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Terre des Éléments

Kal Thoreimn

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Tout ce qui a été posté par Kal Thoreimn

  1. oh oui dit donc... Un truc du genre hum....Résistance mineure ? :x ah merde, ça existe déjà.
  2. Contre. Le prix de la potion 400 pv est justifiée justement par le gain de poids et l'efficacité :s Tu dis prendre 50-75 potions. En prenant des potions à 400 pv, t'en prendrais 4 fois moins et t'aurais un gain de poids considérable. 50-75 potions de 100 pv = 100-150 de poids (5000-7500 pv au total ) 12-19 potions de 400 pv = 36-57 de poids (4800-7600 pv au total ) C'est pas parce que tu fais ton radin et que tu choisis de jouer d'une façon sans utiliser ce qui est mis à ta disposition qu'on doit te simplifier la vie. Après, si t'as pas envie de débourser, y'a des rocchus rouge, des tortogriffes pour chopper des consos à moindre coup (hormis les pcs. )
  3. J'en prend note Eyleen. Tu veux mon numéro de chambre d'auberge tout de suite ou on prend un verre avant ?
  4. Je pense alors avoir voyagé plus que nul homme, visitant les contrées les plus lointaines. J'y ai vu des civilisations prospères, d'autres sur le déclin, certaines disparues depuis des décennies dont il ne reste que ruines, décombres et légendes. Mais surtout, j'ai contemplé l'ignorance et la stupidité de mes semblables, l'étroitesse de leur esprit étriqué et intolérant face à l'inconnu ou ce qu'ils ne comprenaient pas. Nombre de fois, j'ai vu ce refus de la différence provoquer des guerres, des massacres. Souvent, la religion était brandie en excuse. Parfois, c'était sous le prétexte fallacieux d'apporter le progrès et la civilisation à des peuplades fonctionnant selon une philosophie, un mode de vie différent. Mais la plupart du temps, c'était le simple rejet de l'étranger, la haine de l'inconnu qui était la seule motivation de ces atrocités, voire les superstitions les plus absurdes. C'était il y a bien une vingtaine d'années que mes errements m'avaient conduit aux limites du monde humain, là où de gigantesques chaînes montagneuses se dressent. Je n'avais moi-même qu'une vingtaine d'années également, ayant cherché à atteindre les confins du monde connu le plus rapidement possible. Là bas se rassemblait la pire engeance que l'on puisse trouver, dans ces terres dévastées et appauvries par une guerre depuis longtemps finie, mais qui y avait laissé sa marque, cicatrice purulente qui ne guérirait sans doute jamais. Les soudards et les mercenaires n'étaient jamais partis, et la population locale en faisait les frais. Rapines, violences, meurtres. Un quotidien charmant, surtout pour le voyageur de passage. Là, plus qu'ailleurs, mes cheveux blancs me valaient des regards de dégout, dans le meilleur des cas, de haine dans les autres. Nombreux sont ceux que je dus remettre à leur place pour avoir tenté de lever la main sur ma personne. Une mise au point polie avec l'un de mes fougueux interlocuteurs m'appris que la guerre en question avait plutôt une allure de chasse aux korgaïs, ces êtres à la peau aussi noire que la nuit, à la chevelure lunaire,et qui vivaient enterrés dans des cavernes. Le seigneur local de l'époque semblait apprécier fort peu cette promiscuité et écoutait plus volontiers les racontars de chaumières que la sagesse des livres. Il avait donc ordonné le massacre de ces «Â êtres maudits », cette «Â engeance maléfique » qui ne méritait pas de respirer le même air que les braves et valeureux hommes de ces contrées, ni de fouler la même terre. D'ailleurs, il était largement temps selon lui de débarrasser cette terre et ces montagnes de cette présence indésirable. Bien évidemment, le brave homme oubliait de préciser que cette présence durait depuis des temps immémoriaux, les korgaïs occupant les lieux bien avant qu'un homme ait songé à s'y établir, ou même osé s'y aventurer. Cependant, une