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Terre des Éléments

Cédille de Werven

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Tout ce qui a été posté par Cédille de Werven

  1. [+113 AC] Période Festiva, le 22. Des cadeaux, plein de cadeaux ! Des sceaux et des sots, des chapeaux, des décos, des popos (tion et ème), des tas de machins rigolos ! Et on s'écrit, on sourit, on dit "merci", on rit, on fait des récits, on se réjouit ! La boucle s'illumine maillon par maillon dans une farandole d'amour et de joie... et c'est drôlement chouette à voir. (Spoiler à ne pas lire pour ceux qui n'ont pas encore reçu leur cadal !) Tellement que déjà, une seconde ronde de présents a été formée... mais chuut, les cacahuètes ont été données et sont encore secrètes ! Tout cela a beaucoup inspiré Monsieur Reine : maintenant, il comprend pourquoi Père Nowel, les lutins et les autres rennes mettent tant de cœur et d'efforts à leur tâche. Lui qui avait peur de réapprendre à voler après son accident, le voilà plus motivé que jamais : il faut remonter tout de suite en selle après tout, même si c'est une drôle d'expression pour une monture ! Dès que Noël sera fini, il s'entraînera dur pour avoir le permis vol N0-3L et devenir le 10e renne du traineau, il se l'est promis ; et tout ça, c'est grâce à tous ces bons cœurs qui se sont donnés des cadeaux. Alors merci beaucoup à tous ! Et si vous voulez décrire vos cadeaux, n'hésitez pas à aller dans la boîte aux lettres RP des FNous ou dans les histoires privées ** (https://www.terre-des-elements.net/forum/topic/9991-concours-ecris-nous-une-histoire/) Et pour conclure ce message un peu court par une note rigolote et vous donner envie de raconter aussi vos anecdotes, sachant que Sho avait Rade en cacahuète : Et Rade qui avait Sepertina en cacahuète (le hasard est coquin !) :
  2. [+ 113 AC] Période Festiva, le 18. Aujourd'hui est un midi comme les autres : les FNous sont partis faire plein de choses partout dans les environs de Melrath Zorac (et pas que des bêtises !) et même Monsieur Reine n'est pas dans la coquille. Si l'activité de la plupart d'entre eux est un mystère, je peux vous dire que dans l'auberge sud de MZ, Valar est un peu malade d'avoir tant bu avec Terpsichore la veille ! Pourtant, il n'y a pas que ça qui lui donne mal à la tête. Elle réfléchit, réfléchit, réfléchit, essaie de se souvenir... Qui doit nourrir Monsieur Reine aujourd'hui ? Depuis l'incident avec les cactus que, affamé, Monsieur Reine avait dévorés, les FNous devenus pros de l'organisation ont fait une liste de qui doit nourrir Monsieur Reine chaque jour. Ça fonctionnait drôlement bien... jusqu'à ce que ce dernier, à la recherche d'un dessert, mange la liste du manger ! Du coup, Valar, qui l'a nourri hier, ne sait pas à qui elle doit transmettre la réserve de nourriture et elle a bien trop mal à la tête pour nourrir Monsieur Reine elle-même... Heureusement qu'il y a les Eux pour FNous aider, se dit-elle ! Le premier qui passe devant son champ de vision se verra confier cette mission primordiale, c'est sûr. HRP : il s'agit d'une chasse au trésor, car Monsieur Reine est un beau trésor ! Elle dure de vendredi quand Kyra (mille merci Kyra, admine adorée ♥) la mettra en place à dimanche 20 heures. Cherchez le PNJ Valar à l'auberge sud : elle vous donnera un indice pour trouver PNJ Radegonde qui sait sûrement où est Monsieur Reine... Sûrement ? Peut-être pas ! En tout cas, nul doute que votre bonne action méritera moultes bavouilles. ** Tout se passe dans les environs de MZ : si vous cliquez sur la mappemonde en haut à droite dans le jeu, retenez que tout se tient dans les zones intérieur/extérieur de "Melrath Zorac", "Le désert (septentrional)", "Til'Lunis", "Désert occidental", "plaines du sud" et "lac de Melrath Zorac". Nous comptons sur vous pour ne pas en profiter pour tuer les gens qui cherchent ! En cas de soucis, je serai dispo dès 14-15h **
  3. [+ 113 AC] Période Festiva, le 13. Les Eux étaient venus très nombreux en stage, et ils avaient mis une ambiance du feu ! (Heureusement qu'il y avait Calyso et Radegonde pour éteindre l'incendie, d'ailleurs). Après avoir mangé plein d'oranges ensemble, ils s'étaient battus en joute pour montrer à Monsieur Reine comment se défendre face aux dangers – parce que le mourutage c'est rigolo pour certains, mais pas pour tous. Mais qui dit stage dit rapport, bien sûr ! Alors les Eux ont pris leur plus belle plume et on écrit leur journée là bas. Oui, mais c'est laquelle, leur plus belle plume à chacun ? Les FNous en ont discuté, débattu (parce qu'après se battre en joute, il faut se débattre pour être en paix) et ont essayé de deviner. D'abord, il y a eu Nolsvak. Sans aucun doute, c'est une plume-craie qu'il utilise pour pouvoir aussi tracer des pentagrammes et des symboles démoniaques ! D'ailleurs, le sort était tellement joli que les autres en étaient verts de jalousie (hi hi) et Mr Reine était ravi. Merci, Nolsvak ! Ensuite, Edward... Sa plume est sûrement verte, décorée avec des vrais fleurs et des plantes qui s'enroulent tout autour ! Même qu'après son passage, ça sentait drôlement bon dans toute la coquille et que Monsieur Reine n'avait plus faim. Merci, Edward ! Quand à Melii, une plume rose et pleine de cœurs va de soi. Après tout, même les plus sots des FNous ont vu ses regards à Malicius ! Et les couettes. Et le dodo... Et entendu, aussi... En tout cas, sa coiffure a inspiré Monsieur Reine qui a essayé de faire plein de choses avec ses poils et s'est bien amusé. Merci, Melii ! Les FNous ont atteint un consensus : le plus probable, c'est que Karamelldansen n'écrit pas mais griffe le papier avec une pique de son fléau. Quelle fougue et quelle énergie, en tout cas ! Mr Reine a été très impressionné par ses compétences et ça lui a beaucoup appris à se battre. Merci, Karamelldansen ! Vu tout ce qu'elle a dessiné et recensé, la plume de LuLuNe doit être dans la même matière que les murs de la coquille, capable de résister à tout ! Mais les FNous n'étaient pas censés, comment peuvent-ils être recensé ? Ils n'ont pas trouvé la réponse, mais ils se sont dit que seule une bonne plume très solide a pu faire autant de choses. En tout cas, grâce à elle, on a plein d'images ! Merci, LuLuNe ! Celle de Tigrrr est sûrement un stylo d'écolier en or massif, vu sa nostalgie et sa fortune. Il devait être un drôle d'élève, à s'assoupir tout le temps ! Ce n'est pas un félin pour rien. Mais en tout cas, il est drôlement généreux