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Terre des Éléments

Abaelion

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Tout ce qui a été posté par Abaelion

  1. Voilà deux jours que j'erre dans cette salle obscure, humide et froide. Ce lieu est vraiment morbide, on ne peut rien y faire, une vaste cavité noire, quatre murs monotones, pas même un rat avec qui jouer. C'est là que je me suis réveillé l'autre jour, à la suite de mon affront avec Ghurty et les siens, il faut que je les retrouve, je ne peux pas les laisser en vainqueurs. J'entend déjà les râleries de mon Général, il ne sera vraiment pas fier de mon travail, je n'ai pas réfléchit, j'ai foncé dans le tas comme à l'habitude tête baissée, là est ma grande faiblesse. Il faut soit disant que je me repose encore un peu avant de pouvoir partir, c'est ce que m'a dit le Garde à l'allure plus que louche qui bloque la sortie. Non mais il me prend pour qui celui là ? Je sais si je suis apte à reprendre mon chemin quand même, qu'il me laisse partir je n'ai rien à faire ici, ces combattants de la Constellation ne perdent rien pour attendre, je vais leur montrer de quel bois je me chauffe. Bien décidé, je met avec précaution mes bottes, mes gants, mon bouclier, toute mon attiraille de guerrier, en prennant bien mon temps. Je me dirige vers l'homme . . . - C'est bon là ? Je peux bientôt sortir ? Je suis en pleine forme, et j'ai des choses à faire au dehors . . . Je ne vois pas son visage, sa capuche l'ombre bien trop, déjà qu'ici la lumière n'est pas reine. Le Gardien ne répond pas, il hoche simplement la tête en m'indiquant la direction de la porte. Je sors enfin de cette antre par cette mince sortie, c'est à peine si je passe par l'orifice, ma carure plutôt imposante ne me permet que difficiliment de m'extirper de là. - Me voilà enfin sorti de cet abomiable trou ! Ahhh que c'est bon de respirer l'air de Melrath Zorac . . . Je prend une grand bouffée d'air, le Soleil tape fort en ce début d'après midi, mes yeux s'accomodent lentement, la différence de luminosité est plus que conséquante. Cette fois-ci, je sens que c'est un bon jour, les animaux aux alentours ne paraissent pas avoir été dérangés, ça m'a l'air calme. Je commence mon périple en direction de l'Est, j'empreinte un de ces ponts chevauchants la rivière pour me retrouver à la belle fontaine de la place publique. Je fais une halte, je bois un peu et me laisse emporter par les petits bruits de Mère Nature. Je suis tellement heureux d'être enfin libre, cette ville est vraiment belle, peu de monde y habite en plus de ça, un véritable paradis qu'est cette cité. J'entend s'agiter quelques Moskitos à l'Est, ma paisible balade psychique s'arrête là, les bestioles font déjà un sacré rafus pour que je ne sois plus bercé par la mélodie envoutante qui regnait il y a juste quelques secondes. Je jette un rapide coup d'oeil mais la scène se passe un peu trop loin encore. Je m'approche, confiant, saisissant ma massue avec force, je ne prend pas le temps de savoir qui c'est, j'avance d'un bon pas vers l'auberge et voit à nouveau ce mystérieux nécromant . . . Ma réaction ne se fit pas attendre, je courru à toutes jambes vers lui, je lui met un coup de massue dans la jambe, pensant le faire tomber au sol. Le vil s'échappe en boitant, je ne sais comment j'ai pu le frapper si mal, d'habitude quand je tape, je fracture les membres, ça ne va plus, je dois manquer affreusement d'entrainement pour faillir à la tâche comme je le fais. Je laisse le jeune homme au blason des Constellations fuir, et me met à chasser quelques animaux, m'exerçant à mieux manipuler la massue. Le combattant appeuré est parti vers l'Ouest, surement s'est-il arrêté à la fontaine pour reprendre son souffle, je vais attendre qu'il revienne voir Germaine, après tout il n'a pas d'autre choix que de faire route vers là. En attendant j'observe le sol, près du mur où Ghurty m'avait laissé pour mort deux lunes auparavant. Je ne trouve manifestement rien de bien intéressant, mon sang ne gît plus ici, l'aubergiste a du passer par là et nettoyer un peu les cochonneries