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Terre des Éléments

la saga de Basal Thrull


basal thrull
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C'étais le lendemain d'une grosse grosse tempête, y'avais un galion qui s'étais échoué sur une plage de mon ile...

Il étais remplis de centaine d'esclaves, mais les neg..neg..négriers! N'avais pas voulu les libérer de leur chaines et leur stock de nourriture étais tombé a la mer pendant la tempête, alors ils avais laissé tout ces gens dans le bateau a mourir de faim

Mais ils s'étais finalement tous endormis mangé par les rats avant que la faim les achèves...

J'ai vu leurs esprits s'envoler, mais certain sont resté auprès du bateau, alors, pour m'amuser, je leur avais fait regagner leur corps qui dormais en décomposition, leur mains squelettiques passais facilement a travers leur fers et ils se sont mis a marcher vers l'auberge où dormais leurs négriers en attendant d'être rapatrié par leur armateur..

Je les ai suivit, mais pas quand ils sont entré dans l'auberge, après, j'ai entendu des cris et des bruits bizarres, mais je suis pas resté, je suis vite vite rentré dans le château de mon père

Le lendemain, tout le monde m'accusait, pourtant j'avais pas laissé de traces, mais on avais retrouvé des corps décomposé prés des restes de respectables esclavagistes

Alors, mon papa a prit ma défense en parlant du Voodoo des esclaves et que ça a du être ça qui a réveillé les cadavres, mais les villageois, ils étais pas convaincu en repartant...

après, mon papa m'a donné une fessé et pis il m'a serré fort contre lui en pleurant, il m'a dis que j'avais fais quelque chose de bien, mais que j'avais quand même été méchant....j'ai toujours pas compris son histoire, mais c'est vieux tout ça maintenant....

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chose promise, chose dû

voici le conte de m'sieur drôle de tête (l'historien du tout début au tuto quoi) m'a dis (deuxième post de ma saga qui fait frémir les hommes et se pâmer les femmes)

pouf pouf*

Alors, voila comment le m'sieur drôle de tête m'a raconté l'histoire

« il fut un homme qui aimais beaucoup , beaucoup les femmes, il passais sans cesse d'une beauté à une autre, il les aimais et les oubliais au fur et a mesure de ses vagabondages de villes en villages

ainsi, un jours, il espionna une magnifique jeune vierge qui se baignais au bord d'une rivière, si gironde dans son costume de naissance

il cacha ses vêtements et quand elle sorti de l'eau, elle l'aperçu

il lui promis de lui rendre ses vêtements si elle devenais son amante mais elle refusa a moins qu'il lui promette qu'il fasse d'elle sa femme, et que ça soit dans la première église qu'ils croiserons

« je le jure, si je met un pied dans une église, se sera pour t'épouser » dit-il

( et le diable si j'entre a nouveau dans une église se dit-il par devers lui)

« et que jure tu si tu brise ce serment ? » demanda-t-elle

« si je ne t'épouse pas, dit-il, alors que les vers me manges (ce qu'ils feront de toute manière, pensa-t-il, quand mon temps sera fini) et si je ne t'épouse pas, que des ailes poussent a nos enfants et qu'ils s'envolent au loin (et si ça arrive par miracle, ça ne sera pas un bien grand mal) »

alors ils s'embrassèrent ici et là et firent bien d'autres choses, et quand ils eurent fini, il lui rendis ses vêtements et elle le suivit sur la route

ils passèrent devant une première église

« marrions nous ici, dit-elle

- Oh ! répondit-il, nous ne pouvons nous marier ici, car le vicaire est un peu dérangé, voir même fou »

Elle ne dis rien mais son regard reflétais son cœur brisé

Quand ils passèrent devant l'église suivante, son ventre s'arrondissait

« marrions-nous ici, dit-elle

- je n'irais pas dans cette église car sont vicaire est un soulard et de plus, les saxons ne sont pas spécialement mes amis

- mais, tu a PROMIS, dit-elle

- je n'y entrerais pas » lui répéta-t-il, et il la frappa

son visage saignais quand elle se releva

« alors c'est comme ça ?