extermination est une entreprise difficile à réaliser, et une partie des korgaïs semblait avoir échappé au pogrom. Suite à mes fréquentes et plaisantes discussions avec la gente locale, la prévôté, conduite par le bourgmestre du village miteux ou je songeai à m'établir quelque temps pour explorer les environs, vint aimablement me faire comprendre que ma présence n'était pas souhaité plus longuement. Quelques échanges affables plus tard, je me dirigeais vers l'orée du bois tout proche, laissant mes nouveaux amis reprendre leurs esprits...quand ils le pouvaient encore. Vivre ainsi dans les bois avait quelque chose de rafraichissant. La forêt s'étendait sur de vastes arpents, rampant sur le flanc de la montagne jusqu'aux cimes enneigées. L'air y était doux et humide à la fois. La faune et la flore y étaient florissantes et il était aisé d'y trouver de quoi subsister par la chasse et la cueillette. Le soir, au coin du feu, la lecture d'un des nombreux ouvrage que j'avais «Â emprunté » peu de temps auparavant suffisait à mon bonheur. Puis je l'ai rencontré. La première korgaï de mon existence. C'était par une belle nuit étoilée. La lune éclairait d'une lueur blafarde de son quartier les alentours, faisant bouger les ombres de la forêt. Quelques nuages épars traversaient le ciel. Des bruissements, des craquements m'avaient tirés de ma torpeur. Me redressant rapidement, j'avais vite étouffé les braises mourantes de mon feu de camps. Quelque créature se promenait dans les environs, mieux valait ne pas l'attirer. Furtivement, je me mis en chasse afin de trouver la cause de tout ceci. Un bruit d'eau qui s'écoulait en douce cascade s'entendait au loin. Au fur et à mesure de ma progression, l'ombre semblait se dissiper, la végétation devenir moins dense, jusqu'à une sorte de clairière, adossée en demi cercle à la roche et au centre duquel s'écoulait la cataracte d'eau précédemment entendue, qui tombait au centre d'une sorte de bassin cristallin. Là, je l'ai vu, la «Â perfide créature maléfique »...Et je dois dire que c'était l'une des choses les plus belles qu'il m'avait été donné de contempler. A cet instant, j'ai pensé que si c'était cela, le mal, alors il aurait été bon d'y succomber. Retenant mon souffle, je me suis tapi dans les fourrés, ne voulant pas troubler ce tableau qui avait quelque chose de magique, d'irréel. La jeune korgaï, entièrement dévouée à ses ablutions, semblait danser au milieux de l'onde pure. Les yeux fermés, elle présentait son visage à l'eau de la cascade qui tombait en ruisselant et s'écoulait en goutte scintillantes le long des courbes de son corps. Baignant tout autant dans la lumière de l'astre lunaire que dans le liquide transparent, sa peau sombre renvoyait milles éclats argentés. Sa longue chevelure ondulée brillait du même éclat alors qu'elle se perdait en cascade dans le creux de ses reins. Elle semblait être à peine plus jeune que moi, plus une adolescente, mais pas tout à fait une femme...Difficile d'en être sur, j'ignorais tout des caractéristiques de sa race. Soudain, elle cessa son activité aquatique, mettant par la même fin à ma rêverie. Toujours caché, je n'osais me dévoiler et avouer ainsi que j'avais assisté à cette scène, et pourtant je brûlait de faire connaissance avec la demoiselle, milles questions assaillant mon esprit au sujet de son peuple. L'hésitation me rongeait et je n'eus pas le temps de me décider. Elle le fit pour moi en disparaissant discrètement, comme avalée par la végétation.. Songeur, encore sous l'effet de la vision auquel j'avais assisté, je suis rentré à mon campement. Le sommeil fut difficile à trouver après ça. La nuit suivante, il fut tout aussi laborieux. Je guettais le moindre son en provenance du lieux en question. Mais rien ne se produisit cette nuit là. En revanche, la suivante répondit à mes attentes. Mais une fois encore, l'émotion me priva de toute volonté d'intervention. Mon esprit