occasionées par notre rencontre. Un bruit retentit à nouveau, c'est surement l'autre nécromant de malheur, le fuyard en déroute qui revient par ici . . . Je me cache rapidement contre la façade Ouest de l'auberge, l'oreille tendue . . . Le voilà à la porte, je l'entend essouflé, entrer dans le batiment, cette fois là c'est bon, je ne le louperais pas, je n'ai pas interet à décevoir mon Général. Tout se passe très vite, ma massue vient directement s'écraser dans la nuque du pauvre combattant s'affalant à terre, assomé sur le coup. Encore une fois, je le tue par derière, il est pris par surprise . . . Je ne suis pas fier, encore une fois, mais Ghurty m'avait elle aussi eu à mes dépends de la sorte. La seule chose qui compte, ce soit qu'il reste inerte face contre terre . . . Etant sur le chemin, j'emjambe sa dépouille et ramasse les quelques pièces d'or qui ont roulé de ses poches, pour aller prendre une chambre, le repos m'ira très bien. [...] Je suis en pleine forme, je suis excité comme pas deux, j'ai hate de revoir Ghurty et ses lascards. Mes pensées sont toutes dirigées vers elle, elle et ses quatre ou cinq gueux qui se sont moqués de moi l'autre jour. Si seulement je pouvais les étriper, les faire souffrir comme jamais ils n'ont souffert. Il faut que je me calme, le temps viendra bien assez tôt. Je fais les 100 pas dans ma chambre, je ne peux rester assis, il faut que je me batte, je ne tiens plus. J'entend un homme et une femme discuter au dehors, des ennemis ? Rahh non, je ne dois pas être obnubilé par ces foutues Constellations à deux rocailles, ça ne peut pas être eux, ils ne sont pas seuls sur cette terre tout de même. Mais les sons des ces deux voix me disent quelque chose, surtout celui de cette femme . . . J'affine mon ouïe, je veux savoir qui c'est, je sais que je connais cette voix, mais je ne sais pas de qui elle est . . . Il ne me reste qu'une solution, allez voir de mes propres yeux qui est au dehors à discutailler . . . Bien entendu, je me prépare en hâte, je suis pressé d'aller voir qui sont ces deux personnes sortant surement chasser en pleine après midi. Ma dette est vite reglée à Germaine, la monnaie du jeune nécromant suffit amplement et me voilà au dehors. - Ah non ! Pas eux ! D'un rapide coup d'oeil j'avais vu Ghurty et un de ses hommes en train de pourfendre ces bestioles volantes. Je me préparais à les charger, assez anxieux du résultat, quand soudain, bridou, le talentueux rodeur me met une tape dans le dos, il était lui aussi venu par curiosité . . . Il se joint à moi et nous courrons à toute vitesse en direction des deux combattants. Nous n'avons pas le temps de les attaquer, ils courent directement vers le Nord, ils prennent peur de notre charge. J'accèlère le pas, je ne veux pas laisser cette vermine fuir une nouvelle fois la bataille . . . Je cours à toutes jambes, mais la fine guerrière me sème, je n'arrive pas à la ratraper . . . Par contre, son guerrier a l'air épuisé, il est ralenti par la fatigue de la chasse ainsi que le poids de son armure massive . . . Je le prend alors lui en chasse, le dépassant facilement, je suis frais, je sors de ma chambre . . . moi . . . Par contre, ce qui m'inquète, c'est que je ne vois pus bridou à mes côtés, un point de côté surement . . . Là tout va très vite, je lui met un coup de massue dans le torax, il ne bronche pas, un second dans les côtes, ce molosse ne semble rien subir, son armure absorbe tous mes coups . . . Il reprend sa course vers la taverne où Ghurty s'est déjà introduite depuis quelques secondes, il ne prend même pas le temps de me frapper, je ne comprend pas . . . Je suis éssouflé, mais la vision de son blason me rend fort, je suis obsedé par la chute de ce blason, ils m'ont bien trop humilié, tous . . . Il n'est pas loin de moi, à deux foulée de ma fidèle arme . . . Nous zig-zagons entre les tables et les chaises, en cassant l'une ou l'autre au passage . . . Le guerrier glisse alors dans les escaliers qui mènent à l'étage, il se retrouve ventre contre les marches, j'arrête ma course, lève bien haut ma masse de bois . . . En voilà un de plus . . . [...]
