falloir que j'amène la tablette à l'aubergiste! Avec la dent que j'avais, je tentai de retirer la plaque... Et je réussi! Tiens, derrière, il y avait un joli jouet! Il y avait un dessin dessus et tout! Je le pris, oubliant la tablette, et décidai d'enfin entrer dans la maison. Au bout de la deuxième salle, il y avait une porte... avec un trou! En plus, le joli jouet que j'avais avait la même forme! Je m'amusai à essayer de le mettre, et réussi. La porte s'ouvrit soudain! Mais c'est en pleurant que je continuai ma route: je n'avais su reprendre mon joli jouet, coincé dans la porte... J'étais dans une grotte, et je dus enjamber une rivière pour passer. Ensuite, j'arrivai dans des couloirs... très sombres! Avec des monsieur qui voulaient m'occire, comme Tré! Je courus, courus, courus dans les couloirs, poursuivi par les assassins, et je réussi à les semer: ils étaient bien moins fort que Tré. Je fus bien vite bloqué par une rivière. Sauf que, hé, je suis pas né de la dernière pluie! Et j'ai plein de bombes! Je sortis une bombe d'environ un mètre de diamètres de mon petit sac, l'allumai et m'assis dessus. Elle explosa, et le souffle de l'explosion me projeta de l'autre côté, comme prévu! Il faisait à nouveaux tout noir, et j'avançai à l'aveuglette, quand... << - Hi hi hi hi! *Atchoum* Za JaDouille!>> Plein de petites bêtes avec plein de pattes me couraient dessus! C'était rigolo! Je continuai mon périple en ayant mal au ventre à force de rire, tellement j'étais chatouilleux! << - *hic* Z'éDait rigolo *Atchoum*, mais *hic* Z'ai aDDraBé le hoGuet,*Atchoum* à avoir Dans ris!>> S'ajouta à mes déboires un mur avec un cristal qui me bloquait la route. Bha! On n'arrête pas un rôt d'heure avec un mur, surtout avec autant de prises! J'escaladais le mur, et continuai mon chemin, éternuant et hoquetant. Il faisait ENCORE tout noir! Et bien, pour un grand fêtard, c'est pas gai-gai, chez l'Architecte! J'arrivai à un drôle de passage avec des rideaux, mais quand je voulu passer, je me cognais à un mur invisible! << - *hic* Aïheu! *atchoum*>> Comment passer? Il y avait encore des trucs écrits... Zut... Soudain, j'eus une idée du tonnerre pour passer! J'en fus si fier que je dis tout haut << - Mon *hic* Zerveau a*-TCHOUM* fait Dilt!>>. Il suffisait de lancer plein de bombes dessus! J'en lançai une, mais... elle réussi à passer le mur invisible. J'allai la chercher, sans me rendre compte que j'avais réussi à passer aussi le mur. Il y avait une machine d'assez mauvais goût au centre de la pièce. Elle était sans doute cassée, car je n'arrivai pas à la faire fonctionner! Je la frappai très fort pour la réparer, et... elle se brisa! Je regardai vite si personne ne m'avait vu, essaya de réparer, échoua, et fuit vers le haut, cassa la porte au passage (la peur et la honte décuple les forces), cassa celle juste après, et fonçai... Sur un monsieur tout enrubanné. Il m'arrêta d'une main, et me dit: << - Du calme, petite chose. - Bar*hic*don monsi*atchoum*eur - Ha... il semblerait qu'il parle une langue étrangère... je ne comprend rien à ce qu'il dit... - Qu-ATCHOUM? Mais Ze Bar*hic*le la même la-TCHOUM -langue!>> L'homme montra une porte un peu plus loin, se mit à agiter ses bras comme des ailes puis à les mettre sur sa tête comme des cornes, passa son doigt sur son cou comme pour le couper, dessina un rectangle avec ses doigts dans l'air, et joignit les mains d'un air suppliant. Je comprenais rien... Mais pour lui faire plaisir, j'allai à la porte. Un monsieur qui vole!!! Il fallait que je monte dessus pour voler aussi! << - Ze veux *hic* voleeeeeeeeeer!>> Le drôle de monsieur à cornes se tourna vers moi, surpris, mais trop tard; un saut et deux acrobaties, et me voilà sur son dos! Sauf qu'il était pas bien fort, le monsieur, et il tomba comme une pierre. Nous étions juste au-dessus du vide, et j'eus tout juste le temps de m'agripper au bord; lui alla s'écraser plus bas, incapable de reprendre son vol. Vite! Je devais prévenir le monsieur tout en rubans pour qu'il le soigne! << - Ha, le revoilà! Et il a le grimoire en main!