Aller au contenu
Terre des Éléments

opus le petit

Membres
  • Message(s) posté(s)

    37
  • Inscrit(e) le

  • Dernière visite

Profile Information

  • Location
    prend les boyaux a pleine main, les remet en place, leve le doigt.....je suis là

opus le petit's Achievements

Newbie

Newbie (1/14)

0

Réputation sur la communauté

  1. ACTE 6 :les enfants d'Hyruvia Depuis ce jour une légende ce raconte selon cette légende le jour où l'arbre fut érigé sur la grande place, une douce pluie tomba, les goûtes brillantes comme des diamants reflétaient la lumière en mille étincelles, une lueur bleuté s'emparât alors de la place, il se dit aussi que ces mêmes goûtes, au contacte d'Hyruvia, éclatèrent et se dispersèrent en mille lieux. Depuis ce jour on prétend que ces étincelles parcourt les univers à la recherche du digne descendant d'Hyruvia, chaque étincelles comportant une infime partie de l'âme d'Hyruvia.Ces mêmes étincelle, lorsqu'elle rencontre une certaine catégorie d'être bienfaisant dont la seule préoccupation n'est autre que celle de sauver des vies au dépend de la leurs, accorderaient à leurs hôtes une faveur lui permettant de ne jamais faiblir devant la difficulté de la tâche. Durant toutes ces années, dans tous ces univers, toutes ces étincelles, tous ces soigneurs, tous les hommes et les femmes toucher d'une de ces étincelles, tous ces éléments oeuvre dans un but .... trouver le descendant d'Hyruvia, celui qui sera un jour réunir toutes les étincelles à lui, celui grâce à qui la paix pourra régner dans tous les univers et sur toutes les terres. En attendant ce jour, les enfants d'Hyruvia se réunisse sous un même étendard depuis maintenant des millier d'année quelques soit ses origines, ses convictions, ses talents, les enfants d'Hyruvia se reconnaisse entre eux et de cette réunion est née une communauté. Vulgairement définie comme une communauté de soigneurs, cette communauté n'est en faites que la réunion des enfants d'Hyruvia et elle se nomme Val-De-Grâce
  2. ACTE 5 :une mort tragique Voilà maintenant cinq jours qu'Hyruvia méditait au creux d'un arbre millénaire, sa douleur tendait de plus en plus vers l'agonie. Une brulure, comme celle de la chaux vive a même la peau, qui s'immisçait doucement le long de son dos, s'infiltrant par les veines jusqu'au cerveau lui-même, il ne fallut que quelque jour encore pour paralyser totalement Hyruvia, dorénavant il devait attendre l'arrivée d'un nouveau soigneur, il n'était plus physiquement apte à remplir ce rôle Perdu au fond d'une foret, qui se désolait avec lui comme s'ils étaient liés l'un à l'autre, plusieurs mois passèrent et toujours aucun signe de son descendant, le corps d'Hyruvia était devenu terne, sombre, se confondant à l'arbre dans lequel il méditait. Les dieux l'aurait-il oublié ? Hyruvia sentait doucement la mort envahir son corps, il n'avait pas été préparé à une tel souffrance, il avait toujours pensé que, tout comme cela était arrivé avec lui son descendant viendrait à lui seul. Mais nul n'est jamais venu... Une foret désolée, morte, trônait au milieu d'une prairie verte et féconde, les rumeurs allaient bon train la concernant. Certain disaient qu'elle était hantée par les fantômes des soldats morts pendant la grande guerre, d'autre encore certifié avoir vu les arbres bouger seul, d'autre encore prétendait que la nature avait laissé mourir la foret comme forme de rébellion face aux dieux. Il est vrai que l'herbes verte et grâce, qui jonchait la prairie, stoppait net à l'orée de la foret comme coupé à la serpe.Le vert se transformer en noir et brun sans aucun dégrader, aucun animal ne s'approcher de cette foret et encore moins n'en sortait ; seul une délégation de naturaliste se formait afin de découvrir les raisons d'une tel chose. Un groupe de quinze hommes escorté par six soldats de l'armée fédéral entra dans la foret.Il n'y avait rien ni animaux, ni fantômes, pas un seul brin de vie, tout était mort dans cette foret et c'est au détour d'un vieux chemin que l'un des naturaliste découvrit un arbre étonnant, il appelât ces confrère, tous restaient abasourdit devant cette curiosité de la nature. Un arbre immense dans lequel était sculpté le visage d'un vieillard, ou plutôt le corps d'un vieillard, au pied de cet arbre des lambeaux de tissu épais et trois gros boutons de nacre sur lesquels on remarquait des emblèmes, les naturaliste pensaient à l'oeuvre d'un sculpteur inconnu, les restes de tissu pourrais être ceux d'une trousse a outils, ils ramassèrent les quelques maigres indices et les rapportant a leur laboratoire. Après plusieurs semaines de nettoyage ils arrivaient enfin a percevoir quelque symbole sur deux des trois boutons, il fallut encore quelques semaines pour découvrir ce que représentait ces symboles.Ils représentaient des sots familiales, l'un d'eux fut vite reconnaissable grâce aux archives du royaume de Claive, c'était le sot de l'un de précepteur de la cour, le second par déduction leurs fit découvrir qu'il n'était autre que le sot de la famille de ce même percepteur, le percepteur en question ainsi que toute la famille avait été tuée pendant la grande guerre, seul le décès de l'un des membres n'étaient certifiés sur aucun registre, ils se penchèrent donc dans cette direction. Il fallut faire preuve de beaucoup de patience et de diplomatie pour obtenir des réponses, les naturaliste réussirent à mettre un nom sur cet homme, Valré di Costin, grand officier militaire du royaume dégrader juste avant la guerre, plus d'investigation les amenèrent a retracer vaguement sa vie, quelques allusions près d'un médecin, un homme aperçût dans la maison familiale juste après la guerre, de nombreuses allusions comme apprenti auprès des médecins de tout ordres dans la région, une longue période ensuite sans aucune trace, les naturaliste accompagné de quelque mathématicien tentèrent de retracer son parcourt par des formules définissant l'aléatoire, tout porté à croire, que Valré s'était fait appeler Hyruvia Longsay . Un homme de charisme, un guérisseur, un médecin par grand miracle ils retrouvèrent un vieux parchemins avec une gravure le représentant, reconnaissable par sa toge sombre orné de trois gros boutons en nacre l'histoire de cet homme ressemblait étrangement au légende concernant un peuple d'une neutralité absolue dont le seul but était de prendre soin des autres le nom avait été oublié depuis. Les naturalistes prirent le parchemin avec eux et retournèrent près de l'arbre, pour découvrir que ... ... ... La sculpture dans cet arbre n'était en fait que la fossilisation d'Hyruvia lui-même, les naturaliste décidèrent alors avec l'accord des hautes autorités mondiales d'en faire une légende prônant la paix et d'ériger l'arbre en tant que sculpture honorifique de ce grand homme, profitant de l'occasion pour lui attribuer de fait dont il n'était pas l'instigateur.