et grâce à ça, on a pu mettre en place tous les préparatifs pour la suite du calendrier. Merci, Tigrrr ! Calyso écrit avec une seringue qui fait même pas mal, ça c'est sûr de sûr ! Toujours prête à soigner les gens et les Monsieur Reines, elle a même sauvé la coquille de l'incendie qui avait été lancé. En tout cas, maintenant, Mr Reine n'a plus aucun souci de santé : même les pique des cactus ne lui ont pas fait de blessures. Merci, Calyso ! La plume de Sélène est bien connue, on dit qu'elle est d'or... Mais en tout cas, elle est sûrement très élégante. Les FNous sont même sûrs que la plume chante en grattant le parchemin ! En tout cas, les FNous sont drôlement flattés et disent qu'eux aussi, ils aiment Sélène depuis longtemps. Merci, Sélène ! Et celle de Kiwae ? Elle doit être bien plus sérieuse et discrète... mais tout aussi raffinée et, surtout, capable d'écrire plein de choses différentes ! Bha oui : elle a pensé au piège comme Nolsvak, s'est inquiétée pour la santé de Monsieur Reine comme Calyso et s'est battue comme Karamell ! Alors même si elle s'est éclipsée discrètement, elle a drôlement bien réussi la "diplomatie" (ça a l'air d'être un drôle de dinosaure, ça). Merci, Kiwae ! Enfin, les FNous se sont demandés si Baracil n'a pas écrit avec une plume du coffre pour ne pas avoir à en acheter une. Si oui, il a eu drôlement raison, car ils sont ravis d'apprendre que l'orange l'aidera ! D'ailleurs, ils se portent tous volontaires pour l'aider à s'échapper de la prison grâce à leurs câlins. Et puis, il a même résisté à la tentation de piquer l'objet de sa convoitise ! Merci, Baracil ! Et puis, merci à tous les autres qui ont venus pour ce stage : les FNous sont ravis d'avoir pu vous faire visiter la coquille et jouter avec vous ! Merci Ichigomisu, ! Merci Elya ! Merci Malicius ! Merci Ginji ! Merci Gamby ! Merci Badjo ! ________________________________ D'ailleurs... Les FNous sont tellement ravis qu'ils veulent encore faire des choses avec les Eux. Mais quoi ? Ils réfléchissent, réfléchissent, encore et encore... tellement qu'ils s'endorment tous dans la Coquille. Et puis, cheffe Sho se réveille soudain et s'agite (ça lui arrive beaucoup ces derniers temps) : elle dit qu'elle a rêvé que Monsieur Reine aime beaucoup les cadeaux, qu'il a l'habitude d'en transporter beaucoup. Il n'en faut pas plus que les FNous donnent leurs idées en cacophonie : - Il faut se faire des cadeaux ! En plus, c'est trop chouette à faire ! - Oui, et avec les Eux ! - Mais on en donne à tout le monde ? - Ho, ça fait... heu... presque douze ! C'est beaucoup beaucoup... - Alors pitêt qu'on peut donner un cadal chacun à quelqu'un ? - Ho oui, et lui-même donne à un autre ! - Et ça fait une boucle ! - Vite, vite, il faut les prévenir pour qu'ils deviennent des maillons ! - Ah, on va à la piscine ? Parce que moi j'ai pas de maillon... Alors, ils prennent leur propre plume et écrivent en très grands : GRANDE BOUCLE DE CADEAUX LE 22 DECEMBRE ! INSCRIVEZ-VOUS AVEC UN P'TIT MESSAGE A CEDILLE AVANT LE 16 COMME CA ON TIRE LES CACAHUÈTES AU SORT ! VITE VITE VITE LES KOPINS ! Et puis ils courent partout avec pour que tout le monde le voie.
  4. Après avoir tant marché dans MZ, Cédille avait décidé de faire une petite sieste dans le temple pour se reposer, près de Papyscillon. Mais après avoir retrouvé un peu d'énergie, le revoilà sur pied pour le dernier endroit : la Guilde des Chasseurs ! Avant même d'entrer dans le bâtiment, les bruits de lutte et le brouhaha des Chasseurs les accueille – ainsi qu'une certaine odeur de transpiration. Monsieur Reine est habitué à ces bruits depuis les joutes, mais il semble quand même inquiet et est bien décidé à rester près de l'entrée. Peu rassuré lui aussi, Cédille ouvre la porte... et paf ! Voilà un casque qui déboule de nulle part et l'assomme ! Et dire que ces machins sont faits pour protéger ! En tout cas, cela laisse l'occasion à Cécile de prendre le contrôle du corps ; et elle n'attendait que ça, car ils sont arrivés à son endroit préféré de la ville. En voyant tous ces fiers combattants et surtout fières combattantes, Cécile lâche une espèce de couinement euphorique. - Ho bon sang, ho bon sang, ho bon sang ! On est chez les Chasseurs ! Regardez-les se battre, devenir chaque jour plus fort, mettre au défi tous ceux qui viennent les voir ! Ho là là, je suis impatiente de pouvoir visiter davantage quand je serai encore plus forte ! Dans ses yeux brillent des étoiles émerveillées et sa voix brûle d'envie. Osons-le dire : quand quelqu'un saisit son admiration, Cécile est une véritable groupie ! Alors, elle se tourne vers Monsieur Reine et, passionnée, lui dit : - Reine, si tu as envie de devenir encore plus fort malgré les joutes, tu dois venir ici ! Ils te donneront plein de missions à faire, comme des petites aventures, et tu iras combattre toutes les créatures des environs. Ho là là, j'aimerais tellement rencontrer les hautes-gradées, je suis sûr qu'elles sont super classes... Soudain, un garde qui l'a entendue – en même temps, la drôle de procession a attiré tous les regards – lui lance : - Eh, gamin (et pas gamine, puisqu'il ne voit que le corps de Cédille), si t'es aussi intéressé, tu pourrais peut-être nous rejoindre comme apprenti. C'était une blague, bien entendu. Mais voilà Cécile qui le regarde bouche-bée, se perd dans ses pensées, hésite, jette des coups d'œil aux autres FNous... Faire partie des Chasseurs ? Cette élite mystérieuse qui attire tous les regards et se targue d'être venus vaincre les plus grands monstres, les Mayonnaises (ou un truc comme ça) ? Ho, hoooo... C'est difficile de choisir... Mais en même temps, ils ont l'air drôlement soumis à leurs chefs, et ils font même la vaisselle comme punition. Et ça, Cécile n'en a vraiment pas envie : la liberté FNous, c'est trop important. Et puis elle les aime bien, ce sont ses véritables compagnons ! Alors, elle secoue la tête et réplique : - Non. Je peux pas être apprentie, je suis déjà une grande combattante. D'ailleurs, je viendrai combattre vos cheffes, tu verras ! Et ensuite, je boirai des bières avec vous ! Alors, pour conclure, elle se tourne vers Monsieur Reine et lance : - Bref, c'est ici le meilleur endroit, car on peut combattre autant que l'on veut avec des vrais héros et faire des super missions-aventures ! Et quand ils ressortent, elle jette un dernier regard vers l'atelier. Là, ils pourraient lui faire une super épée magique pour qu'elle devienne une réelle lamesort, elle en est sûre...
