L'arrivée sur les terres inconnues...

[Braz]

Melrath Zorac, les mots les plus prononcé sur la terre de feu ; contrée inconnue et pourtant si recherchée. Chaque jours je m'interroge sur son histoire et j'essaye de m'imaginer ces terres hostiles.

Je sais que je ne peux pas y aller, le garde est encore trop vigilent aux gens qui essaye de passer la grotte.

Je repasserais, dis-je chaque jours plus impatient que le précédent.

Ma grosse massue se lève et s'abaisse instantanément sur la première flammèche venue. Je répète ce geste chaque jour en pensant aux dites terres, celles ou la véritable histoire commence.

Je n'éprouve plus de plaisir à exterminer ces pauvres créatures devenues tellement banale et monotone. Je suis tellement curieux et impatient de rejoindre ces terres que je n'ai plus que cette idée en tête.

Le matin succède au soir, un sentiment étrange me parcourt, je n'ai dormi que très peu et je me lève déjà. Je ressens un poids sur ma poitrine, une chaleur brûlante insupportable. Le pendentif W me joue des sienne, c'est peut être le moment que j'attend depuis si longtemps.

Pour la première fois, le maître du feu me reçoit enfin, il me conte l'histoire des terres que je recherche et m'offre un pendentif sacré.

Toujours aussi flou dans ma tête, je presse le pas jusqu'au gardien du domaine qui ose me demander si je souhaite réellement passer après toutes mes tentatives... Je souris brièvement et rentre dans la grotte.

Le tunnel tracé pour rejoindre les terres de Melrath Zorac est tellement glacial et sombre, je peine à mettre un pied devant l'autre, le chemin me semble si long, j'en regretterais presque la chaleur d'Ignis.

A peine sorti du tunnel, fouillant les nouvelles terres qui se dressent devant moi, je suis attaqué par une multitude de rats de ville... saleté de bêtes...

Les terres semblent désertes, je m'arrête au milieu du désert ou je suis arrivé, non loin d'un gros cactus vert et j'attend. Je guette les horizons et ne repère aucune trace de vie.

Je quitte les terres de cendres et de laves pour ce maudit sable qui rentre dans mes pauvres bottes à chaque pas que je fais.

Je me dirige vers un bâtiment en pierre grise dont la porte n'est rien d'autre qu'une accumulation de barreaux dressé verticalement...

Je trouve un moyen de franchir le pas de la porte, et toujours ces rats autour de moi ; ces rats produisant l'unique bruit que j'ai perçu depuis mon arrivé.

A peine le temps de me faire graver le signe de ralliement des enferS -§- par un noble habitant du coin, qu'une étrange lueur blanche, légèrement bleuté s'installe dans la pièce.

Cette lueur deviens de plus en plus forte, je me retourne et cette ci m'aveugle fortement, elle se déplace à une grande rapidité tel un souffle de vent glacial.

Une forte douleur me prend à la poitrine, je souffre, je ne peux rien faire, quel sentiment étrange...

...

Je me réveille je ne sais combien de temps après, sans savoir ou je me trouve réellement. Toujours cette douleur à la poitrine qui me rappel la situation auquel je me suis confronté la veille. Je n'ai identifié qu'une maigre ombre puis plus rien.

Mon arrivée sur ces terres a été marquante et probablement attendue.

Rancunier à outrance, je te retrouverais...

Modifié (le) 16 décembre 2007 par Braz