>> Effectivement, j'avais un livre en main... Depuis quand? L'aurais-je pris sans faire exprès en grimpant sur le monsieur ailé? << - Il y *hic* a un monZieur *atchoum* bleZZé! - Ha, encore cet horrible language guttural...>> J'eus beau m'agiter, rien n'y fit; l'homme de bougea pas. Tant pis... Je continuai ma route, et vis un... un cercueil? Ha, c'était sans doute le lit de l'Architecte! Dans une autre grande maison, il y avait eu aussi un monsieur qui dormait dans un cercueil! D'ailleurs, en voulant câliner le monsieur au longues dents, j'avais oublié le bâton pointu que j'avais en main, et... Hum... la suite n'a pas besoin d'être dite. << - Monsieur *hic* l'Architecte! Pardooooooooooooooooooooooooooooooon *atchoum*!>> Et je lui sautai dessus pour lui faire un câlin-surprise! De toute façon, il était déjà tard, il devait se lever! C'était sans doute une bêtise... Parce qu'on me disputa après. Un monsieur invisible parla, parla, parla... Je comprenais rien, il parlait trop vite... Je suppose qu'il n'était pas content... Tiens? J'étais dans une grotte? Je marchai, et trouvai quatre joli bâton jaune! Chouette, ça se mangeait sûrement! Je les pris comme provision, et trouva aussi, dans un coffre, un joli pendentif! Puis je sortis, heureux d'avoir pu présenter mes excuses à l'Architecte... Mais j'étais un peu fatigué... Mon rhume et mon hoquet ne s'arrangeaient pas... Je hoquetai, baillai et éternuai, puis me roula en boule devant la grotte et m'endormit, éreinté par cette longue aventure. Epilogue: Je me réveillai, le lendemain, près de la dame et du tourbillon... Les bâtons jaunes, ça se mange pas, en faites... Je les ai laissé sur le bord du chemin, c'était lourd... (*): Je dois cette définition de ma voix (RP) à ma chère maman (RP aussi... enfin, pas vraiment... c'est compliqué...) °o°
  14. << Bonjour! J'ai préparé des feuilles et tout pour mon discours pour devenir candidat au poste de régent, même si je sais pas lire, ça fait plus sérieux *-* Mieux vaut un bonbon à la noix de coco que rien du tout, alors je me présente, vu le peu de candidatures ^^ Je sens dans le cœur des hommes et des femmes amassées dans l'espoir de reconstruire cette ville perdue l'incompréhension et l'amusement. Comment Noé, dont la bêtise et le manque de sérieux ne souffrent d'aucune contestation, dont l'incohérence avec un peu tout a toujours été exemplaire, comment peut-il oser se présenter au poste de gérant des Hommes, comment lui le FNous, pourrait-il avoir la sagesse de construire un avenir radieux ?* Si je ne prétend pas avoir beaucoup d'expérience, ni faire des RP hors du commun, je pense que personne ne me contredira si j'affirme être juste, imaginatif, capable de faire des RP potables et de tenir un débat en restant calme. Or, selon moi, ce sont des qualités indispensables pour un régent. ître juste, ou en tout cas impartial, est primordial. Je ne favoriserai ni ma faction, ni mon élément, ni ma classe, ni personne, moi compris. ître régent demande aussi une capacité minimum à la création de RP, ainsi que de l'imagination, afin de trouver de nouvelles idées... Quant au sang-froid lors de débat, il va sans dire que c'est indispensable pour un poste basé sur la mise en place d'idée... Quant à mon côté FNous, s'il effraye certains, que ceux-ci n'oublient pas que les futurs anciennes régentes l'étaient et ont tenu leur rôle brillement! Comme Tré, je ne tiens pas à gérer ce monde seul car je ne m'en sens pas capable: je m'accompagnerais de trois autres personnes. (Dont lui, si je suis élu et qu'il accepte, et, inversement, si lui est élu, j'espère qu'il m'acceptera ^^)>> *
  15. Après avoir dévoilé cela... N'espère pas te réveiller demain.
  16. Noeleroi

    Temple d'Arasgÿl

    Très chouette animation, avec plein de super énigmes! J'ai vécu l'expérience unique d'un camping de quelques jours dans un temple maudit! (... quoi que, du camping d'intérieur, ça compte pas comme du camping... zut...) Bref, merci beaucoup!