  5. À peine arrivé à la bibliothèque, voilà Cédille qui court dans le coin nord-est et prend un livre. Tout fier, il le montre à Monsieur Reine – qui a réussi à monter les escaliers : - Regarde ! "Botanique et Mycologie" ! Grâce à ça, tu sauras ce que tu peux manger et voir toutes les fleurs des environs. Et il y a plein d'autres livres comme ça ! Cédille, la bibliothèque, ça lui rappelle sa Maman. Elle aimait bien lui lire des histoires, et surtout celles de la légende des Terre des Eléments ! D'ailleurs, Cédille sait presque bien lire maintenant, parce qu'elle lui a appris. - Il y a plein de connaissances ici, on peut découvrir le monde sans même bouger ! Bon, il y a des toiles d'araignées partout, mais elles ne sont pas méchantes, au moins il n'y a pas de moustiques. Ho, et il y a des belles images parfois ! Des dessins magnifiques de Papyscillon, par exemple. Cédille court jusqu'à la table et continue, surexcité : - Et là, regarde ! Il y a toujours plein de cartes ! Regarde Monsieur Reine, on est... ici ! Et là c'est la coquille. Ho, peut-être que tu reconnais ton chez-toi ici ? Malheureusement, non : Monsieur Reine regarde la carte... et tente de la manger. - NON MONSIEUR REINE ! IL NE FAUT PAS ABIMER LES LIVRES, C'EST S- Alors, prenant conscience de la règle d'or numéro deux de la bibliothèque, il chuchote la fin de sa phrase : - ... sacré... ! Et puis, il termine : - En tout cas, c'est aussi un super endroit de sieste. Les aventuriers belliqueux – même que j'ai appris ce mot dans une livre – ne s'intéressent pas trop à la lecture, alors ils ne viennent pas ici. Et puis comme il faut toujours être très silencieux dans une bibliothèque pour pouvoir lire, c'est très calme. Et les tapis sont si doux ! Par contre, il faudrait mettre des coussins dans un coin pour lire ou siester dedans... Il faudra qu'il demande aux FNous s'il peut prendre ceux de la coquille, tiens. Mais pour l'instant, la visite continue !
  6. [+ 113 AC] Période Festiva, le 6. - Ou alors, une super sortie jusqu'à la plage ! - Pitêt un concours de cueillettes de fleurs ? - Je sais ! Je sais ! On peut faire un super feu de camp dans la coquille et raconter des histoires ! Pour la journée des stagiaires, les FNous ont plein d'idées de choses à faire ! Ils sont impatients de les inviter dans la coquille et de faire des bêtises avec, ça oui. Faire les FNous avec les Eux, c'est très excitant ! D'ailleurs, quelques-uns sont déjà arrivés et découvrent à quel point c'est grand, chez FNous, et on en espère encore beaucoup beaucoup. dans la journée. Cécile est contente de voir du monde (surtout si ça lui permet de rencontrer d'autres grands guerriers), mais les propositions l'ennuient, à force. Les plantes, ça ne l'a jamais passionnée et les récits, elle préfère quand ils racontent ses propres exploits : alors, elle pousse des soupirs las dans la caboche de Cédille. Ce dernier lui demande alors, parce qu'il aime pas quand elle fait ça : - Au lieu de ronchonner, propose des idées, Cécile ! Ho... exactement ce qu'elle attendait. Elle réplique alors avec énergie : << J'en ai une, et elle est géniale ! Mais pour que je puisse les dires, tu dois prendre une potion de somnifère. Allez, fissa, c'est mon tour ! >> Cédille soupire, mais il obéit : comme ça, Cécile peut utiliser le corps qu'ils partagent et parler par sa bouche. Il ne le fait pas toujours, mais il essaye quand même d'être gentil avec elle ; et puis, si elle a une idée... Alors, quand un FNous propose : - Ou alors, on va montrer à Monsieur Renne toutes les terres des éléments, même qu'il pourra rencontrer le géant chat des cimes. Cécile saute sur l'occasion – et sur ses pieds – et lance : - Sauf qu'il est tout faiblard, l'animal ! Si on y va maintenant, il va se faire réduire en charpie par les sales types dehors ou par les monstres, et je ne parle même pas du tigre. Ce qu'il faut faire avec les Eux, c'est montrer à Reine comment se battre ! Échanger nos meilleures techniques, faire connaissance par le fer et la magie, devenir compagnons et adversaires d'armes ! C'est comme ça qu'on tisse réellement des liens, croyez-en une experte. L'avantage chez les FNous, c'est qu'il n'y a pas que les plus martiaux qui aiment la lutte : il y a aussi les adeptes du mourutage ! Du coup, ça leur plairait de jouer au combat avec des Eux-stagiaires. Et puis, ils sont toujours prêts à aider les gens et les maisons à devenir plus forts, Monsieur Reine compris. De toute façon, ils auront toute la journée pour faire des bêtises avec les Eux et montrer la belle coquille ! Sans compter, enfin, qu'ils ont promis sur le parchemin de faire des joutes - même si c'était une faute de frappe (parce que ce sont les joutes, alors on parle de faute de frappe et non d'encrage). Du coup, l'idée est adoptée : le soir de la journée stagiaire, on fera des joutes !
  7. Pendant que les autres se présentent, Cédille et Cécile réfléchissent à la manière de se présenter. Et comme Cécile l'a déjà fait une fois, sur la fontaine, Cédille a la priorité sur la forme ! Du coup, après avoir bien tout écrit, ils s'approchent de Monsieur Reine et Cédille, un peu intimidé, introduit : - Moi c'est Cédille... Hem, on a écrit un... un petit poème... Cécile et moi... Cécile, c'est ma grande soeur... Comme les autres FNous l'écoutent attentivement, il est rassuré : après tout, ils les connait, ils ne se moqueront pas ! Alors, il se lance : Petit magicien en quête de fleurs Un peu de jugeote et beaucoup de cœur Il partage sa tête avec sa sœur Cécile, fière lamesort sans peur ! L’un essaie de semer le bonheur L’autre veut mériter tous les honneurs Cédille aime poésie et douceur Mais dans l’action, Cécile est la meilleure ! Arrivés sur ces terres par passion Aquarites grâce à Papyscillon Ils sont FNous de commune décision Après une sieste et l’invocation* Les combats, les plantes, l’exploration Ils font des bêtises à profusion ! (* Pour faire plaisir à Radorable et Supertina)
  8. [+ 113 AC] Période Festiva, le 2. Si un FNous devait s’envoler et atterrir dans un endroit inconnu, il serait vraiment content que les gens là-bas l’aident à retrouver la coquille : même quand il est dans les marais, un FNous a parfois du mal à retrouver la coquille, alors s’il doit retrouver le chemin depuis un autre monde, il n’y arrivera sûrement pas seul ! C’est pour cela qu’autour de la coquille, toute la faction cherchait des idées pour que les amis de Monsieur Reine le retrouvent. D’abord, ils ont pensé à le mettre au bureau des amis perdus. Le problème, c’est que ça n’existe pas et pour en inventer un, il faudrait perdre des amis pour le remplir, et ça, ce serait très triste. Ensuite, ils ont fait une super soupe carotte-salade parce que grâce à l’odeur, les gens viennent toujours quand il y a de la délicieuse soupe carotte-salade ; mais les gens attirés l’ont mangée tellement vite que la famille de Monsieur Reine n’a sûrement pas eu le temps de venir. Enfin, ils ont voulu mettre Monsieur Reine très haut, tout au sommet des cimes pour qu’on le voie depuis le ciel (même qu’on peut y aller très vite grâce à un trou près de la coquille), mais il a eu trop peur des loups et du tigre géant. Et puis quelqu’un a dit : << Mais ça ne sert à rien qu’ils le voient s’ils ne savent pas où il est !>> C’était une très bonne réflexion : une fois, un FNous a fait un dessin de la coquille à un nouveau pour qu’il la trouve et ce dernier a cherché presque partout sans la trouver. Alors, les FNous se sont mis à réfléchir : comment faire savoir aux gens-de-là-haut que c’est FNous qui ont recueilli Monsieur Reine ? Tout le monde s’est creusé la tête, très fort et très longtemps. Et avec des très bonnes pelles. Du coup, la madame soigneuse du village est arrivée en courant et a fait : « Ho là là, qu’est-ce qu’il se passe ici ? J’ai vu tout le sang depuis ma maison, j’ai accouru pour vous aider ! » Alors, une idée a germé dans la cervelle d’un FNous (et on a pu voir la plante parce que le crâne était cassé) : le mourutage, ça se voyait de très loin, et les FNous étaient les pluss forts en mourutage – même que cheffe Sho c’était une des meilleures ! Et si on disait aux gens-de-là-haut qui a Monsieur Reine en écrivant notre nom de cette manière ? Alors, ils y ont tous mis beaucoup de cœur et grâce à la Madame Recycleuse, au bout de quelques temps… Tadaaa ! Maintenant, c’était sûr : les gens-de-là-haut verront le message et viendront chercher Monsieur Reine. Et cette fois, il y aura encore de la soupe carotte-salade ! Même qu'en plus, après, quelqu'un de super fort et mystérieux a déplacé le pylône de résurrection, et on a pu compléter le message ! Alors Rade nous a tous déplacés par magie et hop !
