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Terre des Éléments

Noeleroi

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Tout ce qui a été posté par Noeleroi

  1. Noeleroi

    la popote de bibsou

    Sans huile de palme, c'est super plusse mieux *-* Mé heu... c'est pas pour être méchant, mais je ne sais pas si le nom de "Nutella" maison est adapté. sans huile de palme, il reste plus grand chose de Nutellatien, si?
  2. Noeleroi

    la popote de bibsou

    Le nutella, avec ou sas huile de palme? Et si oui, prévoir combien de litres?
  3. Noeleroi

    Badack

    muppyversaire!!!
  4. Noeleroi

    Lornyyk

    les lapins-limaces sont à moitié asexué, en plus *-* c'est compliqué *-*
  5. Noeleroi

    Lornyyk

    et si le monde entier se ligue contre toi? *-*
  6. Cette musique m'émeut comme aucune musique ne l'a jamais fait... Je savais déjà que Hans Zimmer était génial, mais là... "Aurora" est dédié à ceux qui ont perdu leur vie et ont été touchés par la tragédie à Aurora, dans le Colorado. J'ai enregistré cette chanson à Londres dans les jours qui ont suivi la tragédie comme un vibrant hommage aux victimes et à leurs familles. 100% des profits seront versés à Aurora organisation des secours aux victimes." Hans Zimmer
  7. Je te dirais bien que tu n'es pas dérangée du bulbe parce que je plussoie à l'idée, mais je suis pas sûr que ça te rassurera venant d'un FNous *-*
  8. concernant le choix d'afficher ceux des autres ou non, je pense que ce serait mieux de choisir non pas ceux qu'on ne veut pas voir, mais ceux qu'on veut voir, sinon ça risque d'être long *-*
  9. (Je n'ai pas fait ce RP à la sauce FNous, parce que je voulais être serre-yeux, et c'est pas possible en FNous *-* (c'est presque un gros mot, d'ailleurs :x).) Esclavage. Que vous évoque ce mot? La plupart imaginent des gens attachés, peu vêtus et seulement de haillons, parfois le crâne rasé, et en train de travailler. D'autres hommes, mieux habillés, fouet en main, leur crient dessus. Ce n'est pas toujours comme ça: dans quelques sociétés, certains esclaves sont plus riches et plus puissants que les vrais citoyens. Malgré tout, ce ne sont que des exceptions. La majorité des esclaves sont considérés comme des objets, de la monnaie, ou comme des animaux si ils ont de la chance. C'est un de ces esclaves que je fus, peut-être même depuis ma naissance, car je n'ai aucun souvenir antérieur à cette époque. Je n'ai même aucun souvenir de mes parents, ni même d'aucune autre parenté... Je travaillais, avec une centaine d'autres esclaves, dans une carrière de pierre, encerclé par des hauts murs, avec quelques bâtiments comme la cuisine, les dortoirs, etc. Etre un enfant ne m'avait octroyé aucun privilège... bien au contraire! On tient moins à une pièce de cuivre qu'à une pièce d'or; si je mourrais, ce ne serait pas une grande perte pour les esclavagistes. J'avais des portions de "nourriture", si on pouvait appeler ainsi ce qu'il nous servaient, plus petites, autant de travail, et j'étais la cible d'esclaves mesquins voulant se défouler sur plus faible qu'eux. Pas des passages à tabac; c'était interdit (les outils ne doivent pas s'abîmer entre eux...), et en cas de transgression de la règle, les esclavagistes surgissaient, et choisissaient une sanction selon leur humeur. Ces esclaves se contentaient donc de petites mesquineries; croche-pied, insultes, ... Bien sur, je n'étais pas le seul enfant, et c'était tant mieux; il fallait savoir se fondre dans la masse, et un enfant parmi les adultes passe rarement inaperçu. Et puis, les mesquineries précédemment citées étaient plus ou moins réparties, et souffrir à plusieurs atténue parfois la douleur. Mais surtout... Une fois par mois, un enfant était appelé chez le chef des esclavagistes. On ne le revoyait plus jamais... J'étais trop jeune pour comprendre pourquoi cette convocation, à cette époque, mais je me doutais que ce n'étais pas pour les affranchir... Le chef prenait trop de plaisir à donner le