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Terre des Éléments

frenchouf

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Tout ce qui a été posté par frenchouf

  1. Au jour d'aujourd'hui, il est un fait que les grosses factions dominent outrageusement. Mais on voit qu'elles conquièrent de manière différente. -Les Constellations ont une force effective supérieure aux autres qui leur permettent de faire tomber une tour assez vite. -Les Au-Delà ont une puissance de frappe globale supérieur aux autres qui amène à la même conclusion. -L'Alliance, avec une puissance moindre, fait tomber des tours en occupant des territoires plus reculés. C'est vrai que les petites factions dans ce contexte non pas beaucoup de mots à dire. Et c'est la le soucis qui se pose actuellement. Comme le dit Yaninho, le lissage des niveaux serait compensé par le nombre de partisans d'une faction; et la limite de participants à la prise d'une tour viendrait à dire que seuls les HL puissent participer. Il faudrait sans doute favoriser le jeu des alliances. Et si tel est le cas, à vos RP m'sieurs dames! Concernant les tours laissées avec très peu de points de vie, je suis encore l'avis de Yaninho. C'est sur que cela va amener la convoitise d'autres factions et que tout le monde aura un œil dessus en laissant une tour dans cet état.
  2. C'est ça être franchouillard! Y a que quand ça gueule que ça avance! Sinon, je trouve que les admins sont déjà très attentifs à chaque amélioration et qu'ils sont très réactifs à chaque problème décelé. Pour chaque grosse nouveauté (joutes, conquêtes, montures) ils n'hésitent pas à ouvrir des posts sur le forum afin que les joueurs puissent y donner leurs avis. Et ainsi voir ce qu'il faudrait modifier ou améliorer. Pour les conquêtes, il y a d'abord eu la modification des frappes ce qui à permis aux BL d'avoir une place beaucoup plus importante dans le contexte des prises. Et maintenant, ils se penchent sur le trop grand écart qu'il y a entre les factions. Concernant le nouveau contenu (quête, animation, etc.) Je trouve qu'ils en disent déjà trop! Et franchement, quoi de tel qu'une agréable surprise inattendu et venue de nulle part pour égailler nos jolis minois! (En fait, ça permet à ceux qui l'ont trouvé avant les autres de se faire mousser ) Après, les voir ouvrir une session mensuelle au mois d’Août pour qu'ils nous montre leur pieds en éventail sur la plage ça peut être un concept! =>[]
  3. T'es pas non plus obligé de cliquer uniquement sur ce bouton. T'as toute la bannière ou il est écrit "terre des éléments" pour le faire!
  4. Un petit croquis vaut mieux qu'un long discours. (Il faut rajouter une colle de plus)
  5. C'est dur d'être forgeron sans taper sur de la ferraille.
  6. Un minerais d'or est inaccessible par la-bas:
  7. frenchouf

    Vu sur la toile

    C'est tout en anglais amerloqué...J'ai rien pigé.
  8. frenchouf

    Commentaires HRP

    C'est exactement cela!
  9. frenchouf

    Commentaires HRP

    Le "il" et "la bête" sont les composants d'une même personne! Ce commentaire n'a pas lieu d'être! o/
  10. Quoi demander de mieux que d'être le chouchou d'une de ses maîtresses! Moi qui n'ai côtoyé que les radiateurs durant ma tendre enfance. Autre petite question. Tu préfères que l'on t'envois les réponses en message privé sur le forum ou sur le jeu?
  11. Pour ce qui est du neuf cent quatre vingt dix neuvième mot, Faut-il prendre en compte la description personnelle? Ou le début du comptage se fait à partir du chapitre "Le réveil"?
  12. frenchouf

    Commentaires HRP

    Il y a de quoi être déboussolé.
  13. J'ai eu ça aussi tout à l'heure. Elle apparaît une dizaine de seconde après que son chariot soit apparu. De plus, j'ai tenté de prendre sa place, mais c'était pas possible...
  14. frenchouf