  3. chapitre 5 les deux royaumes, autre fois en guerre, menaient une diplomatie des plus tendue depuis leurs réunifications sous l'empire et ce qui devait arriver arriva. Cela commença par des petites interventions terroriste isolées consistant à toucher principalement les nobles des deux citées, mais petit à petit les attentats se faisaient plus violent au point ou nul ne put désamorcer le climat et une nouvelle guerre éclata. La majeure partie des batailles se faisait à l'orée d'un bois, nouvellement devenue frontière, tout commença par une guerre d'observation. pendant des mois seul quelques formations d'une vingtaine d'hommes tentaient des assauts contré de part et d'autre. Jusqu'au jour où le grand jour arriva. Les deux armées comptaient plus de dix mille hommes chacune, tous réunis face à face, l'atmosphère était lourde, le vent soufflait soulevant de petits nuages de poussière, les soldats armurés et armés s'observaient guettant le moindre gestes d'hostilité du camp adverse. Puis, dans le silence, un cri déchira l'espace ; les milliers se mirent à bouger comme un seul, les deux armées se faisaient front avançant l'une vers l'autre dégageant rage poussière et sueur. c'est dans un bruit sourd que les généraux purent voir le choc des deux armées se rencontrer, dès les premières secondes, des gerbes de sang jaillir au-dessus des troupes se mélangeant à la poussière et au cri assourdissant chaque homme frappaient sans retenu massacrant toute chose sur leurs passages des heures durant, les soldats tombaient comme de pauvre insectes, des milliers de morts après seulement quelques dizaines de minutes, des groupes d'homme s'éparpillaient dans la plaine, les cadavres jonchaient le sol souillé de sang et de boyaux, certain soldat hurlaient de douleurs démembrées ou les entrailles à l'air ; une boucherie, la plaine ne ressemblait pas à un champ de batailles, mais à un abattoir de bovins. Et là, sortie de nulle part, de la foret sans doute, mais personne ne l'avait vu sortir, une ombre, un vieil homme à en croire sa démarche. Une ombre brune marchait lentement d'un pas sûr et poser, le temps .... le temps venait de disparaître, plus personne ne bougeait, les haches se stoppèrent dans leurs élans, tous se tournèrent vers l'ombre, la poussière s'écartait devant lui, le vent... le vent lui-même se tue comme marquant le respect devant cet homme. Qui était ce ? Une chaleur reposante, douce, agréable, apaisant les hommes comme la chaleur d'une mère apaise le nouveau né. Il traversait le champ de bataille touchant ca et là les hommes blessés, des hommes près à mourir se relever derrière lui, les yeux écarquillaient osant à peine comprendre ce qui se passait, « Hyruvia » soupira difficilement un homme, le bras en lambeau, dans une tranchée « ne parle pas mon ami, tout va aller pour le mieux maintenant » quelque seconde plus tard Hyruvia repris son chemin à travers les blessés et le sang, des centaines d'hommes des deux camps se relevait après son passage les deux généraux envoyèrent chacun un émissaire à la rencontre d'Hyruvia Hyruvia stoppa sa marche, regarda les deux hommes à cheval arrivant vers lui d'un signe de la main il leur fit signe de descendre de cheval et de venir à lui les deux hommes s'agenouillèrent devant lui, têtes baissés. Hyruvia enlevat la capuche de sa toge, et s'adressat au deux hommes d'un ton sec et décidé « vous allez répéter mots pour mots à vos généraux ce que je vais vous dire » il laissa un instant passait et repris sur un ton apre « sachez que se que je donne d'un geste je peux le reprendre d'un geste également, dites leurs que quelque que soit leurs statuts, leur rang, l'armée qui les protége, jamais ils ne pourront se défiler devant moi, que cette guerre cesse immédiatement où je ferais ce qu'il faut pour que plus personne ne puissent commander les armées » ....... .... « partez maintenant, envoyait les infirmiers pour les derniers blessaient » les deux émissaires se remirent en route vers leurs généraux respectifs, Hyruvia poursuivit son chemin à travers le champ de bataille, parsemant ses soins à qui en avait le plus besoin, ses forces commençaient à l'abandonner doucement il se devait d'aller rapidement se reposer, s'isoler pour ne pas fléchir devant les hommes il était arrivé à l'opposer de la plaine quand. Une brulure se fit sentir au-dessus de son rein gauche, il ne s'arrêta pas et disparut dans la foret laissant derrière lui une plaine moins désolé qu'avant son passage extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  4. Chapitre 4 une nuit sans cette douleur qui lui indiquait qu'une personne souffrait ... tant d'années de douleur, de nuits blanches à souffrir, à ressentir la douleur des autres... Hyruvia commençait à s'endormir paisiblement, de douce image de sa soeur commençait à apparaître, ses frères qui jouaient dans la cour de l'immeuble, le sourire de sa mère jouant une sonate pour son père... Hyruvia se redressât d'un mouvement dans son lit, la main sur sa poitrine, serrant sa chair comme s'il voulait l'arracher, une douleur comme un poignard qu'on lui enfoncerait en pleine poitrine, une lame froide que l'on remuerait dans cette plaie béante, les yeux injectés de sang, le souffle coup, deux grosses veines se formaient sur ses tempes, il ouvrait la bouche comme pour hurler sa douleur mais rien ne sortait. Il se leva et dans un geste enfilât sa toge, il sortie de la chambre bousculant au passage la petite table sur laquelle était posée les restes de son repas il descendit les marches, traversât la salle déserte, ouvrit la porte d'une claque robuste si forte qu'elle faillit sortir de ses gonds. Il marchait hâtement la tête droite la capuche de sa toge lui recouvrait le visage, il soulevait derrière lui un léger nuage de poussière, il tournât à un coin de rue pour se retrouver face à une charrette remplit de cadavre, des hommes habillés de noir portaient un à un ces cadavres dans un crématoire, l'un des hommes se tournât vers Hyruvia et lui cria « tu peux rentrer chez toi vieil homme, ce sont les derniers tu n'as plus rien à craindre » Hyruvia se posât un instant devant la charrette encore remplit a moitié de cadavres, puis son regard se portât vers la porte du crématoire, de nouveau la douleur revint, le faisant chanceler, il se rattrapât au bord de la charrette puis retrouvant son équilibre se dirigeât vers ses énormes portes de chêne grande ouvertes comme la bouche du nourrisson qui réclame le sein. Les hommes s'écartèrent devant lui comme pour lui faire une haie d'honneur, ils le fixaient d'un air hébété. Hyruvia entra dans le crématoire, s'immobilisât un instant, son regard survolé tous les cadavres entassaient, des centaines d'hommes, femmes et enfant de tout âge entassés comme de vulgaire fétu de branche, le temps s'immobilisât, les bourrasques de vent qui sifflait dehors se tue, les hommes à l'extérieur fixait d'un regard vide le vieil homme qui venait d'entrer, les flammes qui dansaient dans le font du crématoire. s'immobilisèrent elles aussi, la fumée épaisse des corps qui commençaient à ce consumer se figeât plus une seule ombre ne bouger. Hyruvia, trop concentré à scruter les cadavres enchevêtré, ne s'aperçut pas que le temps s'était arrêté pour lui .... puis son regard s'arrêta sur un coin, il s'y dirigeât bousculât deux des cadavres sur le dessus du tas, puis attrapât le bras d'un jeune enfant la peau ternis, les habits commençant à ce consumer. Il le sortie du tas de cadavres et le pris dans ses bras, l'enfant était sur le point de mourir, il arrivait à peine à respirer, la fumée acres s'échappant des cadavres n'arrangeait rien, il serra fort l'enfant contre lui et l'emmena près de la porte. Il déposât l'enfant à terre juste devant lui, remontât sa manche droite découvrant un bras maigre à la peau froissée par le temps et l'âge, il sortie alors un petit couteau de l'une de ses poches et se coupât le bras sur le côté, son sang coulé à peine, il refermât son couteau et le relogeât dans sa poche, puis il serra son bras assez fort pour faire couler son sang, une fois que son sang commençât à couler il l'approchât doucement du visage de l'enfant, lui ouvrit la bouche pour y déverser quelques gouttes, puis de son autre main il étalait un peu de son sang sur le visage