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Terre des Éléments

LE NARRATEUR

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  1. petit ajout: voici la chanson qui m'a inspiré cette petite histoire coutry death song by the violent femmes
  2. Il étais une fois, un fils de berger qui faisait paitre son troupeau de chèvre sur une colline, Au sommet de cette colline, un puits asséché trônait, et le jeune berger aimait à s'y assoir pour y jouer de la flute de pan. Un jour, une voix douce sortie du fond du puits pour parler au jeune berger : « j'ai faim, donne moi à manger, je t'en prie - qui est tu ? - je suis un kami du puits, j'ai faim, donne moi a manger » le jeune berger laissa alors tomber un morceau de pain dans le puits et entendis un bruit : « crok, miam, slurp ! » une pièce d'or jaillis alors du puits et tomba aux pieds du jeune berger et un rot retentit. « merci » le jeune berger étais content de sa pièce et la mis de coté dans sa bourse pour l'économiser. Il revint le lendemain et s'assit sur le même marchepied du même puits et attendit. A midi pile, une voix douce serpenta du puits et dis : « j'ai faim, donne moi à manger, je t'en prie » le fils de berger donna alors un morceau de pain, mais la voix revint « j'ai faim, donne moi à manger, je t'en prie » il lança alors tout son déjeuner et entendit : « crok, miam, slurp ! » deux pièces d'or atterrirent alors dans la bourse ouverte au pied du pâtre, qui la referma avec un gros sourire heureux. Le' surlendemain, la même chose se répéta et, le déjeuner ne suffisant plus, le berger fit tomber un chevreau dans le puits d'où jaillirent quatre pièces d'or. Le jour suivant, il fallu deux chèvres et le jour d'après, quatre, et parallèlement, le nombre de pièces d'or doublais à chaque fois. Rapidement, il n'y plus de troupeau à offrir à manger au kami, alors le berger se résolu à descendre pour extorquer le plus d'or possible à l'esprit... Il utilisa une corde pour se rendre dans le fond du gouffre et avança prudemment avec son couteau de montagne. Dehors, on entendis « crok, miam, slurp ! » une pièce de cuivre jaillit du puits et y est resté depuis lors, et plus jamais on ne revit le jeune berger...
  3. Dans la caverne des éléments, la gardienne s'ennuyait ferme... Deux semaines sans voir venir le moindre aventurier, le temps commençais à devenir vraiment long, n'eut été sa mission, elle serais retournée en stase depuis longtemps déjà. Alors elle fit réapparaitre une nouvelle fois sa boule de cristal tout en remerciant intérieurement Dream de la lui avoir offerte... Apres une incantation ventriloque, une aura bleu nimbe l'artefact et y pénètre; à sa surface, une brume verte et rouge se mêle pour former une série de visages, et, peu à peu, l'un d'entre eux se détache plus nettement pour surgir de l'orbe La forme spectrale se matérialise au creux de la main de la gardienne, c'est l'ombre d'une femme d'un certain âge, au visage ravagé de tristesse qui prend alors la parole. « nous vivions une vie simple et laborieuse dans notre ferme mon mari, mes trois filles et moi, nous habitions à quelques lieues de Melrath Zorac avec un petit troupeau de vaches, des porcs et des poules et quelques champs de maïs et de pomme de terre... la vie était dure mais nous étions heureux jusqu'à ce sombre jour où une armée menée par le sinistre général Dragoes mena une campagne contre un but que nous de découvrîmes jamais. Sa troupe passa par notre domaine, mis le feu à nos champs et abattit nos cheptels, puis une bande investit notre maison. Mon mari a tenté de nous défendre avec sa fourche, mais les soldat le maitrisèrent sans peine et nous violèrent pendant des heures sous ses yeux, mes trois petites filles et moi, avant de l'égorger sur la table de la cuisine. Ils nous crevèrent ensuite un œil à chacune en riant au éclats, plaisantant en nous criant qu'on pleurerait deux fois moins ainsi, l'un des hommes poussa sa cruauté jusqu'à couper les mains de ma petite dernière, Issa. La pauvre enfant n'avais que huit ans à l'époque, j'entend encore ses cris de douleur paniqués. Ils nous laissèrent cependant la vie sauve en nous souhaitant de mettre des petits bâtards au monde, et s'en furent avec des rires gras pour reprendre leur marche maudite, nous laissant prostrées et en larme, serrées les unes contre les autres. Nous avons ensuite pansées nos plaies et enterrée religieusement mon mari avant de constater les ravages de notre ferme... Ces brute nous avait rien laissées, les animaux étais morts, les champs détruits, le puits avais été souillé par les cadavres de poules jetés dedans.... Il ne nous restais plus rien à manger ni à boire... Apres