  9. Cédille est quelqu’un de très paisible ; il n’est pas très jugeant – peut-être aussi par paresse – ni franchement rancunier. Pourtant, s’il y a bien deux choses qu’il ne supporte pas, comme sa Maman le lui a appris, c’est la malhonnêteté et le vol ! Cécile est quelqu’un de très insouciante ; elle n’a pas envie de se prendre la tête et n’a pas le temps de s’occuper des défauts des autres. Pourtant, s’il y a bien deux choses qu’elle ne supporte pas, comme son Papa le lui a appris, c’est la lâcheté et la fourberie ! Du coup et comme toujours, ils sont rarement d’accords sur ces points : Cécile a autre chose à faire que je jouer les justicières alors que Cédille ne comprend pas pourquoi ils devraient embêter les moins courageux. Vraiment, ce n’est pas facile de partager une caboche à deux ! Même si parfois, ils arrivent à s’arranger, comme pour leur élément ou leur classe. Heureusement, les deux ont parfois le même objectif (souvent pour des raisons différentes), alors ils peuvent se donner à 100%. Explorer les Terres des Eléments, par exemple ! Ou rejoindre les FNous, une histoire qu’il faut encore raconter ! Ou encore… Punir le traître lâche et malhonnête, fourbe et voleur ! Il faut savoir que depuis qu’ils sont chez les FNous, les deux en sont ravis : Cédille trouve des amis et des bêtises à faire en groupe tandis que Cécile obtient de l’aide pour devenir plus puissante et des bêtises à faire en groupe… et, il faut bien le dire, pour chacune de ces choses, ils ont reçu l’assistance de celle que Cédille surnomme Radorable – eh oui, au moins deux fois « faire des bêtises en groupe » ! En tout cas, faire partie des TDC, ça leur tient à cœur, ça oui : on rigole, on s’aime beaucoup, on s’entraide puis, quand il y a un souci, on se met autour d’une table pour en parler tous ensemble, même les tout nouveaux ! Du coup, quand un « FNous » leur pique des objets depuis un moment sans rien dire puis, toujours sans explications, frappe des gens dans la coquille la nuit et part en pillant le coffre… la fratrie, d’habitude si disparate, brûle de la même colère. Parce qu’il a menti directement aux FNous, quelques jours plus tôt. Parce qu’il n’a pas eu le courage de parler avec eux de ce qui le dérangeait, préférant abuser de leur confiance. Parce que cela fait un moment qu’il vole des choses, malgré l’aide qui lui est apportée chaque jour, et met en collection ce qu’on lui a prêté. Parce que dans la nuit, il a frappé comme un lâche certains FNous endormis – sauf celui d’aqua, trop peureux pour s’attirer les foudres de son Dieu – et s’est enfui sans explications. Parce que juste avant de les quitter, il a pris beaucoup d’objets uniques apportés à la coquille et mis à disposition par les FNous confiants et généreux. Cédille est encore jeune, il n’est pas très intelligent ; il ne comprend pas pourquoi Gregeon insulte Radegonde et trahit les FNous. Mais peut-être qu’il ne comprend pas parce que le menteur n’explique rien et n’a jamais rien dit à ce sujet ? Cécile est dans l’âge bête, celui où la pensée est encore simpliste et sans nuance ; elle ne comprend pas comment Gregeon ose se draper de belles valeurs démocratiques et d’intentions vengeresses pour les innocents tout en, dans la foulée, s’accaparant cupidement les biens des innocents FNous. S’il était mécontent avec les FNous depuis des semaines au point de partir, pourquoi ne pas l’avoir fait directement au lieu de piller le coffre quelques jours plus tôt et mettre en collection ce qu’on lui a prêté ? S’il est si attaché à la démocratie, pourquoi ne pas avoir parlé publiquement tous ensemble de ce qui ne va pas, comme on le fait chaque fois – comme on l’a fait hier ? Mais peut-être qu’elle ne comprend pas car il n’y a aucune logique, juste celle d’un égoïste incapable de feindre une justification cohérente ? Pourtant, ce n’est pas pour eux-mêmes qu’ils sont en colère… Enfin... si. Cécile l’est pour elle-même. Égocentrique comme à son habitude, elle se promet de se venger de ce pleutre de mille et une manières. On ne la changera pas ! Mais à défaut d’altruisme, elle a de l’honneur, au moins. Cédille, lui… il est triste pour les autres FNous. Ceux qui sont faits insulter sans raisons et sans explications. Ceux qui ont travaillé dur pour avoir ces objets qui ont été volés. Ceux qui ont fait confiance et ont été trahis sans que Gregeon n’essaie de leur parler avant. Ceux qui ont aidé Gregeon et se font remercier de cette manière. Ceux qui pensaient qu’on pouvait tous être des compagnons et se faire confiance, qu’on parlerait s’il y avait un souci, qu'on pourrait simplement s'amuser ensemble et en paix. Oui, il est révolté ; et, lui qui aime tant la sieste et la paix, il veut pourtant agir. Oh, contrairement à l’ambitieuse Cécile, il n’essaiera pas de tuer Grégeon : ce serait bien vain… Mais si le lâche a tellement peur de Papyscillon, et bien Cédille le forcera à s’attirer sa colère légendaire : il l’embêtera dès qu’il le croisera pour le forcer à le tuer ! Vive le mourutage, surtout s'il enquiquine les méchants !