et les brûlures de l'enfant. Hyruvia leva la tête pour regarder les hommes à l'extérieur, puis repris l'enfant dans ses bras pour le faire sortir. Il tendit l'enfant au premier homme face à lui et il commençât à repartir d'où il était arrivé, mais après quelque pas il se retourna .... «il serait probablement mieux de ne parler à personne de ce qui viens de se passer » puis il reprit son chemin. Il retournât dans sa chambre, pris son bardât, un morceau de pain qui lui restait de la veille et laissât sur le plateau ses trois dernières pièces d'or qui lui restait ; il décidât de quitter la ville au plus vite... il devait sûrement se douter que les hommes devant le crématoire ne tiendrait pas leur langue extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  5. Chapitre 3 Hyruvia dormit paisiblement cette nuit là, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait dormit autant, il se réveillât assez tard dans la matinée, le soleil était déjà presqu'à son zénith, ses rayons tièdes réchauffé le visage marqué d'Hyruvia. Dans un demi sommeille, il entendit des rire d'enfant, il entrouvrit légèrement son oeil, deux enfants étaient accroupis devant lui tentant de voir son visage, Hyruvia lança un «Bouhh!!» qui fit fuir les deux garnements qui pouffaient encore de rire. Hyruvia se leva péniblement s'aidant de son bâton qui lui aussi commencer a vieillir. Il sortie une miche de pain rassit de sa poche et remarquât que celle-ci commençait à se déchirer, il fouillât dans la bourse accrochée à l'intérieur de sa manche et en sorti les trois pièces d'or qui y logeaient, il lui fallait un tailleur, il se décidât donc de partir à la ville dont il apercevait la silhouette au loin... quelques heures plus tard il arrivât enfin aux portes de la ville, deux gardes en armures armé d'une hallebarde se tenait au garde-a-vous devant l'ouverture béante du mur d'enceinte, il leva les yeux en direction de l'un des garde, sans qu'un seul mot ne soit prononcé, les deux gardes s'écartèrent laissant passer hyruvia, il avançât de quelques pas sous le porche, s'arrêta ... la rue animée lui rappelait son enfance lorsqu'il scrutait le marché bien caché au creux des caisses, un léger sourire défroissant son visage marquait de ses longues années d'ermite ; puis il reprit son chemin, il humait les odeurs de la rue cela faisait longtemps qu'il n'avait plus été en contact avec elles. Il arrêtait alors un enfant ; «le tailleurs mon garçon» «à deux pas, par là » dit l'enfant un peu effrayé Hyruvia se dirigeât dans la direction qu'indiquait le doigt de l'enfant, derrière un virage la rue se rétrécie au fond de celle-ci deux grandes étales recouvert d'étoffe, derrière eux une vitrine dans lesquels trôner robes et vestes de belles augure, il entra dans l'établissement. « tien tien ! Je crois deviner que l'on a besoin de mes talents vieil homme » le tailleur offrait un large sourire plein de gentillesse et de bonne humeur « alors que puis je pour vous ?» un jeune homme se penchât à l'oreille du tailleurs lui chuchotant quelque mot et le regard du tailleurs changeât brusquement, un regard de surprise semble t-il. Hyruvia poursuivit son geste en direction de sa poche décousu « n'en dites pas plus mon ami, venais suivait moi » il entrouvrit un rideau au fond de la boutique faisant signe à Hyruvia de le suivre, ce qu'il fit ils traversèrent la seconde pièce en direction d'une autre plus petite « donnez moi cette toge »le tailleurs tournât le dos à Hyruvia lui tendant le bras de manière de pas pouvoir regarder le vieil homme Hyruvia s'exécutât et tendit sa toge au tailleurs qui la pris « j'en ai pour quelques heures tout au plus, mon assistant va vous apporter un peu de nourriture et de l'eau » et refermât la porte derrière lui quelques minutes suivirent puis la porte s'entrouvrit, un bras passât le jour tendant un plateau sur lequel était posé un repas des plus copieux « tenez monsieur! J'espère que cela vous conviendra, s'il faut autre chose je reste à côté de la porte vous n'aurais qu'à demander » Hyruvia pris le plateau, le repas était divinement cuisiné, les arômes lui rappeler les bons repas que la bonne lui faisait dans sa jeunesse, cela faisait longtemps qu'il n'avait mangé un tel repas aussi copieux que délicieux. Hyruvia profita du vasque remplit d'eau pour ce faire une toilette ; il était agréable de se sentir propre après ses nombreux mois d'errance. Le tailleur revint, entrouvrit la porte et tendait la toge a Hyruvia «j'en ai profité pour stopper quelques accrocs et doubler les coutures, cela vous convient-il ? » « parfaitement, merci » soupira Hyruvia il sortie de la pièce et tendit les quelques pièces d'or qu'il lui restait « j'espère que celà ira » le tailleurs refermât la main d'Hyruvia et la serra entre les deux siennes « garder cela » lui fit il avec un grand sourire et enchaînât «il y a une taverne a quelque pas d'ici en remontant la rue, il vous offrira gîte et couvert pour la nuit, il est au courant » puis il pris Hyruvia par l'épaule et l'emmena vers la sortie un sourire collé à ses lèvres « portait vous bien et merci pour ce que vous êtes» Hyruvia ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, mais avant qu'il n'eut dit un mot le tailleurs était déjà repartit dans sa boutique s'occuper d'un autre client il se dirigeât donc en direction de l'auberge ; à peine arrivée devant celle-ci, la porte s'ouvrit. Un grand gaillard l'accueillant les bras grand ouvert « vous voilà enfin , entrez, je vous attendais » il emmena Hyruvia jusqu'à sa chambre au premier étage « installez vous, yola, c'est ma femme, vous apportera à manger à sept heures » il referma la porte d'un coup sec sans même attendre de réponse. Des vêtements poser sur le lit et un bain fumant l'attendait à l'intérieur. Hyruvia était troublé d'autant d'attention, il pensait qu'on le prenait pour quelqu'un d'autre, mais décidât de ne rien dire, il avait réellement besoin de se confort malgré tout ... quelqu'un frappa à la porte et un voix douce chanta « puis-je entrer? » « bien sur » une belle femme d'âge mure entrât, mais lorsqu'elle avançât avec le plateau le sourire au visage, Hyruvia s'aperçût qu'elle boitait « que vous ai-t-il arrivé ? » « ce n'est rien, une mauvaise chute dans les escaliers» « vous permettez » et sans attendre la réponse Hyruvia mit un genou a terre, il encercla la cheville dans ses mains, une douce chaleur envahie alors le corps de la jeune femme qui maintenait délicatement sa jupe serrée entre ses jambes.