une semaine à se nourrir de maïs brulé et d'eau de condensation, je me suis rendue a l'évidence : on ne pouvait pas remplir quatre ventres très longtemps comme ça. J'ai me suis donc résolue à tuer l'une de mes filles, la petite Issa qui n'aurais pu vivre sa vie sans ses mains, que l'unique me pardonne ! Une nuit, je l'ai réveillée et lui ai fait signe de ne pas faire de bruit, je lui ai demandé de me suivre pour jouer dehors. Je tenais la lanterne et ouvrais le chemin en lui racontant que je voulais explorer une caverne et nous avons marchée dans le désert jusqu'aux contreforts de la montagne toute proche. Elle me suivait, silencieusement, me regardant avec ses grands yeux vidés depuis ce jours funeste et nous entrâmes dans une grotte. Au fond de celle-ci, il y avais une faille très profonde et nous nous sommes arrêtée au bord. J'ai demandé à Issa de fermer les yeux et de faire un vœu sans le révéler et je l'ai ensuite poussé avec tout mon amour et ma tristesse. Elle est tombée, sans un cris ni une plainte...je n'ai pas entendu le moindre son ni ressentie quoi que se soit. Je suis retourné à la maison et j'ai passé la tête par la porte de la chambre de mes filles pour les regarder dormir ; et c'est là que j'ai vu la petite poupée de maïs d'Issa... J'ai refermé la porte tandis que les larmes montais et je me suis précipité à la grange pour pleurer tout mon saoul Qu'on ne me parle pas d'amours déçu et de cœur brisé, moi je sais ce qui vous déchire réellement...j'ai tué mon propre enfant, j'ai tué mon amour, et je sais que j'ai ma place en enfer, me suis-je dis en me pendant à une poutre....
  4. Bon ! On va reprendre en français ; mon éditeur m'a dit que les lecteurs se plaignait de pas piger la suite. Bande de feignasses pas foutu de regarder un dico va ! >_< Alors, la malheureuse abeille a réussit à se désengluer de la toile (wéééé !!!!!! \o/) Mais à laissée son abdomen dans l'histoire (ohhhh !!!! ) Ça ne l'empêche pas de vivre un minimum quand même hein ! Bon, on retourne en mode n'abeille ! *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* voler, atteindre ruche/sœur remplir mission douleur sourde, chaleur/odeur/couleur deviennent grises voler dans couloir *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* pour la ruche/reine ! individualité être le mal ruche être tout tout être ruche temps ralentir mais manquer *BZZZZZZZZZZZZZZZZ* ruche/sœur être proche virer devant obstacle/chaise couleur/odeur assombris poser corps/fragment-de-ruche sur la ruche/sœur *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* transmettre message/mission accomplir message/mission *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* mission/message transmit *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* *BZZZZZZZZZZZZZZZ* *BZZZZ* *BZZ* *FIN de l'abeille* (NB : non, la mort viens pas prendre l'abeille....vous croyez qu'elle se déplace pour vos cellules quand vous vous limez les ongles ? ben c'est pareille pour la ruche, déjà qu'elle est surbookée alors elle a autre chose à foutre que s'amuser à ça)
  5. L'araignée..... Elle s'appelle edward wong hau pepelu tivrusky 4 eme* du nom....mais on va l'appeler Ed pour faire simple hein ! Elle viens de la campagne et est monté à la capitale pour faire carrière dans le show bizz, mais malheureusement, ses talents de danseuse de claquette étais plus que douteux, malgré ses huit pattes, ou plutôt à cause d'elle. Elle arrêtais pas de s'emmêler les pinceaux et de se rétamer la tronche sur scène, ce qui, en plus de sa myopie sévère étais un handicap plus que suffisant pour tuer dans l'œuf sa carrière naissante... La chenille directeur/ producteur de son dernier casting ne s'y est pas trompé non plus en lui conseillant d'aller se faire une toile plutôt que de lui faire perdre son temps... Alors, elle s'est installé dans le parc HLM du castel constell et vie de chasse depuis... Le problème au castel c'est pas tant les catastrophes ménagères (à intervalle régulier, une tornade balayère détruis les maisons et les infrastructures du quartier) mais ce sont bel et bien les tarifs de location... Par exemples, la chambre d'Ignis est très réputée, voir hype, aucune catastrophes répertoriée depuis 75 générations (75 ans en humain) et des proies bien grasses, mais le loyer coute les yeux de la tête ! 