  2. Je marche ce matin tranquillement, je regle ma dette de la nuit à Germaine, assez salée celà dit, comme toujours. Il va falloir que je râle un peu en rentrant, ça ne va plus pouvoir durer comme tel. Je m'en vais de bonne humeur à la chasse, les moskitos m'ont l'air bien agités, les rats des villes ne font guère de bruit, on entend ruisseler la rivière mieux qu'à l'habitude. Ce n'est pas normal, la nature ne change pas du tout au tout comme ça, sans raison, il n'est pas impossible donc que je croise quelqu'un sur mon chemin au levé du Soleil. Je ne connais pas très bien la ville encore, je me rappele encore de cette course-poursuite avec Ghurty de la veille. Moi qui croyait l'avoir pourtant tué, je la retrouvais quelques minutes plus tard au même endroit en train de continuer sa chasse. Malheureusement, elle connaissait mieux le terrain et a pu m'échapper sans gros problème, quelle erreur de ma part. Je vais me balader un peu vers le Nord, histoire de visualiser un peu toutes les petites ruelles qui me restent inconnues pour le moment, ça ne peut que m'être bénéfique. Le pont au Nord de l'auberge est souillé, il y a quelques traces boueuses dessus, je me penche, elles sont encore fraîches . . . Je continue mon chemin, la main plaquée sur le manche de ma fidèle massue, je commence à me dire que je pourrais bien avoir de la compagnie. A ma gauche se dressent les batiments anciens, les murs semblent fragiles, fatigués et usés par le temps, vieille Melrath Zorac . . . J'avance, sûr de moi, à la recherche de ruels, de chemins, de culs de sac, tout ce qui pourrait m'aider ou bien même me faire défaut en combat, il faut être prêt à tout. - Une sombre et étroite ruelle entre la bibliothèque et l'armurerie, intéressant . . . Je m'introduis alors dans ce passage, afin de voir où il peut bien mener. Je marche peu de temps, longeant la bibliothèque par derière, le reste de la route est bloqué, impossible de continuer. Faisant demi-tour, je repère bien les lieux, histoire de ne pas laisser le moindre détail m'échapper, je ne dois plus comettre d'erreur par la suite, le Général n'aimerait pas que je récidive. - Ce cul de sac pourrait bien m'être util pour bloquer un combattant en déroute ça tiens donc . . . Ressortant de mon lieu découvert, je pris mon temps pour passer voir à l'armurerie s'ils ont des nouveautés en stock. Je ne m'attend pas à grand chose, Melrath Zorac est vide depuis bien des Lunes, peu de gens viennent encore ici pensant la ville complètement déserte. J'adresse la parole au vendeur, lui demandant ce qu'il a à me proposer. Ceui-ci m'ammène dans l'arrière-boutique, me tend un gantelet de combat, solide et léger à la fois selon lui. Je ne tourne pas autour du pot, je lui achète directement, je n'aime pas vraiment discuter moi après tout. Je lui laisse mon ancien gantelet contre une maigre somme d'or. Me voilà un peu mieux armé, quoiqu'encore faiblard . . . Je sors de l'armurerie, assez content de mon achat, mes mains me semblent beaucoup plus légères, libres à bien manier ma massue. Sur le palier de la porte, je vois de l'autre côté de la route la taverne, j'y suis déjà passé deux ou trois fois n'y trouvant pas mon bonheur, je fais donc route vers le pont plus au Sud. Ce ponton aussi est souillé de boue, quelqu'un me précède, je lève le regard vers la fontaine, la première chose que je vois, ce sont tous ces cadavres de moskitos géants. Je saisit bien ma massue regardant bien de toutes parts . . . Mon