«cela devrais aller mieux maintenant » « merci » lui rétorquât la jeune femme et tout en aidant hyruvia à se relever elle lui déposât un baiser sur les mains « je viendrais rechercher le plateau demain matin, je vous souhaite une très agréable nuit » et elle repartie cette fois sans boité Hyruvia mangeât à sa faim cette fois et put dormir dans un lit, se' fut la première nuit qu'il dormit sans ressentir de douleur depuis des années maintenant ... extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  6. chapitre 2 le première appelle fut des plus violant pour Hyruvia, Hyruvia s'était assoupis au pied d'un arbre après une longue journée de marche, il avait soigner que peu de personnes se jour la, et contrairement a se que l'on pourrait pensé cela le réjouissait car cela signifié que les choses aller de mieux en mieux en se monde. Seulement il espérait trop il commençait à sombrer doucement dans le sommeille profond, qu'en une douleur violente le pris au ventre , comme si on lui enfoncer un pieu chauffer a blanc et qu'on le tourner violament dans ses entrailles puis s'ensuivit un douleur aussi atroce au cerveau, il ouvrit ses yeux injecter de sang des vaisseaux éclater un peu partout sur son corps il se leva difficilement , pris son bâton et commença à marcher vers l'origine de sa douleur se n'était pas la première fois qu'il ressentait une douleur , et il avait appris a analyser d'où venait cette douleur. Lorsque qu'une personne a porter de marche souffrait il ressentait la douleurs de la personne à soigner, il lui avait fallut quelque jour avant de le comprendre mais y était parvenu par déduction. Il avait appris par expérience à trouver la direction dans la quel se diriger, l'instinct primer sur tout ses autre sens dorénavant, comme une sixième sens pour trouver les malades. Il avancer doucement en direction d'un village isoler au milieu de nul part, le village paressait mort tel un village fantôme, se n'est qu'une fois dans le village qu'il s'aperçut de l'ampleur du massacre; les noble de la ville a quelque dizaine de miles de là, expulsé leurs malade dans se village ,sans médecin ,sans prêtre, sans rien , ils y vivaient en autosuffisance; le rassemblement de toute sorte de maladie avait mis au monde a mal d'une autre sorte bien plus virulent que tout ceux qu'ils connaissaient. Hyrivia entra dans le village de son pas calme la tète baissait et commença a traversé le village les bras légèrement écarter du corps, les mains légèrement tendu vers les quelques que villageois qui le regardait passer; et là ... un enchantement un miracle peut être la brise disparu, les feuilles qui jouaient avec le vent quelques instant plutôt restait comme suspendu dans les airs, plus rien ne bouger plus rien ne respirait , le silence, le calme les villageois regardait passer doucement Hyruvia; ils n'osaient bouger , ils étaient comme hypnotisé par ce vieille homme sans visage dont seul la barde laissait imaginer son age, seul les main rider, tendu vers eux , une toge épaisse qui n'était plus de toute jeunesse recouvert légèrement de poussière qui laissait a peine entrevoir son marron d'origine, trois gros bouton jaunis par le temps ornais sa toge derrière lui les personnes retrouvaient leur teint d'adolescent , leurs yeux pétillaient comme de jeune enfant, Hyruvia mis près de dix minutes a traverser se village d'à peine douze maisons, puis ils arrivât a la fin du village rentrât ses mains dans les manches de sa toge; il restât immobile un court moment, le vent commençait a reprendre ses droit très doucement un homme près de la sorti du village regarder intensément Hyruvia , il tentait désespérément d'entre voir le visage de l'homme, puis il tendit la main vers Hyruvia tout en s'approchant doucement... il n'était qu'a quelques pouce quand il s'arrêta, il sentait une chaleur douce et agréable émaner d'Hyruvia puis cette chaleur commença a s'immiscer dans toutes les personnes du village « mais ... qui êtes vous ? » demandât timidement le villageois Hyruvia redressa la tête et commença a reprendre son chemin ,et d'une vois a peine audible le villageois crus entendre « Hyruvia ....longsay » Hyruvia disparut très progressivement dans l'ombre de la nuit laissant derrière lui sont premier miracle , il venait de sauver une trentaine de personne par sa simple présence extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  7. Acte 4: une vie de devotion chapitre 1 l'évènement de l'enfant troubla Hyruvia au plus profond de lui, certes il avait acquis une incroyable connaissance de la médecine dans des domaines aussi divers que varié, mais comment l'enfant avait il put guérir aussi vite ? Hyrivia continuait son chemin, tout en se posant cette question depuis l'unification des trois empires, les frontières n'était plus réellement tracées ce qui permettait aux cultures et au peuple de se croiser et partager bien plus qu'avant ; au point ou l'on pouvait parfois rencontrer un paysan discutait avec un hioptysome. chapitre 1 l'évènement de l'enfant troubla Hyruvia au plus profond de lui, certes il avait acquis une incroyable connaissance de la médecine dans des domaines aussi divers que varié, mais comment l'enfant avait il put guérir aussi vite ? Hyrivia continuait son chemin, tout en se posant cette question depuis l'unification des trois empires, les frontières n'était plus réellement tracées ce qui permettait aux cultures et au peuple de se croiser et partager bien plus qu'avant ; au point ou l'on pouvait parfois rencontrer un paysan discutait avec un hioptysome. Hyruvia parsemait ses soins tout le long de son chemin, chemin qui d'ailleurs n'avait aucune destination particulière, jusqu'au jour ou deux blasligue vint à sa rencontre ; leur langage était un peu différent de celui des hommes se laissait comprendre néanmoins assez facilement si l'on y prenait un peu attention ; ils le conviaient à les suivre plus loin dans la foret, Hyruvia commençait à prendre de l'assurance face aux étrangers, il les suivit dans la foret pendant un temps, ils suivirent le chemin, puis ses guides bifurquèrent dans l'épaisse foret, dégageant à coup de machette les quelques ronces qui barraient le chemin sans réellement couper ses dernières, puis de nouveau un chemin, mais celui-ci était très peu fréquenté des herbes hautes d'une cinquantaine de pouce jonchaient les bords, une raie d'herbe central étalée comme aplatit par une charrette et deux rainure de chaque côté, ce qui renforçait l'idée de la charrette, au bout d'une dizaine de minutes une tour de guet astucieusement caché dans la cime d'un arbre, puis au-delà d'un virage les silhouettes de huttes se dessinaient. Ils s'approchaient doucement et les bruits du village commençait à atteindre leurs oreilles. enfants, femmes et homme semblaient agités, lorsqu'Hyruvia atteignit l'entrée du village entourait de ses deux garde du corps tous se tournèrent vers lui comme un seul homme, puis tout le monde se tue. Ses guides l'emmenèrent vers une grande hutte plus loin dans le village, deux basligues tenaient l'entrée, ils écartèrent la toile de la hutte, les deux accompagnateurs d'Hyruvia lui fit signe d'entrer eux-même restant à l'extérieur. Hyruvia s'exécutât , trois longues tentures épaisses pendaient sur les parois de la huttes chacune d'entre elles décrivaient une scène de combat , celle de droite un jeune homme, armé d'une lance de deux fois sa taille, s'apprêtait à tuer un lion ou tout autre annimal qui lui ressemblait, celle de gauche un homme entre deux âges équipé d'une hache de guerre et d'un bouclier ovale, face à ce guerrier un homme un genou à terre désarmées ; sur celle d'en face un vieil homme munis d'un simple bâton la main droite tendu paume vers l'avant face à lui une armée entière agglutinée comme écrasée contre un mur invisible, la simple lueur des flammes éclairaient l'intérieur ; l'ombre des flammes semblaient animer les tentures. Un très vieil homme était assis en tailleurs devant le feu les cheveux crasseux, gras et très long s'échouaient sur le sol et sur ses genoux, une barbe dans le même état que les cheveux et tout aussi long, il avait la peau très mate pas tout à fait noir. Il ouvrit les yeux comme deux éclaires bleu très clair, et d'une voie roque « assis toi» hyruvia s'assit en tailleur devant le vieil homme, ils se regardèrent l'un l'autre pendant un long moment semblant se jugeaient ; le vieil homme parlât enfin « tu es bien celui que je cherchais, je t'attends depuis maintenant plus d'une décennie, mais il semblerait que tu ai eu besoin de ce temps pour venir a moi ... » de nouveau un long silence, puis il reprit « donne moi tes mains » Hyruvia tendit ses