    L'ombre du Croloup

    Depuis que les soldats de l'Alliance avaient pris possession de l'île, le climat devenait maussade. Là où l'on pouvait se délecté de la présence des étoiles sans aucune nuisance était venu le temps du vacarme abrutissant de leurs rires. Leurs feux de camps vous brûlaient les yeux. La souillure qu'ils faisaient des plages lui montrait le chemin pour reprendre la chaloupe qui l'avait amené ici. Il avait mal au ventre. Le rafiot sur lequel il était embarqué le rapprochait des côtes. Le ciel était sombre mais de vives lueurs lui apparaissaient sur ce morne horizon. Irilscia était en flammes. Quelles étranges sensations devant ce spectacle. La garde de Melrath Zorac assurait depuis des décennies la protection de la capitale devant les assauts futiles venant des campements orcs. Leur position avancé au nord des plages leur assurait un sérieux avantage. Le régent de la cité avait toujours refusé une attaque de front contre ces êtres qu'il considérait telle de la viande à cuire pour les nouvelles recrues. Fière de s'enorgueillir de leurs nouveaux effets, celles-ci ne s'attardait plus à la moindre vigilance. Quatre années à tenir un rôle sans aucune réelle menace avaient amenuisé les esprits. Mais avait-il changé d'avis? Le régent avait finalement accédé à la requête d'une grande partie de la population qui lui demandait une éradication totale de ces êtres? Ou pire encore, les orcs auraient-ils réussi à trouer les défenses de ces troupes alanguies? Il avait mal au ventre. Il débarquait sur une des plages proche du phare, son feu était éteint. Quelque chose n'allait pas. Il se mettait en chemin vers les tentes des gardes de la ville pour comprendre ce torrent de flamme qui s'amplifiait au fur et à mesure que son pas lent longeait les sentiers côtiers. Il n'y avait pas de lune ce soir. Sur place, personne ne savait ce qu'il s'était exactement passé, mais ils avaient tous une certitude ; les positions orcs ne faisaient plus parti des cartes. Les liesses de joie et les rires grossiers des troupes raisonnaient fort. Les arbres frémissaient de ces sonorités inaudibles, ils avaient mal. N'y aurait-il personne pour l'aider à comprendre ? Melrath Zorac. Cette cité ou les informations pouvaient circuler à travers différents chemins ? Il lui fallait marcher, la forêt pleurait. Il avait mal au ventre. La bruine ambiante ne le rafraîchissait pas. Il devait vite rejoindre la capitale. Le chemin le plus court traversait la forêt elfique. Il s'en approchait mais quelle vision étrange partageait-il à ce moment. Une enfant dont la cape était cousu des emblèmes de Terra s'engouffrait à l'intérieur de ce lieu interdit sans qu'aucune des vigies ne la disgracie. Il s'approchait de la porte verdoyante pour pénétrer en ces lieux sacrés. Les elfes ne l'aimaient pas mais il avait montré sa bravoure à leurs côtés. Le garde ne lui apprit rien s'il n'était que la fillette avait fait ses preuves et acquis la reconnaissance de chacun en ces lieux. Il se décidait à la suivre à travers le méandre des racines qui composaient le chemin. Malgré sa marche hésitante, il parvenait à ne pas la perdre de vue. L'arme dans sa main était démesurée et que celle-ci traînante la ralentissait énormément. Elle bifurquait pour se rendre au tunnel creusé par les nains. Il le savait, celui-ci menait directement à Terra. Une aussi frêle créature aurait-elle pu, seule, détruire toute une frange des escortes orcs pour se voir octroyer un tel privilège de la main des elfes ? Il avait mal au ventre. Les galeries étaient plongées dans une atmosphère obscure. La terre sentait bon, l'air était irrespirable. Il ne suivait la gamine que par le son sourd de sa lame lancinante traînée par ses petits pas pressés. Terra. Le temps était froid. Les arbres ici aussi étaient tristes ; les feuilles perlaient des larmes dont le clapotis de leur chute lui assourdissait les oreilles. La fillette ne se dirigeait pas vers les toits du village. La forêt était de plus en plus entreprenante, elle décrochait ses branches, jaillissait ses ronces si bien qu'il lui fallait se réfugier au sommet d'un crêt. La petite se trouvait en contrebas devant un lieu qui lui était bien connu. C'est ici qu'il avait tué la bête. Il reconnaissait chaque pousse de végétation qui entourait son antre. Le temps était mort ici. Rien ne bougeait. Elle enlevait le châle qui enveloppait l"˜épée puis la saisissait pour la présenter à l'entrée de la grotte. D'une main franche elle transperçait la terre meuble de sa lame. La tanière vomissait des hurlements qui se faisaient de plus en plus présents. Il regardait. Elle attendait. Il avait mal au ventre. La créature était la même que celle qu'il pensait avoir tué. Elle avait grossi. Elle faisait pénétrer ses griffes brusquement dans les chairs de l'enfant. Son sang avait mis un temps avant de jaillir. Les tripes se décollaient de son estomac, il ne restait debout que par l'appui de ses coudes sur la garde de son épée. Elle s'enfonçait lentement jusqu'à s'embourber totalement. Il n'avait pas la force de la retirer. Les lèvres de la gamine étaient ouvertes. La viscosité rougeâtre qui en sortait l'empêchait de sortir un son, elle ne le voulait pas. Ses yeux étaient ailleurs, ils ne voulaient pas voir. Elle sentait dans son cou le souffle roque sortant de la mâchoire de l'être qui lui dévorait la jugulaire. Il voulait cracher ce qui lui déchirait chaque partie de son abdomen. La bête n'avait pas fini, Elle recommençait plus encore à enfoncer ses crochets dans les parties les plus charnues de la gamine qui était devenue totalement dénaturée. Dans un dernier râle, elle dévorait toute une partie de sa poitrine. Son corps entier n'était plus qu'un amas de lambeaux de viandes devenu insipides pour la bête. L'humaine déchiquetée, le monstre reprenait le chemin des limbes qui l'avaient créé. Il avait mal au ventre. Ayant perdu la sienne, il prenait l'épée de la petite fille et se décidait à suivre le chemin de la bête. Il s'enfonçait dans la noirceur d'une grotte humide.
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