- Oui, c'est comme ça

- Bien, dit-elle, mon ventre grossis d'un enfant et je voudrais m'arrêter un temps, je ne peux pas rester sur la route, il y a-t-il un endroits où je puisse me reposer ? »

Il l'a fit donc assoir sur le bord de la route et partis en avant

Il atteignis un cottage et y entra car la porte n'étais pas verrouillé, et dans ce cottage, il vit une vieille femme dormant dans son lit

[ici, mon papa me racontais que la vieille femme étais une sorcière, mais cette fois, le m'sieur drôle de tête me disais que c'étais juste une vieille femme normale ; en tout cas elle étais vieille et faible]

l'homme lui bloqua la bouche avec sa main et lui ferma les narines avec ses doigts jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus respirer et il la traina derrière le cottage et l'enterra dans la campagne

il revint chercher son amante et lui dis

« c'est une bonne chose que l'on soit passés par ici, ma vieille tante viens de mourir et nous a laissé son cottage »

Oh, c'étais un mauvais homme celui là. Donc il la mena au cottage et l'y laissa

Il revins régulièrement, a quelques semaines d'intervalles pour s'assurer qu'elle étais toujours là et pour voir ses enfants, car elle eu trois belles petites filles avec les années, mais il ne revenais que pour un jours ici et là, avant de repartir roder dans la région encore et encore

C'étais un endroit isolé, mais il y avais des légumes dans le jardin et de temps a autres, il ramenais un agneau ou un porcelet, ainsi, elles n'eurent jamais faim

Seulement, un jours, il revint mais ne trouva ses filles nulle part, et ses enfants étais la prunelle de ses yeux

« où sont les petites ? demanda-t-il a son amante

- partis ramasser des mûres, dit-elle

- au printemps ? » (il n'y a nulles mûre au printemps mon garçon, mais je ne sais pas si il y a un printemps là d'où tu viens)

mais elle ne répondis pas et les filles ne rentrèrent pas

quand la nuit tomba, il lui redemanda

« où sont les petites ?

- partis pêcher

- le bébé aussi ?

mais elle fit comme si elle ne l'avais pas entendu

le matin suivant, il la réveilla

« où sont les petites ? Où SONT MES ENFANTS ?

- elles se sont envolées répondit-elle

- envolées ?

il l'a secoua pour lui faire dire la vérité, mais elle ne changea pas ses dires

alors il alla chercher la hache dehors et la découpa en morceau

un bruit venais de dehors, il poussa donc sous le lit les tranches, les morceaux et les bouts de son amante

et ses filles, l'ainée, la cadette et la petite dernière descendirent du ciel, chacune étais ailée

elles entrèrent dans le cottage

« où est notre maman ? demandèrent-elles

- elle est dehors a ramasser des mûre, mentit-il

- et s'est quoi le sang sur tes main et sur le sol ?

- je tuais un cochon de lait, dit-il

mais la plus jeune, elle regarda sous le lit et vit le visage mort de sa mère les regarder

alors elles lâchèrent une plainte longue et profonde et triste, et elles se jetèrent sur lui, toute les trois, toutes griffes dehors et elle le tuèrent. Elles laissèrent son corps sur le sol.

Elles s'envolèrent ensuite dans le ciel et personnes ne les revus plus jamais

Dès qu'il fut sûr qu'il étais mort, il se releva et s'ébroua , ensuite, il regarda autours de lui et là, l'attendant sur le lit, étais sa femme, avec de longues griffes et des yeux luisant, comme ceux d'un chat prés a bondir

Naturellement, il commença a courir, mais il sentais son haleine froide sur sa nuque

Il conjura la foudre

« frappe moi ! »

mais l'orage refusa car il étais déjà mort

alors il couru dans le feu et le supplia de le bruler

mais le feu ne le pouvais car la froideur de la mort l'entourais

et il se jeta dans l'eau et il cria

« noie moi ! »

mais l'eau refusa car la pâleur cadavérique s'emparais déjà de son visage et elle le repoussa

finalement, il se jeta au sol dans la campagne et pria pour que les vers vinssent le manger afin qu'il puisse reposer dans sa tombe et être quitte de son amante

il plongea sa main dans le sol et se retrouva à serrer la main du squelette de la femme qu'il avais tué pour le cottage

il s'allongeai dans la boue, toujours serrant cette main et il attendis sa femme...

et s'approchant en rampant, un grand vers arriva, et chose étrange, il avais le visage de sa femme au bout de ce long corps maigre et il rampa sous lui, sur lui, et autours de lui et il chassa tout les autres vers qui étais là. Ses dents étais fines et longues.

Elle enroula autours de lui son longs corps maigre et lui murmura son nom a l'oreille

Et il cria

« tue moi, pour l'amour de dieu ! qu'on en finisse ! »

mais elle le lécha avec une longue langue de vers et secoua doucement la tête

« un met de cette qualité se doit d'être dégusté, dit-elle, reste calme et laisse moi savourer »

et elle pris un premier, petit morceau de sa joue avec ses longues, longues dents pointues... »

voici comment le m'sieur drôle de tête m'a raconté son histoire.

Titre original : The children who flew away

Auteur : Neil Gaïman

Traduction et adaptation : Basal Thrull

Tout droit réservés à DC comics (ça fait super sérieux, non ? ^^,)

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  • 1 month later...