mains, le vieux pris les mains entre les siennes et les serrât assez fort puis fermât les yeux personne ne sus ce qu'il s'était passé et ce qu'Hyruvia avait vu ce jour là Hyruvia longsay sorti de la hutte et restât immobile un instant. Hyruvia longsay sorti de la hutte et restât immobile un instant. l'un d'un garde-porte se penchât à l'intérieur et ressortit, c'est alors qu'il s'écriât « He yruh vihia longg saye »* une petite fille accourra vers Hyruvia lui serrant la jambe, il posât sa main sur sa tête puis l'écartât doucement et se dirigeât vers la sortie du village dans le village régnait une atmosphère à la fois de joie et de peine tous le regardèrent marcher d'un nouveau pas vers la sortie du village, un pas calme, poser comme s'il glissait à même le sol. Hyruvia repris sa route, mais maintenant son chemin était guidé par la détresse des gens, il ressentait au plus profond de lui les lieux ou l'on avait besoin de lui. * traduction approximative : le vieux soigneur renaîtra en lui extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  8. ACTE 3: Un choix décisif Hyruvia avait échappé à la police, à la prison, à la guerre, et même à la mort bien qu'il n'avait plus d'existence légale. Que lui restait-il à présent ? Qu'allait-il devenir ? Il erra quelque temps dans les campagnes tel un vagabond, s'isolant des hommes et de la société, n'adressant plus la parole à personne... Il devenait peu à peu anachorète. Il passait ses journées à marcher, à regarder les paysans travailler, ressassant sans cesse sa vie, essayant en vain de trouver un nouveau but à celle-ci. Bénéficiant de la gentillesse des paysans et autres religieux lui offrant logis et couvert malgré son mutisme, il soignait de temps à autre les petits maux, crevasses, élongations ou encore quelques tendinites. C'était seulement dans ces moments précis, où il apportait guérison et apaisement, qu'il se sentait vraiment utile. Il avait de l'importance juste un instant et on l'oubliait l'instant d'après : et c'était exactement ce que recherchait Hyruvia Le temps passait.. Et arriva celui où certaines personnes ne voyaient pas de bon augure, l'arrivée d'un mendiant près de leurs maisons, souvent par peur, mais aussi souvent par mépris. Au début, Hyruvia se défendait des quelques personnes qui venaient chercher querelle à son encontre, parfois même les blessant grièvement... Quelques années passèrent ainsi, déroulant leurs journées toutes aussi monotones que répétitives. Au fil du temps, Hyruvia avait de plus en plus de mal à se défendre des agressions, chaque blessure causée le faisant souffrir encore plus que la victime elle même. Il en venait parfois même à soigner son assaillant. Ses voyages dans tous les pays avoisinants lui firent connaître des méthodes de médecine jusqu'alors inconnues telles la phytothérapie ou encore l'acuponcture. Il s'intéressait en particulier à toutes les formes de médecine, demeurant parfois plusieurs mois au même endroit pour apprendre à la pratiquer. Au fur et à mesure de son apprentissage et de son perfectionnement, il vivait de plus en plus au contact de la nature, s'éloignant ainsi peu à peu de toute civilisation, jusqu'à devenir un ermite afin de parfaire encore sa connaissance de la guérison. Il lui fallut de nombreuses années pour acquérir la maîtrise des soins, et c'est finalement en mélangeant toutes les techniques apprises qu'il parvint à guérir tous les maux. Un jour, enfin, arriva le moment où il se sentit enfin prêt à revenir vers la civilisation, dans l'unique but de faire connaître tout ce qu'il avait appris durant toutes ces années passées au fond de la foret. Le monde autour de lui avait bien changé. Il eut du mal à retrouver son chemin et en sortant de la forêt, il eut encore plus de mal à reconnaître le monde qu'il avait quitté. Pour Hyruvia, il ne s'était écoulé que quelques années, mais le monde dans lequel il arrivait, semblait avoir évolué de plusieurs décennies. Après avoir parcouru les routes désertes plusieurs heures, il parvint enfin à atteindre un village. Ce fut dans ce village que sa vie fut profondément bouleversée. Il croisa une première personne qui se détourna immédiatement de lui. Surpris dans un premier temps, il s'aperçut finalement que ses vêtements n'étaient pas si propres qu'il avait cru. Il fit donc un petit détour vers la fontaine du village pour se rafraîchir. A sa grande surprise, il remarqua que sa toge n'avait absolument pas subi les effets des quelques années passées en forêt. Par contre, sa barbe avait poussé, dépassant de sa capuche. Il y passa sa main, tentant de lui donner un aspect plus soigné. Elle était grisonnante, tirant même vers le blanc pur... Avait-il à ce point oublié toute notion du temps... A cet instant, une charrette arriva en trombe. Les hennissements des chevaux résonnaient dans la rue silencieuse, tandis que leurs sabots heurtaient le sol dans une cadence infernale. Un cocher fouettait les animaux comme un diable. Derrière lui, se tenait un homme paniqué et renversé sur un plus petit corps... Probablement celui d'un enfant, ... Très jeune. «Sept ans !!! Il n'a que sept ans...» ses paroles venant de nul part résonnaient dans son cerveau. La charrette s'arrêta brusquement devant une maison au bout de la rue. Le cocher sauta de sa place et courut vers la porte. Il y frappait tel un fou hurlant un nom à peine compréhensible, «Il est pâ là !» Hyruvia s'avança doucement vers la charrette, tandis que le cocher se tournait vers l'homme dans la charrette. « j'va a l'église, l'curé doit savoir où s'qu'il est » Hyruvia se pencha vers l'enfant, apposa sa main sur sa tête. Le petit était fiévreux, il fouilla un instant dans l'une de ses poches et sortit un baume encore dans son écrin de feuilles de nénuphar. Il l'appliquait sur le front de l'enfant lorsque l'homme attrapa vivement le bras de Hyruvia ; Hyruvia regarda l'homme dans les yeux, lui offrant un sourire empli de bonté. Comme enchanté, l'homme lâcha prise et le laissa poursuivre son geste. Hyruvia glissa alors sa main vers la poitrine de l'enfant, et une courte poignée de secondes plus tard, l'enfant ouvrait les yeux crachant et toussant. Hyruvia fut lui même surpris de ce qui venait de se produire, mais ne voulant rien laisser paraître, il tourna le dos à l'homme de la charrette et s'en alla comme il était venu. «J'l'ai trouvé, l'était chez la mère Logb, à l'aut' bout du village» «Il n'a rien cet enfant....Tout juste un peu de fièvre.. Un tel remue-ménage pour une petite fièvre... Vraiment...» « Il l'a soigné, guéri en une seconde, ses mains....» Le père de l'enfant avait les yeux rivés sur Hyruvia, le regardant s'évanouir au loin. Il n'avait même pas eu le temps de le remercier, de le présenter... De voir distinctement son visage caché par sa capuche et une barbe blanche débordante de sa toge... Un sourire, juste un sourire... Et il avait disparu. Sa voie était toute tracée maintenant : tous ces malheureux qu'il n'avait pu sauver avant...Peut-être le pourrait-il à présent... extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  9. ACTE 2 : La naissance Pour que vous compreniez bien son parcours et les raisons pour lesquelles il est devenu l'homme que je vais vous présenter, il me faut vous conter son histoire, car toute chose a une importance et entraîne des conséquences sur toute vie humaine. Son père était percepteur pour enfant de nobles, et sa mère donnait des cours de piano...Une famille de la petite bourgeoisie en somme, comme beaucoup de familles, sans histoire et sans rôle d'importance dans la société. Il avait deux