  17. Moi, j'aime bien Henry Des =' ( c'est normal qu'il aime bien la dernière, il y a plein de lapins, ça lui rappelle sa maman °o°
  18. Félicitation, c'est encore mieux qu'un lvl up! °o° Bonne chance, et merci d'avoir décidé d'améliorer ce superbe jeu au point de sacrifier ton personnage!
  19. Noeleroi

    Khorne

    Pleins de câlins attendant ton retour! <3 Reviens vite!!!
  20. Avant de partir, J'allai rendre visite à Cerion. Celui-ci, quand j'arrivai, était conscient. Il n'était pas au courant de ce que je voulais entreprendre. << - Ha... Fiston. Peut-être est-ce la dernière fois que je pourrai te parler, alors assieds-toi, et écoute moi... Je vais te dire quelque chose de douloureux, mais... j'ai besoin de te le dire. Avant d'être esclave, j'étais...>> Il respira, hésita, puis, se décidant, termina sa phrase << - j'étais esclavagiste.>> J'étais sous le choc. Puis je compris: Il délirait à cause de sa blessure... << - J'imagine que tu penses que je délire... Mais c'est faux. J'ai été esclavagiste, et pas un des plus doux. Tu n'imagines pas le nombre de personnes qui m'ont demandé pitié, en vain... Je ne les regardais pas, ne les écoutais pas. J'avais accepté ce travail simplement parce qu'il payait bien, et je me disais que de toute façon, si ce n'était pas moi qui le faisait, ce serait un autre, peut-être pire. Je me voilais la face, me mentais à moi-même. << Si les débuts en tant qu'esclavagiste sont durs, on s'y fait vite; à la fin, on ne pense même plus à la douleur de l'esclave, on le traite comme un objet. <<Un jour, un de mes anciens amis est arrivé... en tant qu'esclave. A son arrivée, je commençai à changer. Il m'ouvrit les yeux sur mes actes. Pas en me parlant en face, bien entendu, il ne pouvait pas s'adresser à un esclavagiste ainsi. Mais par des regards, lorsque mon fouet s'abattait sur un esclave, des brefs chuchotements quand il passait à côté de moi, et de nombreuses autres manières. <<Et, de fil en aiguille, je me rendit compte de ce que je faisais... et que ce que je faisais était mal. << Puis, un jour, je tentai de faire évader les esclaves. Tous les esclavagistes étaient absents, car il fallait repousser un petit groupe de bandits, ceux-ci rôdant trop près de la carrière. A la carrière, il ne restait qu'un certain Claw, et moi. Celui-ci était ivre de colère à l'idée du magnifique combat qu'il ratait, alors il se défoula sur les esclaves. <<Au bout d'un moment, n'y tenant plus, je l'assommai par surprise. Puis mon ami et moi allâmes au mécanisme de la porte pour l'ouvrir.>> Manifestement, il essayait de faire au plus court, par peur de s'évanouir avant la fin de son récit. << - Mais Claw s'était réveillé et, nous prenant par surprise, transperça mon ami d'un coup d'épée. Puis nous nous battîmes, mais je perdis. Claw me désarma, et, à sa merci, je dus le laisser m'attacher les mains. Ensuite, il s'amusa à torturer des esclaves devant moi, riant de ma souffrance... <<Quand notre chef revint, il décida, plutôt que de me tuer, de me réduire en esclavage.>> Il y eut un moment de silence, puis il ajouta << - Je vais mourir, je le sais. Mais je partirai lavé de mes péchés, car j'ai libéré les esclaves. Je pourrai aller là-haut, rejoindre mon ami...>> Il me regarda soudain dans les yeux << - Tu fus comme mon fils. Laisse-moi te donner un dernier sermon, une dernière leçon... Je n'étais pas heureux, quand j'étais esclavagiste. Je me mentais, et je m'étais mis les fers aux pieds tout seul, incapable d'arrêter ce que je faisais, car cela aurait revenu à avouer que c'était mal... Ne fais pas comme moi. Ne te laisse jamais mettre en cage... surtout par toi-même. >> Puis il sombra dans le sommeil, harassé par son récit et par la douleur. Je ne comprenais pas sa dernière phrase. Pourquoi me mettrais-je en cage? Ca n'avait aucun sens... En faites, je n'avais de loin pas tout compris... Je pensai à la carrière. Il voulait parler de ça? Je ne devais pas retourner à la carrière? De toute façon, je n'avais pas le choix! Cerion allait mourir, sinon! Je décidai d'attendre la nuit, pour ma mission. Et, la nuit tombée, j'allais me mettre en route quand un groupe d'esclaves vint me voir. L'un d'eux se mit à parler. << - Petit, je sais que Cerion compte beaucoup pour toi. Pour nous aussi, d'ailleurs. Mais... Nous refusons que tu ailles là-bas. - Mais... pourquoi? - Tu sais où nous nous trouvons. Les esclaves, quand ils t'attraperont, sauront te faire dire notre emplacement.