30 ailes de mouche et 15 moustiques par mois.... A ce tarif, seule les araignées les plus grasses pouvais se l'offrir, d'ailleurs c'est là qu'habitais les propriétaires des lofts sous loués du castel. Dans les couloires, c'est moins cher... Bon, d'accord, les catastrophes ménagères sont très régulières (quoique depuis un certain temps le ménage n'est plus fait et les couloires subissent un véritable boom immobilier) mais les proies sont nombreuses et grasses. Cependant les talents de chasseuse de Ed ne lui permettais que le bas de gamme, c'est-à-dire, les conduits de la cheminée... Deux fois par jours, à l'heure des repas humains, l'air étais plus suffocant qu'à un périphérique Parisien à l'heure de pointe. Et l'hiver, c'étais tout bonnement inhabitable, mais c'est surtout la rareté et la taille des proies qui faisait comprendre le caractère bradé des prix. Mais là ; c'étais le jour de chance d'Ed, les vibrations de la toile étais plus que conséquentes, ce qui indiquais une prise plus exceptionnelle qu'un des simples moucherons habituels. Elle s'avança avec circonspection de la prise tout en maudissant la perte de ses lunettes, tombées au fond de la cheminées il y a quelques jours déjà, et vu que la sécurité sociale ne remboursait plus les montures, elle n'avais pas pu s'en prendre une nouvelle paire... Ça ressemblais à une mouche à demer, mais celle-ci étais d'une couleur bizarre, un jaune qui ressemblais à son ancien costume de scène, ça l'intriguais énormément... Elle s'approcha un peu plus, la proie s'agitait encore, visiblement elle sentais la proximité du prédateur et s'affolais... Cette pensée fit saliver Ed qui se précipita sur elle... Too bad for him, if only he had readen his encyclopedia universalis the days before, he would knew what was a bee and a sting, but, "˜cause off the loss of his glasses, he didn't... So, Ed jumped onto his victim, his belly was exactly on the way of the bee's lethal weapon and , then the accident happens. The sting find a way through the spider's body and injected a violent poison a silent scream, a brutal move the spider's legs, adapted to the web, torned it apart , freeing the bee that began to flew away, but the sting remaind planted in the predator's body.... lethaly hurted, the two protagonists, followed their destiny's.... death came in the shape of a white widow to reclaim Ed that followed her with a smile "maybe I will be a really good dancer in the next life, would I?" she ask to the reaper, but she didn't answer, she just smiled and said....... ....something that is not of our bisness.... so let's get back to the bee's last performance........(sorry for the fan but every things has an end.....especially the bests...) *(cowboy bebop!! *o*)
  6. *BZZZZZZZZZ* vol en piqué, foncer dans les couloirs pas de fleures ici, pas de champs pas de ruche, sentiment étrange, concept d'individualité *BZZZZZZZZZZZZZ* mission, mission pour la reine, pour la ruche trouver ruche/frère pour ruche/sœur spectre de couleur/chaleur fluctuant *BZZZZZZZZZZZZ* passer dans petit conduit, dans soupirail descendre plus bas, chaleur qui tombe, temps qui ralentis odeur/couleur plus forte, objet/cible plus proche *BZZZZZZZZZZZZZZZ* retour dans grand couloir tourner a droite virer a gauche courant d'air froid, lutter avec force contraire mais temps ralentir encore avec chaleur qui tombe courant passé, ruche/frère proche *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* passer grande porte, ruche/frère ici couleur/chaleur/odeur forte mémoriser coordonnée de ruche/frère repartir vers ruche/sœur transmettre information finir mission *BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ* (bon, là ça me gave de me mettre a la place d'une n'abeille, j'ai une grosse envie de miel du coup, c'est malin tient, j'en ai pas ! >.< donc on repasse en vue extérieur) imaginez que vous êtes un pur esprit, vous volez auprès de l'abeille mais nul ne se rend compte de votre présence, vous traversez la matière comme une fumée, le vent siffle a vos oreilles, vous êtes légers et libre.....vous y êtes ? non ? nafout' ! l'abeille fait des ronds autours du corps du petit Basa'l puis repart par la porte, elle fonce comme une folle à travers les couloirs, elle s'intéresse un instant à une flaque de bière tombé au sol, mais renonce à y gouter, sa reine lui a donné une mission primordiale. elle repart à toutes berzingues, fonce tantôt au ras du sol, tantôt frôlant le plafond, tourne autours d'un garde qui la chasse d'un revers nerveux de la main et trace comme une folle. Elle passe par un conduit de cheminé poussiéreux, vol à tire d'aile vers le haut et........ S'englue bêtement dans une toile d'araignée.... Elle tire, bat des ailes nerveusement, cherche à se dégager avec ses pattes, mais se piège encore plus... L'araignée sent les vibrations et devine une très grosse proie, ça l'arrange pas mal, parce que le coin est plutôt miteux pour la chasse. Intéressons nous donc un instant à elle....
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