frères jumeaux plus âgés que lui : Nirus et Bladive, ainsi qu'une soeur, Armanda. Il était donc le quatrième enfant né dix ans après sa soeur, et pour ne rien vous cacher, ses parents ne l'avaient pas désiré. Il est arrivé par une après-midi d'hiver sans neige. Ses parents passèrent un accord avec l'accoucheur pour qu'il notifie que, pour des raisons de santé, sa mère devait être ligaturée, chose totalement fausse... Mais quelques billets font parfois de bonnes choses... Malgré un statut confortable, ils ne faisaient pas partie des riches et nobles de son pays et n'avaient pas les moyens d'élever plus d'enfants qu'ils n'en avaient déjà. Tout comme ses trois frères et soeurs, ce fut son père qui l'éduqua. Ne montrant aucune aptitude particulière pour la musique, sa mère cessa de lui donner des leçons, ce qui finalement lui laissait davantage de temps pour ses loisirs. Il aimait particulièrement les jours de marché, le bruit, la foule, les cris, les odeurs. Cependant, il demeurait toujours en retrait. Non pas qu'il ne voulait pas se mêler «au petit peuple», comme aimait à le dire son père... En fait, sa discrétion avait une raison : ne pas garder d'odeur sur lui. Comme cela, lorsqu'il rentrait, il évitait tout un bataillon de questions embarrassantes. Puis vint le temps où il dut apprendre un métier. De part sa condition familiale, il se devait de choisir un métier en relation directe avec la noblesse. Il s'essaya donc à de nombreux métiers, jouant ainsi des relations de son père. Il commença par être tailleur... Deux jours à peine plus tard le tailleur du se résoudre à le remercier, ou plutôt à le diriger vers un autre voie, auprès d'un ami tanneur. Cependant, là encore, il ne put rester ; mais cette fois-ci, uniquement parce qu'il n'avait pas la corpulence nécessaire pour porter toutes les lourdes peaux de cuir précieux... Il s'essaya ensuite à la cuisine mais ses expériences culinaires n'étaient apparemment pas au goût des clients... Constatant qu'il n'était pas vraiment fait pour les métiers manuels, son père l'orienta vers la bureaucratie, mais les professions d'huissier ou d'avocat ne semblaient pas davantage faits pour lui. En effet, il ne parvenait pas à contenir ses émotions face aux quelques larmes qu'il rencontrait. Le journalisme lui plaisait bien mais les possibilités de promotions n'étaient ce coup-ci pas au goût de son père ; Après mûre réflexion, ses parents décidèrent de l'envoyer à l'armée. Il fit alors une école d'officiers supérieurs, et cinq années plus tard, il devint chef de bataillon avec six cent hommes sous ses ordres. De la sorte, Il en arriva à gérer quelques conflits de manière diplomatique, ce qui le fit remarquer des instances militaires. Quelques années plus tard, probablement sept ans, les dates n'étant pas extrêmement précises à ce sujet car beaucoup de documents ont disparu pendant la grande guerre, il devint Consul. Il exerça tout d'abord dans un petit pays sans grande importance... Tout au moins, c'était ce que pensaient les grandes instances. Contre toute attente, il réussit à faire de ce petit pays, frontalier des grandes nations, un point de passage commercial incontournable. Ensuite, il parvint à conclure des pactes commerciaux entre ce dernier et son pays d'origine, leur donnant ainsi un grand pouvoir commercial sur le marché mondial. Les conseillers du Roi, voyant en lui un grand négociateur l'envoyèrent dans un pays assez lointain, où la tension était telle, que le pays était sur le point de basculer dans la violence armée et la guerre. Et la menace qui planait n'était pas la moindres, car derrière ces deux pays, de nombreux autres les soutenaient, impliquant ainsi presque les deux tiers du monde. Le conflit diplomatique était déjà trop avancé pour que Hyruvia puisse arranger quelque chose. Il décida de choisir une option militaire préventive, en dépit de ses propres convictions. Malheureusement, insuffisamment camouflée, son intervention mit immédiatement le feu aux poudres et l'Empire Druvinois déclara la guerre au Royaume de Claive. Les conseillers du roi lui octroyèrent toutes les responsabilités, tentant parallèlement de négocier pour éviter une guerre, mais en vain.. Hyruvia fut arrêté, puis emprisonné par les autorités locales. Il fut envoyé dans une prison haute sécurité. Dehors, la guerre commençait à se répandre dans les petits pays alentour. Mais ce ne fut que lorsque l'Empire Druvinois envahit Drudétymis, le petit pays dont Hyruvia était consul, que la vraie guerre éclata, impliquant les deux royaumes, et leurs soutiens respectifs. Des millions d'hommes tombèrent sur les champs de batailles, succombant à d'atroces souffrances. Des Etats entiers disparurent des cartes et Hyruvia, au fond de son cachot, se sentait responsable de tout cela. Un jour, une faction militaire indépendante, libéra tous les prisonniers de la prison où il était détenu, recrutant ainsi nombre de bras et partisans contre leurs pays. Hyruvia se fit passer pour un simple civil, espérant ainsi éviter de se faire tuer par la milice qui l'envoya aider à l'hôpital un peu plus loin. Dans cet hôpital, en découvrant les morts et les blessés, il se sentit encore plus responsable de leurs souffrances et de leur disparition. Les visions d'horreurs qui s'étalaient sous ses yeux l'aveuglaient et le meurtrissaient un peu plus, à mesure qu'elles s'accumulaient devant lui. Un des chirurgiens de l'hôpital voyant le moral de Hyruvia décliner, se décida à venir lui parler, la première des raisons n'étant pas son empathie pour les blessés, mais plutôt le fait qu'une paire de bras en moins serait terrible. Quand Hyruvia se décida à tout lui raconter, le chirurgien le prit avec lui en tant que premier assistant. Il lui apprit ainsi quelques premiers et seconds soins d'urgence... Il avait enfin trouvé sa voie. A chaque fois qu'il se retrouvait auprès d'un patient, il devinait instantanément de quel mal ce dernier souffrait. Cela permettait ainsi au chirurgien de gagner un temps précieux et ils purent ainsi sauver de nombreuses vies humaines. Mais dehors, la guerre continuait à faire rage. D'autres hommes continuaient à souffrir... Des vies entières disparaissaient et Hyruvia ne le supportait pas. Sauver une partie des gens ne lui suffisait pas Il se démenait comme un fou, travaillant nuit et jour, se privant de sommeil plusieurs jours durant parfois... Pour les sauver tous. La guerre entre les deux royaumes s'essoufflait peu à peu. L'hôpital avait acquis une certaine réputation, et les blessés arrivaient de plus en plus nombreux. C'est alors que le troisième grand Royaume entra en action. Malgré les dommages collatéraux qu'il avait subis, ce dernier royaume était cependant resté à l'écart du conflit jusque là. Les deux autres royaumes s'étant épuisés l'un l'autre, il ne fallut que quelques mois pour que la victoire soit acquise à ce troisième Royaume opportuniste, imposant ainsi une reddition sans condition aux deux autres belligérants. La paix était donc revenue, mais les derniers blessés continuaient d'arriver. Après quelques mois, finalement, l'hôpital redevint calme. Hyruvia y demeura quelque temps pour se faire oublier de tous, car il devait être assimilé à un traître dans les deux royaumes. Il savait qu'il encourait la mort si l'un ou l'autre venait à le retrouver. Deux ans s'écoulèrent et Hyruvia était devenu le second du chirurgien, le remplaçant même parfois pour effectuer certaines interventions bénignes. Un jour pourtant, il se décida à retourner dans sa ville natale : il voulait revoir sa famille, espérant qu'ils