>> Ce "quand" montrait bien leur avis sur mes chances de réussites... Et ils avaient raison, bien sûr. Un gamin d'une dizaine d'années n'avait aucune chance. Mais, justement, comment un gamin d'une dizaine d'années pouvait s'en rendre compte? << - Bien sûr que non! Jamais je ne le leur dirai! Et, de toute façon, jamais ils ne me verront! Et puis, on a pas le choix! Cerion nous a sauvé! - Cerion ne voudrait pas ça! Il ne nous a pas sauvé pour que tu nous remettes en prison!>> Ivre de colère face à leur lâcheté, je répondis << - Bande de pleutres. Vous ne méritez pas votre liberté. A peine libres, vous ressemblez déjà aux esclavagistes, égoïstes et...>> Etait-ce une ombre, le regard de ceux qui me faisaient face, ou un simple instinc? Quoi qu'il en soit, quelque chose me poussa à me retourner... pour apercevoir un des anciens esclaves, gourdin levé, près à m'assommer. Je sautai en arrière, évitant le coup in extremis. Plus étonné qu'en colère, je leur jetai un regard un peu perdu. Ils voulaient m'assommer? Mais j'étais un des leurs! La surprise laissa place peu à peu à la haine. << - Peut-être devrais-je leur indiquer votre position!>> Et je couru, en direction de la carrière... J'avais réussi à leur échapper, et, après plusieurs heures de marches (L'adrénaline et l'espoir avaient apparemment décuplé nos forces lors de la fuite), je me retrouvai face à la carrière. Je n'avais rien pour me nourrir, et j'en souffrais. Mais c'était secondaire. La peur face à la carrière me tordait bien plus le ventre. Avais-je vraiment raison de vouloir y aller? Ces lâches d'esclaves avaient-ils raison? L'image de Cerion, en sueur, essayant en vain de me cacher sa douleur, me revint. Bien sûr que j'avais raison. Il nous avait tous sauvés. Pour l'instant, le seul garde qui pourrait me voir était celui dans l'unique tour de guet du camp. Je contournai la carrière à distance pour être le plus loin possible de lui, et courut jusqu'au mur. Ensuite, je longeai celui-ci jusqu'à l'entrée. Je jetai un coup d'œil par la brèche causée l'explosion. Il n'y avait pas de garde. Forcément, il n'y avait plus d'esclaves à surveiller... Si les murs formaient un carré, les bâtiments, eux, étaient en cercle. Je devais aller à l'infirmerie, c'est à dire le troisième bâtiment à ma droite. Pour y arriver, je comptais longer les bâtiments, du côté du mur, évidemment. Je fis ainsi, et arrivai à l'infirmerie. Coup de chance: la fenêtre arrière était ouverte! Je jetai un rapide coup d'œil pour vérifier qu'il n'y ait pas de garde. Personne! J'entrai donc par la fenêtre. Décidément, je m'inquiétais pour rien! C'était vraiment facile! Forcément, ils ne s'attendaient pas à ce qu'un esclave revienne... Je me dirigeai vers la pharmacie, c'est à dire une boîte en bois où étaient entassés pêle-mêle toutes sortes d'instruments de soin, médicaments, etc. Je réfléchis. De quoi aurais-je besoin pour soigner Cerion? De l'alcool pour désinfecter la plaie et des bandages pour la protéger après. J'espérais ne rien avoir oublié... Une voix me pris soudain par surprise << - Tiens. Sinon, il va avoir mal, ton patient!>>
  21. https://www.youtube.com/watch?v=ANXSa888Hlw C'est vieux, mais toujours aussi beau
  22. Même chose (sous google chrome aussi). Ca date de quelques jours, mais je penserais que ça reviendrais tout seul.
  23. Bon anniversaire , et merci pour toutes les activités! (Enigmes, soirées, concours RP...) C'est super sympa, je m'amuse comme un fou! .