« « .......et les zombies vécurent heureux et eurent plein de petits fantômes », voila, fin de l'histoire, bonne nuit petit Basal, Smack !

- bonne nuit tatie Ignis

- fait de beaux rêves

- tatie Ignis ?

- oui ?

- comment ils ont fait pour avoir de petits, les zombies ?

- je t'expliquerais un jour» répondis-t-elle avec un sourire ému

La sorcière borda l'enfant puis sortie de la petite cabane perchée du jeune nécromant et descendis l'échelle, tandis que le petit Basal se tournais sur le coté dans son lit et s'endormais rapidement.

Les rêves commencèrent...

« Pam.....Pam.....Pam.... »

Une chanson étrange chantée par une armée de biscuits-bonhommes qui processionne sur une route de chocolat blanc

Le paysage est constitué de sucreries, des sucres d'orge et de la barbe à papa tiennent lieu d'arbres, des confettis de sucre luisent dans le ciel d'une nuit chocolat où passent des nuages de blanc d'œufs battus en neige.

Des ruisseaux de sirop de tous les parfums descendent paresseusement de collines en sucre, tandis qu'une faune en gélatine et en guimauve traverse la plaine et vaque a ses occupation (manger, boire, et se faire des trucs O0)

Le petit Basal Thrull ne se sent plus de joie et décide de se joindre à la curieuse armée

« Une deux ! une deux ! »

La marche au pas est amusante mais quelque peux fatigante, au bout de quelques minutes (ou bien est-ce des heures ?) l'étrange procession arrive à un grand château de pain d'épice dont le pont levis s'abaisse de lui-même pour laisser passer l'armée...

Mais se relève aussitôt quand le petit garçon tente de s'engager à son tours >_<

Il tambourine alors à la porte en caramel et appel de toutes ses forces

Au bout d'un moment, un soldat biscuit se montre sur les remparts et l'interpelle

« Qui va là ?

- c'est Basal Thrull m'sieur

- c'est lieutenant saccarose que je m'appelle gamin ! tu veux quoi ?

- ben j'veux rentrer moi !

- bouge pas, je vais demander à la reine rose »

Un longs moment plus tard, une grande madame-biscuit au sucre rose avec une couronne de miel se penchait a son tours au dessus des rempart

« ouiiii ? »

Sa voix étais haut perchée et très crispante, réprimant une grimace, le petit Basal répond

« Ben, je voudrais rentrer dans vot'château s'il vous plait m'dame reine rose...

- pour quoi faire ?

- ben pour voir

- et c'est tout ?

- ben oui

- et pourquoi tu veux...voir ?

- j'adore les bonbon !! *o*

- et ben tu rentre pas ! ouste !

- mais....

- Nan ! dégage petit ! »

La reine rose se retourne royalement et pars d'une démarche aristocratique au possible (un mélange de sautillement et de boitement en gros)

Le petit garçon reste la mâchoire pendante >_<

Alors, il recommence à taper à la porte

Le lieutenant saccarose répond

« quoi encore ?

- en, je veux rentrer moi !

- t'as entendu la reine, non ? dégage !

- mééééééééé !!!! >_<

- du balais ! et n'y revient pas ! »

Triste, le petit garçon commence à repartir, mais au premier tournant du chemin, il rencontre un monsieur très, très bizarre...

Il avais une tête de citrouille comme y'en as à Samain et pis il étais habillé comme un épouvantail, à la bouche, il avais un cigarillo qui pue et il poussais une brouette pleine de trucs en grognant

« saleté de taf, faut t'jours qu'y'a des trucs qui débloquent, et nat'rellement le patron l'capte à chaque coup :

« Merv, les nuages sont trop uniformes ; Merv, il faudra repeindre le ciel pour l'accorder aux changements de lumière ; Merv, cette fois ci, rappelez vous que les lacs gelés sont généralement froids je vous prie ;ect, ect... greugneugneu !!»

En apercevant le garçon, il s'arrête, rallume son mégot et lui dis

« Tu fout quoi ici toi ?

- ben, je peux pas aller dans le château là bas !

- le ch'teau des biscuits ?

- voui ! mais vous faites quoi vous ?

- moi, j'ai des trucs à fixer, met'du sucre glace sur'les nuages et r'froidir les falaises en sorbet, c'est mon boulot ici, j'fabrique les paysages et crois moi, c'pas d'la tarte et pis...B'SANG TINY !!! R'PASSE-Z-Y UNE COUCHE !!!!!!

- hein ?

- non pas toi, j'cause à un d'mes assistants »

En effet, une petite chauve-souris coiffée d'un chapeau melon, avec un cigare à la bouche redescendais du ciel avec un pinceau pour le tremper dans un seau dans la brouette pour remonter aussitôt vers le ciel ou elle se confondais avec la nuit-chocolat.