étaient encore en vie. Il passa alors les frontières sous un faux nom, feignant d'avoir perdu ses papiers lors de son long séjour dans l'hôpital. Il essaya de se renseigner afin de savoir s'il était toujours recherché par les autorités, mais il semblait, qu'aux yeux de la justice, il était mort au combat sauvant ainsi l'honneur de sa famille. Cette dernière nouvelle le rassura et il se réjouit que sa famille n'ait pas subi les conséquences de ses actes. Après de nombreuses semaines il arriva enfin dans sa ville natale. La guerre avait fait des dégâts encore perceptibles mais la cité restait reconnaissable, fidèle à l'image qu'il avait conservée dans sa mémoire. Il se rendit aussitôt devant la maison familiale, en ruine... Il y pénétra sans plus se soucier des conséquences si on le venait à l'identifier. Alors qu'il poussait une porte délabrée, une personne l'interpella lui apprenant la mort de tous ses occupants. Il apprit ainsi que la maison allait être détruite d'ici quelques jours pour bâtir au même endroit le nouveau consulat de Druvine... Quelle ironie du sort... Lui qui avait été Consul dans ce même pays avant la guerre... Il s'empressa d'aller visiter les lieux, retrouvant la cachette où son père mettait ses quelques économies. Hyruvia monta dans les chambres. Tout avait été déjà pillé et saccagé... Seul vestige de ses parents; restait pendue à un crochet, la toge que portait son père l'hiver. C'était une longue toge brune, brodée d'arabesques rouges sur les coutures et ornée de trois gros boutons en nacre au col. Chacun d'eux représentait les symboles de ses trois familles : un pour sa famille paternelle, le second pour sa famille maternelle et le troisième et dernier pour la leur. Pendant qu'il parcourait son ancienne demeure, l'homme qui l'avait interpellé à l'entrée, avait prévenu les autorités. Des voix résonnaient à l'extérieur lui indiquant que les autorités savaient qu'il était encore à l'intérieur. Hyruvia s'empara rapidement des quelques économies, enfila la toge, se recouvrit le visage de la capuche et sortit par la porte d'entrée. Face à lui se tenaient douze policiers en uniforme. Hyruvia baissa légèrement la tête, et marcha lentement vers les hommes. Il venait d'apprendre le décès de toute sa famille, que la maison où il avait vécu, était sur le point d'être détruite, et que lui même était considéré comme mort.... Brusquement, il se souvint d'une phrase : «Plus tu auras l'air sûr de toi, et plus le patient pensera que tu es un grand chirurgien» Cela le fit sourire. Il releva la tête et se redressa. Le contre-jour reportait l'ombre de la capuche sur son visage, ne laissant rien paraître. Il avança ainsi d'un pas sûr vers les agents. Il dégageait une telle présence dans sa toge, que les policiers s'écartèrent, le regardant simplement passer lentement, ... pour finalement le laisser s'éloigner dans la rue, n'osant point l'interpeller .... extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  10. ACTE 1 : Légendes De nombreuses années s'écoulent sans cesse. Tout le monde vit et meurt sans même se demander d'où viennent les soigneurs, leurs origines, le premier, celui qui a ouvert la voie... Je vais donc vous conter une légende, dont seuls les anciens manuscrits font encore part. L'histoire d'Hyruvia Longsay a donné lieu à d'innombrables légendes : de nombreux écrits d'hommes et de femmes relatent leurs rencontres avec cet homme dont nul n'a pourtant jamais vu le visage. «Il est arrivé de nulle part alors que le village commençait à périr décimé par la maladie, il n'est resté qu'un instant et pourtant tous furent sauvés...» «J'ai vu les haches et les glaives s'arrêter dans l'air comme si le temps avait soudain disparu...Il traversa le champ de bataille. Une aura se dégageait de lui... Pas de cette aura dont les mages ont l'habitude de s'entourer, non, une force invisible, spirituelle, comme si son corps n'était qu'une minuscule représentation de lui...Il nous encerclait de son aura, nous sentions sa présence jusqu'au fond des tranchées quand il traversa la plaine...» «J'étais blessé, le bras presque arraché par un coup de hache, je hurlais de douleur, je me vidais de mon sang. Mes frères d'arme continuaient à se battre devant me yeux remplis de sang quand soudain il se pencha sur moi, je me suis senti apaisé, plus aucune douleur, je ne ressentais plus rien. Même le sol glacial, sur lequel je gisais, avait disparu, il posa sa main sur moi, ... et disparut dans la poussière... Quand j'ai regardé mon bras.... Plus rien... Plus aucune blessure, pas une goutte de sang, rien... Comme si je n'avais jamais été blessé... Seule mon armure en avait gardé la trace... Mon armure et mon esprit, je me sentais en paix ....» «Nous avons essayé de le retenir, mais personne n'osait le toucher, non pas de peur d'être contaminé.... Non !!! Sa seule présence impose le respect, comme un roi traverserait sa Cour, ou le pape devant ses fidèles. Il est arrivé de nulle part, est rentré dans la salle parmi les cadavres contaminés. Un instant plus tard, il est ressorti avec un enfant dans ses bras, l'a déposé devant nous et s'en est allé comme il était venu. L'enfant ne portait aucune séquelle de maladie... Alors que nous apprêtions à le brûler quelques instants plus tôt.... Je ne le remercierai jamais assez » « Il est entré : telle une ombre dans la lumière de la lune qui traversait la porte avec lui. Il s'est assis, une longue toge foncée et salie de poussière. Une capuche recouvrait son visage d'une ombre épaisse, des mains fines aux longs doigts propres presque blancs, probablement un noble déchu de ses droits... Il sortit une pièce d'or de sa manche et la posa devant lui. Je lui apportai une gamelle de potage, une tranche de pain et un verre de vin....Je ne pourrais pas vous dire ça, ... Comment j'avais su ce qu'il désirait, il n'avait pas dit un seul mot, mais au fond de moi je le devinais. Il mangea et partit comme il était arrivé. Il n'est resté qu'une petite heure mais tous s'étaient arrêtés dans la taverne comme si le temps n'existait plus, tout était silence et tous le fixaient intensivement, tandis qu'il mangeait. Le bruit infernal revînt lorsque la porte se referma derrière lui, comme si personne n'était jamais entré.» «J'étais petit a l'époque...Nous jouions Juan et moi à grimper aux arbres...J'avais à peine sept ans. Ça fait soixante-seize ans maintenant, mais je m'en rappelle comme si c'était hier. Une branche s'était cassée sous mon poids...Je crois bien que j'avais du me briser la jambe. J'avais demandé à Juan d'aller chercher mon père au village... Il avait disparu derrière la butte, et... C'est là qu'il sortit du bois. Il se pencha sur moi, posa sa main sur ma jambe et partit... Ça n'a duré que quelques secondes, enfin pour moi, car à peine avait-il disparu de nouveau dans les bois, que mon père arriva en courant... Du village à l'endroit où j'étais, il devait bien y avoir..., allez facile,... huit cent coudées. Et pourtant j'avais l'intime conviction que cela n'avait duré qu'une seconde. J'ai eu droit a une belle trempe de la part de mon père, qui n'a jamais voulu croire à cette histoire d'homme qui m'avait guéri aussi vite. Enfin....Jusqu'à ce qu'il entende lui même parler de lui ...» Des centaines d'autres témoignages parlent de lui. Ceci n'est qu'un petit aperçu, mais je vais vous conter maintenant sa véritable histoire. Comment je la connais ? *léger sourire malicieux* Il est de ces secrets que même les dieux ne doivent pas connaître. extrait du recueil "Hyruvia Longsay", auteur inconnu
  11. opus le petit