froid et calculateur semblait s'engourdir face à la magie de l'instant. C'est donc tapi et honteux que je profitais de ces quelques moments de félicité, cherchant vainement le meilleurs moyen de prendre contact. Ce petit jeu dura une dizaine de jours. Aujourd'hui encore, je ne sais si elle avait remarqué ma présence alors, et s'en amusait. Le sang qui coulait en elle lui en avait certainement donné la capacité. Peut être que mon attitude la rendait perplexe et qu'elle nourrissait à mon égard autant d'intérêt que j'en avais pour elle. Mes congénères l'avaient habitué à des comportements moins précautionneux et plus brutaux. Mais alors que je contemplais une fois de plus le bain nocturne, un craquement rompit le silence, derrière moi. Le souffle coupé, je me retournais. Ce n'était pas mes congénères, mais les siens, qui avaient décidé de venir se promener dans les parages. Et leurs mines peu réjouies me montraient à quel point ils désapprouvaient l'objet de ma petite étude. D'un bond, j'étais debout. La belle inconnue laissa échapper un cri de surprise et d'effroi. Effaré, je contemplais son visage terrifié. Quel imbécile j'étais. Comme si elle avait put penser un seul instant ce que je m'imaginais. Déboussolé, je restais un instant interdit, mais la réalité ne me laissa pas vraiment le temps de reprendre mes esprits. Un reflex me permis d'éviter un premier coup de branche porté par l'un de mes adversaires, mais un autre vient s'écraser contre mes côtes, sur ma gauche. Pas le temps de réfléchi. Le souffle coupé, la vue légèrement brouillée, je bondis l'épaule en avant en plein dans le poitrail d'un de mes agresseurs sur ma droite. Le korgaï, surpris, tomba à la renverse. Profitant de l'espace ainsi créé, je pris la fuite, le souffle court, l'esprit confus. Après quelques minutes de courses effrénée dans les bois, mes adversaires sur mes traces, une certitude s'imposait à moi : je n'arriverais pas à les semer de cette façon. Ils sont trop habitués à la géographie des lieux et sans doute plus doué que moi pour la chasse et la furtivité. Je décidais donc de prendre le seul chemin qui leur paraitrait improbable et me lançais dans l'escalade du versant escarpé de la montagne qui se dressait sur ma gauche. Etrange comme l'homme acculé à tendance à vouloir grimper vers les cieux pour fuir le danger qui le menace. Celui ci montait de plus en plus, jusqu'à finir en sorte de falaise. Une sorte de corniche courait tout son long, juste un chemin de chèvre suffisant pour un seul homme. L'inconvénient, c'est qu'il se dirigeait en sens inverse à ma fuite initiale, en direction de la cascade. Un rapide coup d'œil derrière moi m'appris que mes poursuivants n'avaient pas été dupes, et qu'ils étaient de nouveau sur mes talons. Cela suffit à faire s'envoler toutes mes hésitations. Appuyé contre la parois abrupte, j'avançais précautionneusement sur le sol inégal aussi vite que je pouvais. Mais mes adversaires étaient plus agiles, plus rapides....Leurs voix se rapprochaient inexorablement. Fou que j'étais, je me croyais hors de portée de leurs attaques lorsqu'une première pierre s'écrasa à quelques centimètre de mon crâne. Une seconde s'écrasa à l'endroit même ou je me tenais la seconde auparavant, puis je sentis une douleur fulgurante entre mes omoplates, et une autre plus bas dans mon dos. Touché à la cuisse, j'avançais plié en deux, boitillant tant bien que mal jusqu'à ce qu'une douleur me saisisse le crâne, m'obligeant à porter la main à ma tempe. Ébahi, je contemplai hagard à la lumière de la lune mes doigts ensanglantés au travers de ma vue brouillée. Bizarrement, mes jambes semblaient avoir été coupées, à moins que ce ne soit le sol qui ait disparut sous mes pieds ? Brassant vainement l'air, je cherchais à m'accrocher à la première chose venue..qui ne vint jamais. Et le monde se mit à tournoyer dans une obscurité oppressante pendant ce qui me parut une éternité.