  24. Triplées! (de gauche à droite: Emiko, Kailys, Loukazaki)
  25. La journée où je suis entré chez les FNous... ou presque. https://www.youtube.com/watch?v=1D5Sa2Yq-2g << - Un concours??? - Oui, organisé par les aliénés! Il faut raconter sa journée la plus loufoque, la plus absurde!>> Nous n'étions qu'au début de cette belle journée quand je reçus la lettre. J'avais dormi dehors cette nuit, comme à mon habitude, et c'est donc en train de me faire soigner à l'auberge que le messager me trouva. (Apparemment, un guerrier m'aurait marché dessus sans me voir, et c'est pour ça que j'avais les deux bras cassés, trois dents en moins et ma bourse vide. Je lui ai dis de faire plus attention la prochaine fois!). Moi, je ne savais pas lire, donc, ni une, ni deux, je sautai sur mes jambes et courus vers un ami capable de lire et d'écrire. Il me lut la lettre, et déjà, j'avais envie de participer à ce concours. Mais quelle journée raconter? ... Après une longue intense réflexion, jusqu'à avoir mal à la tête comme si des milliers de bombes sautaient dedans (douze secondes à peu près), je réussis à me rappeler... l'entièreté de cette matinée! C'était déjà bien, mais zut et flûte! Impossible de remonter jusqu'à avant aujourd'hui! Comment faire? Soudain, j'eus une idée du tonnerre! J'allais raconter le jour où j'étais entré chez les FNous, et le rite d'initiation FNous! Comme je ne me souvenais plus bien, je décidai d'aller demander à Tapate si elle se rappelait de tout. Et, de toute façon, c'est top-secret, alors il me fallait l'autorisation de toutes les personnes dans la tête de Tapate pour pouvoir en parler! Soudain, mon ami ajouta: << - ça termine demain, par contre.>> Haaa! Pas de temps à perdre! Deux minutes après, j'étais dehors en train de crier le nom de Tapate. Mais elle était introuvable! Kidnapping en vue de la manger avec une soupe salade-carotte le soir même, ou de la chatouiller jusqu'à ce qu'elle dise où se trouve la réserve de chocolat aux courgette des FNous? Ou... Attaque de rocchus mégalomanes voulant conquérir le monde à l'aide de champignons psychédéliques nécessitant de la bave de lapin-limace?!? Pas de temps à perdre! Ces pauvres cailloux ignoraient que ces champignons dégageaient du CI4SD2, un gaz mortel pour toutes choses portant un nom en "-us"! Ainsi, je me mis en route, cherchant les traces que laisse inévitablement le passage de cette espèce (des plumes). Je me sentis bien bête quand je tombai nez à nez avec Tapate, en train de roupiller sous un arbre! Et moi qui avait pensé à un complot rocchus... C'aurait été rigolo, pourtant... << - Coucou Tapate! Désolé de te réveiller, mais tu te rappelles cette fameuse journée, où je suis arrivé chez les FNous?>> Elle s'en rappelait, et me raconta tout ce que j'avais oublié. Chouette! Elle était super aliénée, cette journée, je pourrai la raconter pour le concours! Je lui fis un câlin pour la remercier, et un autre câlin parce que j'aime bien lui faire des câlins, puis je retournai chez mon ami. << - Tu as trouvé ce que tu vas raconter? Tu veux que je l'écrive, comme d'habitude? - ho vi! Alors, c'était un beau matin je... Tiens, il y a de l'écrit sur l'autre face de la lettre! - ha bon? Attend, je lis... "Ce concours est pour commémorer le premier anniversaire des aliénés".>> Ca alors! Leur premier an! Ha, mais si c'était un anniversaire, il me fallait un cadal! Zut, flûte et mute; je n'avais rien! << - Attend, je dirai tout plus tard, il faut que je trouve un cadal!>> J'étais à nouveau dehors, errant à la recherche d'une piste pour un cadal... Quand je vis, dans un arbre, tellement bien camouflé qu'on le croirait invisible, un sombre rôdeur, adepte de Niue... << - Tré! Coucou! Tu sais où trouver des cadals?>> Silence. Un bras qui se meut. Un doigt qui se tend. "Pour montrer une direction?" pensais-je... Mais le doigt se referma sur la clenche de l'arbalète. << - WOUA!