    Les fresques

    encore un grand plus qui manquait ailleurs; encore une merveilleuse idée, merci
  12. Il ne faut pas non plus oublier ceux qui ne veulent absolument pas tuer quelqu'un, tout le monde n'aime pas tuer et facilité ou pas je n'irais pas tuer Par contre, moi je me ferais tuer c'est certain et si l'xp donner par mes morts est plus importante que sur les mobs, ça revient à me mettre au placard, car mort = perte d'xp et non tueur = non xp (ou faible xp) En plus ca reviendrait a "j'ai la plus grosse le premier, je suis le plus fort, j'xp plus vite , je reste le plus fort", c'est un résumer grossier mais c'est pas totalement faux moi je verrais plus le pvp comme le moyen de prouver sa force: je vais m'expliquer un peu un peu sur le principe des luttes actuelles sauf que la récompense sera un accès à un territoire, sur ce territoire des monstres qui donneraient plus d'xp et plus d'or que n'importe quel autres(voir peut-être aussi plus de ressource pour les métiers, mais ne sachant rien sur ceux-ci je m'avance pas), avec des pnj vendant des armes à courte durée d'existence mais puissante(un peu comme les invocations), seul bénéficiaire ceux qui auront tué ou soigné en arène évidemment. ensuite on peut également imaginer des luttes en arène pour les éléments (mode actuel), et d'autre pour les factions, la zone serait "leur" terrain de jeu pour un temps, en découlerais des alliances et des guerres de factions c'est une vague idée, mais ça donnerait une autre importance au pvp que le simple fait de taper sur l'autre pour le tuer et gagner de l'xp. Et ça permettrait au pacifiste d'en profiter également
  13. La toute première chose qui me vient et que je n'ai toujours pas pus évaluer le sort de soin, et je n'aurais sans doute pas l'occasion de le faire en bêta. Donc un peu déçu de ne pas pouvoir exercer mon vrai rôle et de ne pas avoir eu l'occasion d'en discuter après presque 2 mois. La baisse des dégâts, je ne l'ai pas trop ressentit, mais en même temps je ne fréquente pas suffisamment de monstres pour juger correctement Les points de combat (ou pa ou ce que vous voulez ^^) , je trouve qu'ils sont très bien ainsi, très bonne équilibre, avec ou sans bonus, bravo Les points de mouvement (ou d'endurance tout ca^^), j'en utilise très peu donc pour moi peut-être une petite baisse à ce niveau (je ne suis jamais descendu en dessous des 400 sauf à la sortie de la première map tuto) Le classement, très bien tel quel avec la fonction recherche qui vient compléter, parfait L'xp des quètes je ne peux pas juger je n'en ai aucune suffisamment proche de la fin pour juger, La modification de la chance, une belle claque, mais tout à fait justifié et plutôt bien ainsi L'argent des drops plutôt équilibrer, quoi que le drop du serpent devrait être plus élevé que celui des scarabées Conclusion global un GRAND BIEN, pas de très bien parce qu'en tant que soigneur pur je suis laissé à l'écart pendant plusieurs mois de jeu condamné à faire de l'élevage d'un point de vue rp (jouer un soigneur qui n'a pas les moyens de soigner c'est risible ^^) et jeu
  14. l'idée est interessante je trouve aussi, mais les potions devraient avoir un effet négatif plus ou moin important
  15. je viens poser mon grain de sel , et oui je loupe rien ^^ les récompenses sont attribuer au tueur et uniquement a eux. je me pose une question, pour l'instant le probleme se pose pas vu que les soigneurs n'existe pas, mais plus tard quand il y en aura ils seront exclu de la Luttes sépulcrales ? il serait interessant que les soins donner a son élément dans l'arene soit également prix en compte dans les récompenses. un très bon soigneur, voir même plusieur soigneurs, peut avoir un grand interet stratégique en combat, ce serait vraiment navrant de les écarter non ?
×
×
  • Créer...

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.