fouet pour affranchir qui que ce soit... C'était une vraie crapule. Rien ne lui faisait plus plaisir qu'infliger des punitions, et plus elles étaient injustes et horribles, plus il était satisfait... Je m'étais juré, un jour où il avait été particulièrement horrible, que je vengerais toute ses victimes... tôt ou tard. Tout ça pour vous expliquer l'enfer de cette jeunesse. Il n'y avait qu'un point positif: un homme, un esclave, qui était plein de bonté. Il me protégeait parfois des "blagues", comme ils disaient, de certains esclaves, mais, malheureusement, l'homme était vieux, et ne pouvait compter que sur son astuce et sa sagesse pour m'aider... Mais il n'en manquait pas. D'ailleurs, pendant les rares temps de repos, il m'enseignait diverses choses. Tout ce qu'un père apprend à son fils; la politesse, l'honneur, etc. C'est d'ailleurs ce qu'il était pour moi: un père. Je ne savais pas grand chose sur son passé; il n'en parlait pas, et je ne lui demandais pas. Je savais qu'il s'appelait Cerion, et que c'était un des rares hommes ici à montrer de la compassion et à aider parfois les autres. Sans doute les esclavagistes n'appréciaient pas ce comportement, car ils lui faisaient subir beaucoup plus qu'aux autres esclaves; il avait les pires travaux, recevait plus de coups de fouet, était plus souvent le bouc émissaire, etc. Tout ça, ils le lui infligeaient en ricanant. Une fois, un garde , en s'esclaffant, avait lâché: "quel ironie!". Je n'avais pas compris pourquoi, à ce moment. Je n'appris que plus tard la raison de ces mots... Plus précisément, quelques jours après l'Evasion. Je ne savais ni âge ni ma date de naissance; je devais avoir dans les 15 ans. Je ne peux pas vous dire de date; on n'étais au courant de rien, dans la carrière. Le reste du monde aurait pu être dévasté qu'on n'en n'aurait rien su. Je peux juste dire que ce jour -un pressentiment? - la nature semblait plus belle, le soleil était brillant mais pas étouffant, et les murs semblaient plus oppressants que jamais. Je cherchais Cerion des yeux en allant à la carrière, mais ne le trouvais pas. Je ne m'inquiétais pas; nous étions une centaine, en ne comptant que les esclaves, c'était donc normal de ne pas le trouver. Il n'empêche qu'il était bizarre, ces derniers jours. Pendant les rares pauses, il allait se cacher dans un coin sombre, à l'abri de tous regards, et je n'osais pas le suivre de peur d'attirer l'attention sur sa cachette. je ne savais donc pas ce qu'il y faisait. Il semblait aussi souvent pensif, plus que d'habitude. Enfin, j'avais souvent l'impression qu'il voulait me dire quelque chose mais se retenait. Mais j'étais trop fatigué, j'avais trop faim, trop soif, et trop mal pour y réfléchir. Et de toute façon, je lui faisais confiance. Alors que je marchais, donc, perdu dans mes pensées, je me cognai à l'esclave devant moi, qui s'était brutalement arrêté. Revenant sur terre, je remarquai que tous les visages étaient tournés vers un point. Je regardai aussi, et... Cerion! Il était debout sur un tas de pierre, et s'adressait à tous! - Esclaves! Ecoutez-moi! Ces derniers s'étaient tous arrêtés et l'écoutait, l'air angoissé, se chuchotant qu'il était devenu fou, qu'il allait se faire tuer et d'autres avec pour servir d'exemple. - Vous avez compris que je m'adressais à vous. Je vous ai appelés esclaves, et vous avez réagi. Avez- vous donc accepté votre condition? Je devine que oui. Comment survivre, sinon? Et bien, je vous propose, non plus de survivre en acceptant votre condition, mais de vivre en la refusant! Battez-vous, hommes, femmes! Reprenez à la force de vos bras et de votre volonté la dignité et l'honneur qu'on vous a volés! Vous n'êtes pas des objets! Vous êtes des hommes et des femmes uniques, avec votre façon de penser, vos qualités, vos défauts, vos tics, vos amis, vos sentiments! Tu n'es pas "un esclave", tu es "toi"!!! Ne courbez plus la tête! Les esclavagistes sont égaux, voir inférieurs à vous! Ils n'ont que l'équipement en plus! Je