« Bon, s'cuse moi p'tit, mais j'ai encore plein d'taf alors j'te dis de faire d'beaux rêves, et s'tout, m'abime pas l'château d'pain d'épice, c'tais un enfer à cuisiner »

Et il est repartis aussitôt avec sa brouette, suivit par quatre ou cinq chauves-souris identiques à la première.

Une idée viens à l'esprit du jeune nécromant qui retourne au pied du château pour l'examiner de plus près, puis il prend un petit morceau du mur et le porte à sa bouche

« c'est vraiment du pain d'épice hey ! *o* »

Basal se jette alors sur la muraille toutes dents dehors et commence à bâfrer pour se creuser un trou.

A peine a-t-il posé le pied dans l'enceinte du château, qu'une sentinelle sonne l'alerte, aussitôt, une colonne de soldats biscuit se forme pour se jeter sur lui.

Commence alors une bataille homérique, Basal Thrull, armé de ses dents et d'un appétit féroce, contre une phalange de bonshommes-biscuit tentant de le maitriser, le tout ponctué par les cris hystériques de la reine rose trépignant sur son trône installé en surplomb sur une muraille.

Dès qu'un des biscuits pose la main sur lui, il se fait impitoyablement manger

Après quelques minutes de combats acharnés, le sol de la cour intérieur du fort est jonché de morceaux de bonshommes poussant des râles, mais le flot de soldat ne se tarit pas, dès qu'un des ennemis tombe, un autre prend sa place...

Basal, lui, commence à se sentir sérieusement ballonné et nauséeux, la fatigue s'empare de sa mâchoire et les soldats se font de plus en plus pressant...

Au moment de succomber sous le nombre, le petit garçon entendis le tonnerre et sentit des gouttes sur sa main....

Une averse de lait se déchaine à ce moment précis, l'armée de bonshommes se met a paniquer aussitôt, leurs corps absorbent le liquide, s'amollissent et fissent par s'affaisser.

La reine rose, abritée sous un parapluie , se met a crier de plus belle en gagnant encore une octave.

Le môme se sent de plus en plus ballonné, il se tourne vers la souveraine hystérique et........

.......se réveille en nage, se lève et cours à l'unique fenêtre de sa cabane pour vomir avec fracas.

En contrebas, le pauvre Lolokito qui s'étais levé pour chercher un verre de lait en est quitte pour une bonne douche en prime (HuHu !!^^,)

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  • 3 weeks later...

Y'a deux jours, c'était un jours particulier, Nadhir m'a dis que c'était la fête des mamans !!O0

Moi, j'ai jamais fais cette fête là, j'avais pas de maman pour ça, mais maintenant, j'en ai tout plein, tout plein !!!

Alors, j'ai fabriqué pleins de cadeaux avec mes petits doigts et j'ai passé l'après midi à faire le tour du campement des constellations...

J'ai trouvé Ignis dans sa tente et elle étais toute contente quand je lui ai donné un collier en vertèbre de lézard, j'avais pas eu le temps de tout bien nettoyer et du coup, il restais un peu de sang et de chaire sur les os, mais elle m'a dis que c'étais pas grave et elle m'a fait un gros bisou sur le front !!! *o*

Apres, j'ai couru voir Anamaya qui s'occupais de ses ruches et elle étais toute surprise quand je lui ai donné un pot a miel que j'ai fait moi-même avec de l'argile, elle a rougis et pis elle m'a dit qu'elle y mettrais sa gelée royal tellement il étais était beau, chic, chic !!

Apres, j'ai trouvé Tchae et Calyso qui s'entrainant avec des bâtons, et pis j'leur ai donné des gâteaux en forme de cœur que j'ai fait moi-même, mais vu que j'avais mangé tout le sucre, j'l'avais remplacé par du sel, après tout, c'est tout blanc aussi, non ? ^^'

Elles en ont mangé un petit bout et pis elle ont fait une drôle de grimace, après, elles ont mis les gâteaux de coté en disant qu'elles les finirait plus tard, en tout cas, elles étaient fières de moi !! ^^,

Et pour finir, j'ai écris un poème sur une feuille de papier et pis j'ai grimpé en haut d'une colline, j'ai fait un oiseau en pliant la feuille de papier comme il fallait et pis je l'ai balancé ^^

Il volais super bien !!! Pendant qu'il planais, j'ai crié très fort :

« bonne fête maman "˜nannick-heu !! j'espère que tu va aimer mon poème-heu !!!! »

et pis je suis redescendu parce que la nuit, elle tombais, et pis que j'avais faim moi....

C'était une super fête des mamans en tout cas!!!

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