  10. - PEUPLE DE MELRATH ZORAC ! Debout sur la fontaine, droit et fier comme un paon, le bras levé pour laisser admirer son trophée, Cédille affiche l’air triomphant qu’arborent les vrais héros. Sa voix est forte, assurée, pleine de morgue. Dans ses yeux brillent des étincelles de plaisir et de gloire alors qu’il capte les regards des passants. Ses vêtements sont tâchés de terre, quelques bleus et coupures couvrent son corps mais, étonnamment, ces affres ne font qu’ajouter à sa superbe. Dans toutes ces blessures, seule une bosse au sommet du crâne laisse deviner la véritable oratrice : Cécile. Sa grande sœur coincée dans sa caboche et incapable de parler ou utiliser le corps… sauf quand Cédille tombe dans les pommes. Après avoir reçu un rocher sur la tête, par exemple. - Vous craigniez les gros machins qui tombaient du ciel ! Vous trembliez face aux colosses à nos portes ! Vos gosses les plus dégourdis se réfugiaient dans le nord de la ville pour ne pas finir en crêpe ! Oui, pauvres petits civils, les golems de pierre vous laissaient impuissants, tout juste capable de pleurer sur les ruines de vos bêtes maisons moches ! Vous ai-je dit que Cécile est, globalement, une personne dénuée de toute délicatesse et bouffie d’orgueil ? Et qu’elle a la rancune tenace, par exemple celle née de la désillusion que Melrath Zorac ne soit pas composée de maisons d’or et de bijoux ? Et bien si je ne l’avais pas fait, vous avez maintenant l’occasion de le constater. - Mais n’ayez plus peur, car votre héroïne vous a tous sauvés ! Cécile de Werven, lamesort aqua… rienne… ? … tique… ? Bref, Cécile, par son courage et sa classitude, a terrassé ces géants débiles ! ET CECILE, C’EST MOI ! Coup de tonnerre : oui, elle ne se cachera plus, et tant pis si on prend Cédille pour un fou ! Alors, elle prend possession de l’eau de la fontaine pour que celle-ci se soulève, enveloppe son trophée et le fait flotter devant elle et aux yeux de tous : le cœur du géant. Trophée qui se rapproche lentement du sol parce que dix kilos, c’est pas rien quand même, et qu’elle a du mal à parler et se concentrer sur l’eau en même temps. Du coup, elle continue tant bien que mal : - Aujourd’hui, ce sont eux ! Demain, ce sera ces saletés de dragon qui m’ont brulé ma super cape ! Et après- après, heu… apr… Sa voix se perd alors qu’elle tente, in extremis, d’empêcher le cœur de traverser la boule d’eau et s’écraser au sol. Finalement, elle va le chercher, grimpe sur une statue pour l’y déposer en équilibre, puis revient à sa place pour continuer son discours. Elle gesticule, marche de long en large sur la fontaine d’un pas assuré, frappe dans le vide avec une lame invisible et tend des doigts défiant dans toutes les directions. - Et après les lézards volants, ce sera tous ces grands crétins dont vous parlez tout le temps, là, soi-disant les plus grands combattants gnagnagna ! Malitruc, Bartimachin, Hephabrol, Yanibidule, Loxkapout, et même toi, Radegonde ! OUAIS, LES P’TITS VIEUX, VOTRE EPOQUE EST TERMINEE ! PLACE AUX JEUNES ! Les yeux des passants deviennent ronds et certains regardent auteur d’eux d’un œil inquiet, comme si une masse d'arme allait sortir de nul part pour fracasser l’inconsciente… ce qui semble galvaniser davantage encore celle-ci, d’ailleurs. - Alors retenez ce nom, petites gens, car c’est celui de la plus forte et la plus classe des héroïnes ! LA SEULE ET L’UNIQUE LAMESORT AQUARITE, FUTUR NUMERO UN DES TERRES DES ELEMENTS, CECILE DE WERVEN ! En lieu et place des applaudissements attendus, un lourd silence accueille l’annonce. Ensuite, certains haussent les épaules et reprennent leur conversation comme si rien ne s’était passé. D’autres rigolent sous cape et les derniers la regardent d’un air inquiet – pour elle. Alors, elle croise les bras et fait mine de s’en ficher. - Pfff… Quelle bande de nuls, incapables de reconnaître une vraie championne quand ils en voient une. Elle descend de son promontoire et récupère son trophée sur la statue. De toute façon, le peuple est comme ça : des bovins qui ont besoin qu’on leur mette le bon foin sous le museau pour qu’ils le suivent enfin. Quand elle aura terrassé des créatures encore plus impressionnantes et humilié les vieux croûtons dont elle a déjà oublié le nom, ils seront les premiers à scander son nom ! Mais en attendant… - J’espère qu’ils finiront écrasés par un autre géant. Ça leur apprendra, à ces sales ingrats ! C’était son premier exploit, oui… mais ce ne sera pas le dernier ! P. S. : chers aventuriers que j'ai cités, vous n'êtes bien sûr en rien des "grands crétins", mille pardons ! Mais si Cécile vous a offensé (ou pas, d'ailleurs) et bien... bonne traque, frappez à vue, j'ai des distinctions mourutages à obtenir ! **
  11. Voilà mon déguisement ! Comme je l'avais dit en mp, ce serait plutôt pour remplacer le skin de dos ** Mais sinon, ça fonctionne aussi de face Encore merci Karamell d'avoir su composer avec mes caprices ♥ Et merci aux admins pour cette possibilité !