  5. Rageur. shiryu, tu m'sers un verre ? *verse des cacahuètes dans une assiette*
  6. j'parie que c'est lui qui les fait pousser pour sa conso personnelle.
  7. aaaaaaaaargh, mais quelle horreur
  8. mouais j'suis pas fan du sitting d'auberge a 6 vs 1 j'préfère un bon gros 2 vs 2 sur une map dégagée (voir plus )
  9. j'crois pas que ce soit un bug. C'est la nouveauté dut a la modification de l'aveuglement, afin d'avoir les flèches de déplacement toujours visibles.
  10. l'auberge sud c'est un autre problème. Du fait de la position de brings et de la marchande de potions a proximité de l'aubergiste, ça a toujours été une auberge appréciée par beaucoup de monde. Ceci mis à part, j'suis pas emballé par l'idée. Permettre aux petits levels de se trimballer avec des sommes importantes sur eux et des objets sans prendre de précaution, je ne trouve pas que c'est leur rendre service pour la suite. La chute risque d'en être que plus rude.
  11. roh faut pas dire ça. On peut toujours se boire une bière dans une taverne à l'occase ~~
  12. a cause de la nature humaine. On préfère évoluer en planqué bien peinard, en minimisant les risques. Donc au final, une majorité des joueurs, même les grands pvpistes actuels, vont sortir faire leurs séances d'xp sans pvp, tranquilou. Puis, quand ils auront envie de raider, et qu'ils seront suffisamment nombreux / haut levels, ils sortiront en mode pvp....Mais la, pas de bol, toutes les proies qu'ils vont croiser seront en mode "élevage", donc impossible de pvp. Comme dirait alors thanos, "c'est dommage ma p'tite lucette", et la joyeuse troupe n'aura alors plus qu'a rentrer mettre ses pantoufles et se poser au coin du feu, avec une bonne verveine. En gros, va falloir prendre rendez vous pour pvp. on va dire le 30 mars, ok ? Quoi que j'suis pas sur, j'aurais peut être une séance d'xp a faire a ce moment la. edit: a ouais et j'oubliais, le ratio de 1000 pe, c'est trop peu. Je tiens 4 sorties avec 1000 pe si je veux....ça fait un sacré paquet d'xp peinard avant une quelconque perte de %.
  13. Ouais mais toi Hecate, t'es une Ombre, c'est pas pareil, t'es avantagée. (Warning, there is some hidden irony inside this post...)
  14. Mais comment vous faites ? Moi j'croise jamais personne :'(
  15. Comment j'vais pas réussir à en dormir ce soir j'sens que j'vais cauchemarder
  16. J'dois avouer que l'idée me botte... Surtout avec un bon gros boss à la fin et des AOE J'suis pas contre quelques status aléatoires non plus, ni une attaque de DoT j'suis pas emballé par l'idée des donjons spécifiques aux karmas par contre, mais ça reste une possibilité pour diversifier ce genre d'endroit
  17. Superbe la leçon de tir :') et sympa aussi la fontaine de chocolat On peut avoir la même dans mz ? XD
  18. J'abonde dans le sens de renommer spécialement l'attaque de Tortank en Hydrocanon. Je pense que cela lui permettra de donner une toute nouvelle perspective à son personnage et de mieux s'identifier à lui
  19. Combien de galettes ? (officielles ou officieuses )
  20. J'en étais sur, c'est Exo qui porte le pantalon dans votre couple.
  21. Euh...L'esquive elle est redoutable d'efficacité...Et en plus elle dure déja dans les 2min si mes souvenirs sont bons. L'aveuglement a coté, sa durée c'était une blague. Et les effets sont loins d'êtres comparables. j'peux pas parler pour la vision nocturne vus que j'connais pas les effets exacts de cette aptitudes.