>>, dis-je en esquivant in extremis. << - Tu as failli me transformer en hérisson! Fais plus attention, tu... WOUA!>> Encore un carreau! Je fuis loin, laissant derrière moi une traînée de carreaux! << - hhh HHH hhh HHH... J'ai trop "hhh" couru "HHH">> Tout essoufflé, je titubai jusqu'à un arbre pour reprendre mon souffle. Mais quand je voulus poser ma main sur le tronc.. << - WOUA!>> Je passai à travers un trou dans le tronc et tombai! Encore, et encore! Puis, à partir de ma chute, tout devient très étrange... https://www.youtube.com/watch?v=1D5Sa2Yq-2g << - HalDe là, éDranger! Ne De reDourne Bas, ou nous De Drouons le dos! - Oui, nous en Zommes Gabables! - Z'est vré!>> Plein de "trucs" parlaient dans mon dos, à présent, avec une voix nasillarde. J'étais curieux de savoir ce que c'était, mais une pointe dans mon dos m'empêchait de me retourner. << - Mais je suis gentil, il faut pas avoir peur! - Dais-Doi, Zale humain! Les Diens ne ZeZZe de nous maSSaGrer, mais auZourd'hui, nous allons avoir notre revanGe!>> J'étais outré! Quel cruauté, ces Diens! << - Les diens sont des méchants! Je vais les combattre avec vous! - Ne De moGue Bas de ma faZon de Barler! Nous allons t'amener devant le maîîîître!>> Et ils me firent marcher à travers de longs tunnels. Il y avait une drôle d'odeur, d'ailleurs... Au bout d'un moment, nous nous arrêtâmes. Il y avait quelque chose devant, surélevé. Les tunnels étant particulièrement sombre, je ne voyais qu'une vague forme ronde, quand soudain, une voix sortit de celle-ci: << - Bonjour, humain. ProZDerne-Doi devant le grand... MonDDus premier! Le Gef bien aimé de Dous les Roggus du monde!>> C'était un immense rocchus qui me faisait face, à présent! Et ceux derrière-moi en étaient aussi! << - Nous avons déveloBBé des GeamBignons à base de bave dont le gaz rend inDelligent! A Brésent, les Roggus deviendront maîDre du monde, et Ze vengeront de Dous Zes Zales humains! - Je ne crois pas, non.>> Tiens? Qui parlais? << - Votre absence de nez rend votre façon de parler dissonante. Jamais vous ne pourrez communiquer correctement ainsi, et donc coordonnez vos attaques entre rocchus. Votre plan est voué à l'échec!>> Ho là là, c'est vrai! J'allais applaudir, car c'était bien trouvé, mais... mes mains ne bougeaient plus! << - ZDupide humain! Du Zeras le Bremier à Bérir! nous De mangerons! - Me laisser tuer par des cailloux? J'aimerais bien voir cela!>> Mais... mais... c'est MOI qui parlais! Le gaz m'avais rendu intelligent! Ha non! Pas question! C'est pas drôle, d'être un telligent! Après, il faut se disputer avec les autres pour avoir raison, et on a besoin de trucs compliqués pour être heureux! Moi, je veux rester un FNous bête! Plus qu'une solution; dans un dernier élan de non-lucidité, j'allumai une bombe à vent pour dissiper tout le gaz! (Voyez l'effet désastreux du gaz: si je n'avais été atteint par celui-ci, jamais je n'aurais pensé à cette façon de dissiper le gaz, et j'aurais eu l'unique expérience d'être mangé par des rocchus!) << - G'est-Ze Ge...?>> Le gaz disparu totalement de l'endroit. Le rocchus voulut parler, mais il n'y arrivait plus. Petit à petit, ses yeux devinrent moins sombres. Il redevenait bête et gentil comme un rocchus! << - Désolé de t'avoir traité de cailloux, monsieur Monttus premier!>> Je lui fis un câlin pour me faire pardonner, mais il cracha soudain une jolie pierre. Le voilà, le cadal! Je trouvai la sortie de l'endroit, puis retournai chez mon ami. << - voilà, j'ai le cadal! - Alors, tu vas pouvoir me raconter la fameuse journée! - Oui! Alors, c'était un beau matin, et...>> ... ... << - heu... J'ai tout oublié!!! Mince!>> Rho là là... Impossible de me rappeler cette journée! Tant pis, il était déjà très tard... Je n'avais plus qu'à raconter aujourd'hui, la seule journée que je me rappelais! Une journée pas très folle, mais l'important, c'est de participer! PS: le cadal, c'est même pas une invention
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