ne vous parlerais pas si je ne vous croyais pas capable et digne d'être quelqu'un d'unique, qui suit la voie qu'il s'est choisi! Nous sommes une centaine, et nous nous battrons pour notre vie! Il ne sont qu'une trentaine, et se battrons uniquement pour de l'argent... Si ils se battent!!! Et si vous mourrez, soit! Vous ne devrez plus vivre cette... vie? D'esclavagisme, servant ceux-là même qui vous ont volé votre personnalité! Et vous aurez aidé d'autres à fuir! La foule ne paraissait pas convaincue. Ce n'était que des mots! Mais Cerion semblait avoir deviné ces pensées. - Vous voulez plus que des mots? Et bien... Un son assourdissant retentit. Une explosion. La grande porte éclata en morceau. LA grande porte. Celle qui les enfermait. Celle qui paraissait invincible, incassable, impossible à passer. Le temps semblait s'être ralenti. Les morceaux tombaient, un par un, sur le sol, ne laissant qu'un grand espace vide dans le mur. Nul n'en croyait ses yeux. Je compris alors ce que Cerion avait fait, à l'abri des regards; une bombe! Et il n'osait m'en parler, de peur qu'une phrase, un mot m'échappe et que tout devienne vain. Ou pour que je ne sois pas considéré comme un complice, si l'opération capotait. - Courrez! Sauvez-vous! La sortie est juste là! Ils ne sauront pas vous tuer, ils n'auront même pas le temps de comprendre ce qui se passe! Sur le coup, je ne m'étais pas demandé pourquoi aucun garde n'avait réagi quand Cerion avait commencé à parler. Mais j'y avais pensé, plus tard. Les gardes avaient, sauf erreur, reçu des ordres pour ce genre de situation; ils devaient le laisser terminer, puis faire un exemple en le torturant sous les yeux de tous pour détruire toute envie de rébellion, car si ils le tuaient avant, les paroles du rebelle auraient plus de poids aux yeux des esclaves, comme si les gardes l'avaient tué par peur, avant qu'il n'en dise trop. Et puis, il n'y avait aucun risque; personne ne se soulèverait juste parce qu'un esclave faisait soudain un discours. Mais celui qui avait donné les ordres n'avait pas deviné que cet esclave ferait sauter la porte! Et cette explosion, comble! Avait mit le feu aux poudres. - Fuyez, ou ils se vengeront sur vous! Vous n'avez plus le choix! Courrez, saisissez l'unique chance que je vous offre! Voyez cette herbe, dehors, qui vous attend! Imaginez-vous étendu sur elle, heureux, sans personne pour vous frapper ou vous dire de travailler! Courrez! COURREZ! Ou ils vous tueront! Tous courraient, à présent. Il y avait des morts, malheureusement, mais c'était trop tard; les esclaves étaient lancés, ils ne s'arrêteraient pas avant d'être sûr d'être en sécurité! Cerion avait réussi! Mais ma joie fut de courte durée; une flèche fusa, droit vers Cerion. Celui-ci tenta de l'esquiver, mais ne réussit qu'à éviter le pire. La flèche lui transperça l'épaule. Il tomba sous le choc. Il essaya de se relever, mais, affaibli par sa blessure, il n'y arriva pas. Je courus l'aider, le pris sur mon dos, et courut avec les autres esclaves. Par chance, ou parce qu'un dieu avait apprécié le spectacle de cette rébellion et voulait récompenser celui qui l'avait lancée, nous courûmes jusqu'à la porte et passâmes celle-ci sans heurts ni blessures. Mais... nous tombâmes nez à nez avec le chef des esclavagistes. - tu vas mourir, crevure d'esclave! Rugit-il, levant son fouet. Je n'avais rien pour me défendre; je cherchai du regard un objet, une barre de fer, n'importe quoi pour me protéger. Mon regard tomba sur un morceau de la porte, assez grand pour être utile, et assez petit pour être maniable, ayant plus ou moins la forme d'un bouclier. Je courus vers le morceau de fer, mais, alourdi par Cerion, je ne fus pas assez rapide. Le fouet claqua et, Cerion, sur mon dos, poussa un cri de douleur quand le fouet lui zébra le dos. Furieux contre l'esclavagiste et contre moi-même pour ne pas avoir fait attention à mon presque père, je jurai, et saisit mon bouclier improvisé. En le saisissant, je me coupai; les bords