  22. C'est beau dans l'idée, Val, mais j'y crois pas une seconde, à ton choix du pvp. En gros ce qui va se passer, c'est que les gens vont tous se mettre en mode non pvp pour basher du monstre...quêter, rebasher du monstre, quêter.... Et à l'occasion, quand ils auront une envie de tuerie qui les démangent, ils vont sélectionner le pvp pour pourir la forteresse du voisin et faire une razzia sur les méchants notoires. dans l'histoire je suis pas persuadé que y'aura plus d'interaction. Juste que avec l'immunité, plus rien à craindre, donc on pourra rester à coté des néfaste/maléfique sans crainte et même les narguer vite fait tiens, tant qu'a faire. (ça peut aussi marcher en sens inverse. ) Donc on supprime une interaction pour la remplacer par du vent. Surtout que même avec ce risque en moins, rien ne garanti que nos chers collègues joueurs vont prendre leur temps et non pas s'empresser de faire leur tour et de rentrer. edit : Ah oui sinon, pour ceux qui disent qu'ils osent pas rp, parce qu'ils sont mauvais blablabla. Moi aussi et comme dit Eyleen, on s'en fout. Faut se lancer et espérer que ça passe. y'a qu'en pratiquant qu'on peut s'améliorer, faire évoluer son style, trouver de nouvelles tournures plus agréables. De toute façon, ça sert a rien de loucher sur le voisin, y'aura toujours meilleurs que soi ailleurs. Quand à l'excuse du manque de temps, elle est bien bonne. C'est pas comme si on demandait la rédaction d'une disserte de 30 pages. et rien n'oblige d'écrire à un rythme effréné non plus.
  23. Et voila, l'affront avait été lavé par le sang. Comment avaient ils osé, ces vils rufians....Venir ainsi, avant même les premières lueurs de l'aube, comme de vulgaires assassins de bas étage, incapables de réunir une véritable troupe, ils avaient rameuté tout ceux qui se présentaient à eux, sans organisation ni concertation. Lamentable. Tenter de profaner notre illustre demeure alors qu'ils n'étaient même pas dignes de l'approcher, encore moins de la toucher. La punition aurait dut être encore plus exemplaire. Il fallait vraiment rappeler à ces gens quelle est leur véritable place, que ceci ne se reproduise plus...L'idée ne devrait même pas les effleurer. Il fallait leur faire comprendre une fois pour toute ce qu'il en coute d'essayer de s'attaquer à l'Ombre. Qu'ils se contentent de se complaire dans la poussière du désert pendant que le phœnix les survolait de sa gloire et de sa puissance Mais pour cela, je savais que je pouvais faire confiance à notre générale Ara. Malgré son jeune âge, elle avait un don pour ce genre de chose. D'ailleurs je n'ai pas eut longtemps à attendre sa réaction. Deux jours après l'expédition punitive, elle est venue nous apporter une ébauche de missive adressée à la populace melrath zoracienne. Claire, concise, simple...Un peut trop peut être, mais il fallait bien que ceux à qui elle s'adressait soit en mesure de la comprendre. Une note de mépris en plus aurait été aussi la bienvenue, mais tant pis, cela serait suffisant. Suite à l'acquiescement général, des notes similaires furent rédigées, et à la nuit tombée, c'est une petite procession d'Ombres munit des précieux parchemins qui fit le tour des auberges du coins, placardant à la vue de tous le nouveau message. Désormais, nul doute n'était permis. Le peuple savait que toute action entrainerait des représailles sans pitiés. La dernière missive affichée, c'est avec un sourire satisfait aux lèvres que je suis rentré avec le reste de la troupe dans notre forteresse intacte et inviolée.
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