  12. Le Grand Chef leur a remis un joli bijou. Apparemment, il est temps de quitter la plage et le drôle d’endroit avec des arbres qui parlent – et Maman qui disait qu’aux plantes, il ne manquait que la parole ! Bien sûr, Cédille hésite un peu : et s’ils ont oublié de parler à quelqu’un ? Tout le monde semble avoir des choses à faire ici, et l’idée de laisser quelqu’un dans l’embarras ne manque pas de le tourmenter… << On s’en fiche, enfin ! Ça fait des siècles qu’ils s’en sortent sans nous. Moi, je veux voir cette citée dont ils parlent tant. En plus, tu as bien entendu, il a parlé de guerres, de danger, et de combats… ça a l’air super fun !>> Cécile marque un point : si ces histoires de tuages lui font plutôt peur, il est terriblement curieux d’explorer Melrath Zorac et découvrir toutes ses fleurs et ses coins de sieste. Les FNous parlent même d’une pièce rien qu’avec de l’eau chaude pour se détendre et être bien propres ! Et puis, il y aura plein de gens et si Cédille n’est pas toujours rassuré par les armes de certains, il est sûr de faire aussi de chouettes rencontres – il en a déjà fait, après tout. Ils se rendent donc près du Monsieur qui refusait de les laisser passer. Juste avant, ils se remémorent tout ce qu’ils viennent de vivre. La grotte avec des sirènes méchantes et leur pauvre prisonnière, le bateau interdit (Cécile a voulu monter dessus mais Cédille a dit que ce n’est pas leur bateau alors il ne faut pas), le livre qui fait peur sous le grand monsieur très fort, le loup qui, selon la légende, cache une épée que le duo n’a jamais trouvé (malgré les essais multiples d’une Cécile extrêmement agacée de ne pas avoir l’arme dont elle rêve). Il y a aussi le méchant lutin farceur (les vraies blagues font rire tout le monde, sinon c’est de la cruauté !), les petits gens qui se battent alors il faut les battre pour qu’ils ne se battent plus entre eux mais se battent contre nous (aucun des deux n’a compris, mais Cédille a fait confiance à la dame aux cheveux nouvellement rouges et Cécile a sauté sur l’occasion de s’entraîner) et, enfin, le scarabée avec des ailes. Là d’où ils viennent, les scarabées ont tous des ailes, alors c’était un peu surprenant que le Monsieur en veuille absolument, mais amusant quand même – comme chercher un trèfle à quatre feuilles. Enfin, au début ; après, ils ont fini par trouver ça ennuyeux. Oui, ils en ont vécu, des aventures ! Et qui sait ce qui les attend maintenant ? On parle déjà d’une super fête avec tout le monde, on ne s’ennuie pas ici ! Alors, rassuré et impatient, Cédille s’en va parler au Monsieur. Direction la ville ! Paf pif pouf, les voilà téléportés. Alors, ils regardent autour d’eux, découvrent les bâtiments, ressentent l’ambiance propre à l’endroit, son unicité forte. Les yeux s’ouvrent grands, la surprise est terrible ; ils se mettant alors à pousser d’énormes… … soupirs de déception. - En fait, ce n’est pas si terrible… On dirait Milaville en plus sale. Milaville, c’était la grande cité près du manoir. Ils s’y sont rendus plein de fois avec Papa et Maman. << Et bien pour une fois, on est d’accords ! En plus, il n’y a rien qui arrive à la cheville de notre manoir – à part le truc qui ressemble à un temple tout gris et triste, là. Franchement, moi qui pensais qu’il y aurait des tours d’or et d’argent jusqu’au ciel, des salles de fêtes aussi grandes que des châteaux, des marchés animés comme l’Enfer et des arènes pleines de spectateurs et de gloire !>> - Et moi, qu’il y aurait des fleurs jusque dans les toilettes, des lutins et des fées pour rendre tout brillants de paillettes, des tables avec plein de nourritures partout, des rires et des enfants qui jouent partout et des grandes personnes qui se font bonjour ! << Et des grands héros que tous saluent avec admiration, de l’alcool qui coule à chaque coin de rue, des fêtes foraines avec mille concours !>> - Un parc grand comme la mer et coloré comme l’arc-en-ciel, des musiciens qui jouent dans les grandes places festives et même dans les petites ruelles chaleureuses, des animaux exotiques qui se frottent à nos jambes ! << Des affiches de recherches de criminels craints et respectés à pourchasser, des trophées de monstres gigantesques fièrement affichés sur chaque façade !>> - Oui… Mais bon, on a pas encore visité. Peut-être qu’il y a de bonnes surprises, Cécile. Cette dernière n’est pas aussi optimiste et raisonnée que son frère : la ville a déçu ses propres fantasmes, elle boude, c’est trop tard. Melrath Zorac est pourtant superbe, mais pour deux rêveurs qui viennent d'une famille aussi aisée, même le domaine des Dieux ne suffirait pas... En tout cas, Cédille aperçoit une fontaine avec plein de fleurs autour, alors il y va. D’ailleurs, il y a déjà quelqu’un ! Alors, il lui demande très poliment : - Bonjour Madame. Est-ce que vous savez où est le magasin de fleurs s’il-vous-plaît ? Il est très curieux de voir s’ils ont des plantes inconnues. Peut-être des fleurs-étoiles ? Ou des qui poussent dans le feu ? Ou des qui parlent ? Ou des de toutes les couleurs ? Ou…
  13. Juste pour dire que j'adore chacun des RPs qui ont été postés ** Les plus en vers (accueillis en RP comme IG par des elfes, quoi de plus normal ? :D), les plus flamboyants (une si belle quête pour un acte si cruel :'( ), les plus gazeux - hum, salvateurs (ouf, les plantes survivront, merci Barti !), les plus complotistes (le gérant est pas de chez nous mais on essaie de le recruter, Vader **) les plus romantiques (on est fort curieux de lire la réponse de la belle ♥_♥), et les plus obsessionnels. Et à ce propos, j'adore cette forme d'écriture que tu prends, Asherah ! C'est un plaisir à lire, c'est rythmé et mélodieux, comme un jeu de piste qui s'arrête sur chaque petit coin de paysage ** Bonne chance pour ta quête d'armure d'or, j'espère qu'elle mènera à d'autres écrits du genre ♥
  14. - Bloubloubloub ! Cédille se réveille brusquement et sort la tête de l’eau, juste avant de se noyer. Il regarde autour de lui et découvre une grande fontaine très jolie ; c’est d’ailleurs dans celle-là qu’il a fait la sieste, il s’en rappelle maintenant. Visiter cette grande ville, s’exclamer devant chaque plante et poser des questions à tous les habitants l’avait épuisé, surtout que Cécile et lui passaient leur temps à se perdre ; alors, quand il a vu toute cette eau pure, il a décidé qu’y dormir serait très bien. Après tout, c’est l’élément de Papyscillon ! Sauf qu’il a lentement glissé pendant la nuit, jusqu’à finir totalement immergé dedans et… et bien voilà, il s’est réveillé, et c’est le matin ! Maintenant, il est temps de reprendre l’exploration : direction… … … - On va où, Cécile ? << - omaïgaud ! Regarde, Cédille, il y a une guerrière trop classe ! Va lui parler, on lui demandera même où elle a trouvé ses armes !