étaient extrêmement coupant! "Bouclier" improvisé? Je me retournai vers l'esclavagiste, et put le contempler dans toute sa splendeur, au paroxysme se sa beauté. Furieux, les yeux injectés de sang et lançant des éclairs, le visage rouge comme le sang de ses victimes, les veines prêtes à exploser, et la bave aux lèvres, il avait à nouveau soulevé son fouet, espérant infliger encore cette souffrance qu'il aime tant. Et bien, si il l'aime tant!!! La vision de cet "homme", si il était encore possible de l'appeler ainsi, devenu plus bas qu'un animal, m'avais enfin décidé. J'attendis que la bête qui se tenait face à moi abattit son fouet, et, quand il le fit, je sautai en arrière, évitant ainsi d'exposer à nouveau Cerion, et, à peine atterris, me préparai à projeter comme un disque le morceau de porte sur l'esclavagiste... Mais je compris que je ne pourrais que l'égratigner, car il avait une armure. Sauf... si je visais sa gorge. Mais alors, je risquais de le tuer! Je ne pris pas longtemps à me décider. C'était lui ou nous, et, étrangement, j'avais une meilleur estime de Cerion et de moi-même que de lui... L'arme fila, tournant tellement vite qu'on aurait dit un disque parfait en le voyant, vers la gorge de l'homme... et se planta profondément dans celle-ci. L'homme, surpris, me regardait, un peu perdu. Il saisit le disque, les yeux vides, et s'écroula face contre terre... ce qui enfonça encore plus le disque, projetant du sang partout. Je trouvai ça beau. Tout, autour, semblait soudain irréaliste, totalement inintéressant. Je n'entendais plus rien. Je sentais quelque chose gronder en moi, devenir de plus en plus fort, m'envahir. Mais ce n'était pas désagréable, et, à mesure que le sang s'écoulait et disparaissait dans le sable, la "chose" grandissait en moi. Mais ce n'était pas assez!!! Je voulais sentir encore plus cette force!!! Je marchai jusqu'au cadavre de ce qui avait été un monstre et arrachai le disque de la gorge de l'esclavagiste, libérant un dernier flot de sang. Je cherchai du regard un garde, pour pouvoir retrouver cette sensation. Mais je n'en voyais pas. J'avais beau ne plus faire attention aux esclaves qui courraient, ceux-ci me cachaient la vue . Soudain, je repérai une armure de garde parmi les haillons des esclaves en fuite. Je me préparai à lancer le disque, visant à nouveau la gorge du garde. Mais quelque chose me retenait. Dans cet océan de plaisir, cette plénitude indescriptible, un détail clochait, comme une tâche sur un magnifique tableau. Je sentais quelque chose crier, hurler. Au départ, ce n'était qu'un faible son, lointain. Mais peu à peu, la tâche s'étendait, gâchant mon bonheurs. - ARRîTE!!! Une douleur sourde envahit ma joue. Je retrouvai mes esprits, mes oreilles entendaient à nouveau, et tout repris son importance. Cerion était devant moi, furieux mais surtout inquiet. Il venait de me gifler. Il sembla chercher ses mots un moment, puis son visage s'assombrit et il se retourna. Il marchai, boitant, suivant les autres esclaves. Il savait de nouveau marcher, apparemment... Je le suivis, perturbé et choqué par ce qu'il venait de m'arriver. Les gardes, par peur de représailles soudaines de la foule plus qu'instable, avaient abandonné et laissaient les esclaves fuir... Nous n'eûmes donc plus de problème, et courûmes avec les esclaves pendant une demi-heure avant de nous arrêter, porté par l'adrénaline. Mais l'adrénaline ne durait pas infiniment, et les plus vieux, faibles et fatigués à cause des conditions misérables dans lesquelles nous vivions, devaient se reposer. Et puis, de toute façon, la carrière était déjà loin!!! Les esclaves parlaient vivement entre eux, heureux d'être libres, mais néanmoins inquiets. Qu'allaient-ils faire de leur liberté, maintenant? Ils risquaient d'être recherchés, et aucune ville ne voudrait d'eux. Je questionnai Cerion à ce sujet. - Ne t'inquiète pas, il n'y a aucun risque. Nos noms n'étaient affichés nul part, et, bien entendu, il n'y avait aucune description physique écrite. Nous sommes hors de danger, je pense. Il parlait en haletant, et je remis ça sur le compte de l'essoufflement provoqué par la course. Moi-même, je n'en pouvais plus. Je me couchai dans l'herbe, et, alors que je regardai le ciel, je me questionnai sur la folie qui m'avait prise, cette envie de meurtre insatiable. Je n'avais pas envie d'y penser, la fin de mon esclavagisme était trop beau pour être gâchée par ça. Mais, comme un moustique qui revient sans cesse, ce souvenir me hantait. Je voulais en parler à Cerion; je me relevai pour être assis, et remarquai qu'il était déjà en grande conversation avec plusieurs esclaves. Ceux-ci lui demandaient conseil sur ce qu'il fallait faire. - Et bien, je ne vois qu'une solution; construisons notre propre ville! Nous avons l'habitude du dur travail, et celui-ci nous paraîtra beau, car nous travaillerons pour nous, ensemble et librement... Sa voix se faisait plus faible à mesure qu'il parlait. Soudain, il défaillit. Je le rattrapai juste avant qu'il ne tombe, et sentis un liquide chaud sur la main que j'avais mise sur son épaule. Du sang coulait... beaucoup de sang. Apparemment, il avait déjà cassé la flèche; mais il fallait le soigner d'urgence! Trop de temps était déjà passé! - Quelqu'un sait le soigner? demandai-je au troupeau d'esclave. Il y eu quelques volontaires, mais le problème principal apparut bien vite; nous n'avions rien pour le soigner. - Désolé, fiston... Je ne sais pas quelle expression j'avais, désespoir et accablement, sans doute, mais un esclave comprit que j'étais prêt à tout pour sauver leur meneur. Il avait l'air d'hésiter, puis fini par se lancer. - Il y a de quoi le soigner... à la carrière. Rien que ce dernier mot me glaçait le sang. Aujourd'hui, il ne me fait plus aussi peur, bien sur, mais l'entendre avait un impacte direct sur mon humeur... ainsi que beaucoup d'autres mots. Mais c'était de Cerion, qui m'avait tout appris, qui m'avait libéré et qui m'avais empêcher de sombrer dans une folie étrange, qu'il était question. C'est pourquoi je ne m'en posais pas, de question; c'était décidé... J'irais!
  10. ha ben oui, c'est vrai *-* en tout cas, merci pour les photos, je ne savais pas du tout à quoi ressemblait la JE, j'y suis jamais aller
  11. moi je connais personne, ne reconnais personne, et c'est pas drôle Mettez des légendes! S'il-vous-plaiiiiiiiiiit
  12. explosif anniversaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire! "fais exploser plein de bombes à confettis, paillette, etc."
  13. oui mais là, le cactus, il a un arc et des chaussures! *-*
  14. bha oui, mais il fallait bien dire une heure
  15. "viens de regarder sur google " ho ben... ho ben... "rougit, a de la fumée qui sors des oreilles" je savais paaaaaaaaaaas EDIT: en même temps, pour que ça vous ai "sauté aux yeux", c'est pas moi le père vert
  16. Noeleroi

    Le RP

    c'est peut-être moi, mais les liens ne fonctionnent plus
  17. bonjour On m'a dit de toujours me présentifier, alors voilà. Mon nom sur le jeu est Noí«l Eroy (ou noeleroi pour les intimes ), mais je l'ai changé ici parce que celui là est plus meilleur, parce que mieux vaut être ami que roi *-* (c'est beau, cette phrase, hein? ) Battre plein de joueurs ne m'intéresse pas, je suis un pas si fiste que ça (188 fois morts et 0 tué au dernière nouvelles!!!) En plus de ne pas être fiste, je suis un rho d'heure (c'est celui de 19 heure, après avoir fini de manger ), qui protège la nature du mieux qu'il peut (mé je n'ai pas un grand pouvoir de père sue à Sion ). Sinon, le plus important: j'en fais à toutes les sauces (à eau, hilarante, etc.), pour tous, et en quantitée; c'est ma passion; vous l'avez deviné... c'est l'acre au Stiche!
  18. moi, j'ai essayé de parler au dragon, il a éternué, des flammes sont sorties, et toutes mes bombes ont explosées, et moi avec comment qu'ils ont fait?
  19. même chose que Marinia, j'envoie par MP les deux adresses
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