>> Cédille fait la moue : sa sœur n’en démord pas, elle veut son épée, alors que c’est lourd et dangereux. Ses tentatives de faire un aquasabre se sont soldées par un échec et si elle n’abandonne pas l’idée, elle veut un substitut en attendant… Enfin, tant pis, quand elle a une idée en tête, le petit frère ne peut que céder. Et puis, la dame a l’air gentille, au moins ! Alors il sort de l’eau, se secoue comme un petit chiot et va lui parler avec toute la politesse dont il est capable. - Bonjour jolie madame aux oreilles pointues ! Auriez-vous l’eau-blinance- Vziiioufvvrouffiii ! Téléportation ! - … de nous déssigner un magasin d’épées ? La dame ne répond pas. Alors, Cédille s’approche un peu – ses drôles d’oreilles la rendent peut-être un peu sourde ! – et répète : - Bonjour jolie madame aux oreilles pointues ! Auriez-vous les pliances de… Vzooourfouiiiiii ! Téléporation ! - … nous destiner un magasin d’épées ? Toujours rien. Cédille ne se décourage pas, très patient : - Bonjour jolie madame aux oreilles pointues ! Auriez-vous… Psfrouaaavroutvhiiii ! Téléportation ! - … l’obstinance de- << Cédille ! Tais-toi et ouvre les yeux, idiot ! >> Le magicien regarde autour de lui : les voilà dans une grotte, avec des statues de toutes les couleurs. - Hooo ! C’est joli ! Cédille va de l’une à l’autre, les touche, grimpe dessus, teste le son que les orbes font quand on frappe dessus avec un caill- Crac. - … Cécile ? J’ai… << - Cht. Sors discrètement avec l’orbe. Ils n’ont rien vu.>> Woaaaaw ! Des ballons ! Un poisson ! Des statues ! De la neige ! Une cascade ! << Je vais la remonter en nageant !>> - Mais… Cécile, c’est imposs- << Pfeu, mentalité de perdant.>> Cédille n’insiste pas, préférant découvrir ce nouvel endroit. Ho, il y a tant à faire ! Par quoi commencer ? À qui parler en premier ? Tout serait si long à faire, encore plus à décrire ! Par exemple… Papoter avec les elfes Avoir un super nouvel ami (que Cécile éventrera plus tard avec un « t’as passé l’âge des peluches, endurcis-toi ! » mêlé d’un étrange plaisir sadique, soi-disant pour aider la petite fille) Jouer au pendu (Cécile a surestimé le second degré de son petit frère, heureusement que la corde a cédé…) Dormir avec Papyscillon Gagner de façon incompréhensible au jeu de force et d’arc (le gérant a eu envie de faire plaisir à ce p’tit bonhomme, mais chhht) Dévorer les gâteaux entre amis (ils ont demandé à tout le monde, personne ne sait de qui c’est l’anniversaire :o) Déguiser la petite fille (saisissant !) Faire la chasse aux bonhommes de neige avec Radorable (juste un pitit extrait de la super chasse, c’est elle qui l’a fait !) Faire un duel épique avec Trepsi… terpsit… la Madame Rôdeuse Verte et finir transformé en même temps ([ceci est une reconstitution]) Siester sur les bancs qui redonnent plein de force Se faire escorter par Radorable pour chasser le trésor, et gagner une super fleur ! Mettre des bières partout avec Radorable et la Madame Rôdeuse Verte. Remonter la cascade à la nage (c’est ce que Cécile affirme à avoir fait quand Cécille est tombé dans les vapes après avoir trop respiré l’odeur du jus piquant qu’ils ont mis partout, mais Cédille a le sentiment qu’elle a eu une petite aide…) Et pis, et pis, la plus belle des plus superbes des merveilleuses choses… Un festi-cœur autour du plus magnifique des cerisiers au monde. Bien sûr, Cédille l’avait repéré depuis le début et faisait toutes ses siestes dessus – Cécile s’occupant de grimper au sommet –, mais quand Rade a commencé à faire le cœur en bières et amener les gens dedans, les FNous s’y sont mis ensemble et c’était vraiment trop super ! Malgré ses jambes drôlement fatiguées, Cédille a voulu aider, car il fallait encore des gens pour aller dans le cœur. Tiens… Pourquoi pas cette personne tout encapuchonnée de vert et qui semble toute seule ? - Bonjour Monsieur ! Eske… hum, pardon ! Puis-je sociliter votre cooporéation dans le festi-cœur ? Le Monsieur – puisque c’en est un – se tourne vers Cédille, qui manque d’hoqueter de surprise : il lui manque un œil ! Mais, très poli, il ignore Cécile qui jette « beuaaaark, dégueu » et écoute. Le Monsieur a l’air embêté, et répond calmement : - Je vais devoir refuser. Hum… et qui est derrière ce projet ? - Les FNous ! Même que j’en suis un ! Un petit sourire tire le visage sérieux du Monsieur Borgne, qui murmure « ils sont encore là, alors… tant mieux». Cédille insiste en se tournant vers le cerisier pour montrer la scène : - C’est une occasion unique, pour montrer qu’on s’aime tous ! - Si seulement c’était aussi simple… Le jeune magicien se retourne pour lui demande pourquoi il dit ça, mais… plus personne ! Quelle drôle de rencontre, songe Cédille. Quel type relou, pense Cécile. Heureusement, ils y arrivent quand même, et c’est trop beau ! Pourtant, ils n’ont pas le temps de se réjouir : après la super bataille de boule de neige, il y a le quizz à préparer. Mais entre Cédille qui ne sait pas lire et Cécile qui déteste ça, ils ne sont pas sortis de l’auberge… Tant pis, ils s’amuseront quand même !
  15. Cédille émerge lentement. Il aimerait bien dormir encore, il a même un peu mal à la tête, mais le soleil tape fort et il se retrouve vite en sueur. Beurk, après on sent mauvais et les vêtements sont tout humides… Alors, il est bien forcé d’ouvrir les yeux. Où est-il ? Il y a du sable… une tente… un gros monsieur en métal… des palmiers… Des serpents… Un gros monsieur en métal… ? Cédille bondit sur ses pieds ; et retombe vite sur son arrière-train, déséquilibré. - Ouïe ! << Débile >> Il fait la moue, une moue adorable de bambin. Il faut dire qu’il n’a que 8 ans ! Alors, s’y prenant plus précautionneusement et en s’aidant de ses bras, il se met sur ses pattes pour faire face au colosse. - Bien le bonjour Monsieur en Fer. - Bip biip bip ! Je suis Tobor, ton guide pour tes premiers pas sur Terre des Eléments. Ne t’étonne pas de… << La Terre des Eléments ! On a réussi, Cédille !>> - C’est vrai ! Et il bat des mains, tout excité, ratant une partie du discours de Monsieur en Fer. Alors, prenant conscience de son impolitesse, il s’excuse et essaie d’écouter. Après tout, c’est un prince, il doit bien se tenir ! Bon, d’un tout petit pays qu’il a dû quitter, mais il reste très attaché aux bonnes manières : c’est un petit garçon très sage et poli, comme dit Maman. Mais il est aussi turbulent ; et, très vite, il décroche. Ce que c’est compliqué ! Il ne comprend rien, et le Monsieur de Fer continue à parler. Quel bavard ! On dirait Cécile ! << N’importe quoi. Moi, je suis super amusante, pas comme cette barbante boîte de conserve ! » Cédille n’est pas d’accord, des fois il se passerait bien des bavardages de sa grande sœur dans sa tête, mais il ne veut pas la vexer. Il se demande s’ils sont les seuls à partager la même tête pour deux, ou s’il y en a d’autres comme ça… En fait, quand il est né, huit ans après Cécile, leur Maman les a liés avec un drôle de sort pour qu’ils se protègent mutuellement ; alors, quand ils sont devenus orphelins et que Cécile est morte, son esprit a rejoint celui de son petit frère, Cédille. Du coup, il n’y a que lui qui l’entend, et elle ne peut utiliser le corps que quand Cédille tombe inconscient – mais pas endormi. C’est une histoire compliquée et pas très rigolote, Cédille n’a d’ailleurs pas tout compris, mais un jour elle vous sera racontée. Tout ce qui compte, c’est qu’ils sont arrivés à destination ! Il faut savoir que les deux s’aiment comme frère et sœur, c’est-à-dire qu’ils sont toujours prêts à défendre l’autre mais comme ils ne sont pas très semblables, ils ont souvent du mal à se supporter. Par contre, ils partagent quelques petites choses : une curiosité imprudente, une énergie débordante, une imagination folle… et la même passion pour la Terre des Eléments, cet endroit de légende dont leur parlait leur Papa ! Cédille rêve de rencontrer les drôles de créatures, de faire des siestes partout et de trouver mille et une plantes. Cécile brûle d’impatience de montrer qu’elle est la plus forte et la plus courageuse, s’amuser autant qu’elle peut en étant libre comme jamais et explorer des lieux qui n’ont pas encore été découverts. Bien sûr, elle se rend bien compte que ce ne sera pas aussi facile vu qu’elle est coincée dans le corps de Cédille, mais elle ne perd pas son optimisme ! <<C’est parti, Cédille ! Essaie de ne pas faire n’importe quoi !>> - Oui ! * * * << C’est nul que tu sois magicien. Moi qui m’entraînais si dur pour être guerrière ! C’est tellement plus classe d’être en première ligne et tellement plus amusant de se battre à l’épée…>> Cédille est né avec les pouvoirs de leur mère, et Cécile, avec la combattivité de leur père. Chacun est fier de son héritage, mais maintenant, cela pose un peu problème… - Mais moi je veux pas, c’est trop lourd les armes, et puis ça fait peur de se battre tout près, et puis la magie c’est vraiment joli. Regarde ! Et une petite boule de lumière apparait dans sa main pour flotter autour de lui. << Pfff, bravo, les lucioles font la même chose.>> - De toute façon, on a pas le choix, Cécile, tu le vois bien. << Ah ! On a toujours le choix quand on réfléchit, ne me sous-estime pas ! Tu verras, je me ferai une super épée de magie qui terrassera tout le monde.» Cédille ne trouve pas cela très malin : même lui se rend compte qu’avec son petit corps d’enfant, elle n’arrivera pas à grand-chose. Mais il sait que ce n’est pas ça qui l’arrêtera dans son caprice, alors il ne répond pas, surtout qu’elle semble satisfaite du compromis. Et puis, peut-être que ça peut être beau aussi, une épée en magie… Seulement, un autre souci ne va pas tarder à surgir. * * * << Vulfume !>> - Mais Eolia a l’air tellement gentille. Tu n’aimes pas être célère comme le vent, Cécile ? Célair, même ! << Elle a surtout l’air mortellement ennuyeuse. En plus, l’air, c’est rapide, mais ça peut à peine faire tomber le chapeau des gens. Regarde comme il a l’air fort, lui !>> - Mais il n’a pas l’air très heureux… Cécile, chose rare, se rend compte que son petit frère a raison. Ça sert à quoi d’être le plus puissant si on ne rigole pas ? << Bon, c’est vrai. Et en plus, il est moche. Hum… Fimine a l’air marrante, elle ! Regarde, ça dit sur la statue qu’elle aime faire la fête.>> - Oui, comme on faisait le dimanche soir ! Et en plus, elle a plein de fleurs. << Allons visiter son domaine !>> L’endroit est très joli ; peut-être juste un peu trop dense. Cédille admire les fleurs, sieste sur l’herbe douce et cherche avec émerveillement des fées sous les feuilles. Quand il s’assomme accidentellement sur un arbre, Cécile prend le relai et s’amuse à grimper aux arbres, à explorer la forêt à la recherche de bêtes sauvages et à manger les délicieux fruits qu’elle trouve. Toute la journée passe ainsi, et les deux sont comblés ! Vraiment, et j’ose le dire… ils sont dans leur élément. * * * Et puis, le soir arrive. Par curiosité, ils ont quand même été sur la plage d’Aqua et observent le soleil couchant avec le bruit des vagues. Il fait calme et, malgré leur dynamisme débordant, ils ne détestent pas ça. << Et bien, si toutes les journées sur ces Terres sont comme celle-ci, on n’a pas fini de s’amuser !>> - C’est vrai… Cédille ne sourit pas. Alors qu’il a été joyeux toute la journée, quelque chose lui pèse sur le cœur. Cécile déteste consoler les gens. Elle est comme ça : elle qui est si facilement joyeuse, la tristesse l’agace – les gens n’ont qu’à être heureux comme elle ! –, et comme elle est plutôt égoïste, elle laisse les autres se débrouiller. Mais là, c’est son frère, elle n’a pas vraiment le choix… << Pourquoi tu fais la tête ?>> - Le Monsieur poisson… il me fait penser à Papa. Cécile a eu le même sentiment. Avec sa barbe, ses vêtements riches et son aspect paternel-mais-parfois-en-grosse-colère, elle a l’impression de voir son idole de toujours. Mais… il n’est plus là. Mort. Je vous ai prévenu, ce n’est pas une histoire très rigolote… - La maison me manque… <<Allez, arrête de chouiner ! On a trouvé ZE terres des éléments, on sera heureux ici ! Et les parents, ils sont au ciel, tout ça, tu sais bien.>> Décidément, elle n’est pas très douée ; et maintenant, Cédille pleure, et Cécile ne sait pas quoi faire. Alors, elle a soudain une idée et, avant d’y réfléchir, la lance : << D’ailleurs, en fait… c’est grand-père, ton monsieur poisson ! Il va veiller sur nous comme Papa !>> - C’est… c’est vrai ? << Bien sûr ! Papa a dit qu’il venait d’ici, non ? Il… heu… il est le fils de lui, il me l’a dit.>> Mentir ne l’a jamais dérangé, mais là, même elle, elle se demande si elle a bien fait. Sauf que c’est trop tard : comme d’habitude, elle a agi avant de réfléchir. Tant pis, elle fera avec ! - Alors… alors, je veux qu’on aille chez lui ! On sera eau ! En plus, l’eau, ça nourrit les fleurs. Et le monsieur du désert, il en avait bien besoin, de l’eau ! Cécile trouve ça un peu nul, comme élément. L’eau, les gens en font ce qu’ils veulent, on fait même ses besoins dedans ! Mais elle est prise au piège, elle ne peut pas dire non après ça ; et puis, même si elle sait que ce barbu n’a probablement rien à voir avec leur Papa… elle aime bien la tête de ce fameux « monsieur poisson ». Elle est encore trop immature pour se l’avouer ou même s’en rendre compte, mais elle sait au fond d’elle qu’elle a besoin d’un cadre, d’une figure d’autorité pour ne pas qu’elle aille trop loin. Alors, elle cède : << D’accord, d’accord ! Mais arrête de pleurnicher, capiche ? Monsieur poi- heu, grand-père aura honte de toi, sinon>> - Mais maman dit que je peux pleurer ! << Pfff… Décidément, ça te va bien, l’eau.>> Consolé, l’enfant regarde avec admiration et confiance la grande statue au trident. Et puis, il dit, enfin consolé : - Merci, Cécile. << Bha, j’ai rien fait, moi. Et puis, Fimine ou pas, je ferai les plus grosses fêtes de toutes les Terres des Eléments… et il n’y aura pas que de l’eau, crois-moi !>> - Tu ne peux pas boire, Papa a dit, tu es trop jeune. << Je suis libre, maintenant, je m’en fiche ! Si grand-père est mécontent, il me le dira sûrement.>> Cédille veut protester, mais le sommeil le gagne. Et, contre la statue du Monsieur poisson, ou plutôt de grand-père… Il s’endort à nouveau.
  16. Je reviens juste à temps... pour regretter d'avoir fait 'sploser mon p'tit rôdeur Ça a l'air tellement intéressant, et moi voilà avec un perso tout bébé, ignorant et inconnu >_< Pardon, peuple de MZ, d'avoir abandonné mes responsabilités Mais si un nouveau festival doit se faire, je suis super motivé pour aider ♥ Ou pour unir tout le monde dans l'amour et la convivialité pour faire des câlins aux adversaires et que eux aussi soient tous amis avec nous
  17. La Passante et le Siesteur Maître siesteur fut fort surpris de sentir son sac alourdi Un poème lui expliqua Comment éviter les tracas Mais la sieste est sa passion ! Avant, pendant l'exploration ! Et tout en vers il dit merci Mais pour la prudence... Tant pis !
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