regard s'arrête sur un nécromant un peu plus loin, il me parait assez faible. Il bâcle ses attaques, les monstres arrivent à lui infliger pas mal de blessures, il doit surement être préoccupé par l'arrivée d'un ennemi. Je m'approche peu à peu, histoire de voir qui celà pouvait bien être, Guix ne se bat de la sorte, il n'est pas du genre à avoir peur lui . . . Horreur ! Il porte le blason des Constellations du Crépuscule ! Il ne perd rien pour attendre, il attendait un ennemi, il va l'avoir. Je chargeais le jeune nécromant, lui envoyant un gros coup de massue dans les côtes suivit d'un encore plus puissant sur la tête. L'ennemi s'affalait au sol, assomé sous le coup de massue que je viens de lui assener. Je posais ma massue contre le rebord de la fontaine, ainsi que mon casque et mes gantelets de combat. Je fouillais les poches de l'homme inconscient à la recherche d'or, l'auberge coûte bien cher ces derniers temps. Je trouvais un peu plus de deux cents pièces d'or dans une bourse que j'attachait rapidement à la ceinture de mon pantallon. - Toi au moins, tu n'auras pas eu le temps de fuir. Ghurty a été plus rapide que toi il y a deux jours . . . Honte à moi de n'avoir pu la ratraper . . . Le Général va être content que je lui annonce la chute d'un membre des Constellations du Crépuscule, c'est toujours ça de pris. Je repris mon armement ayant pu récuperer en grande partie mon souffle. Frapper un nécromant de deux gros coups n'est pas de tout repos finalement, la solitude m'a affaiblit, il faut que je combatte au plus vite, je n'ai plus vraiment la forme physique du temps des luttes spécultrales. Les moskitos et autres rats ne sont pas vraiment bonne source d'entrainement, je vais devoir me mettre sérieusement au travail pour la suite. Je fais maintenant route vers l'Ouest, je vais rentrer à l'auberge, ce petit combat de rien du tout m'a néanmoins bien affaiblit. A peine suis-je au sein du batiment qu'un léger bruit arrive à mes oreilles, j'entend plusieurs personnes marcher d'un pas régulier et rapide au dehors. Surprenant, je ressors, ce bruit m'intrigue, je me dis que je pourrais bien avoir un combat de plus à mener, de l'expérience au corps à corps ne peut que m'être bénéfique . . . Je tombe nez à nez avec Ghurty, suivie de quelques uns de ses hommes, je n'ai pas le temps de voir qui ni même combien ils sont, la guerrière m'envoie un gros coup dans la carotide, lequel me fait horriblement souffrir. Je m'agenouille sous la douleur puis, levant le regard vers la Générale je lui adresse quelques mots. - Vous n'êtes . . . que . . . de faibles combattants . . . Je crache une petite flaque de sang aux pieds de Ghurty, fière de son geste, j'esquisse un sourire narquois . . . - Souviens toi de notre combat . . . tu n'as eu que de la chance . . . je n'ai aucunement peur de vous . . . soyez maudits ! Je met une main au sol afin de me relever avec difficulté. Mais à peine ai-je pris appui, que la guerrière au Service de Vulfume me repousse du pied contre le mur de l'auberge, me souriant d'un air supérieur encore . . . - Tu m'as eu par suprise . . . tu le sais très bien . . . va donc chasser en compagnie de ta bande de gueux . . . nous nous retrouverons bien assez tôt . . . Je profitais de mon monologue pour défigurer les combattants suivant Ghurty. Je ne vois que très mal leur visages exposés à contre-jour. Je m'évanouis finalement sans savoir qui étaient ces belligérants, adossé à ce mur . . . Je les rencontrerais bien assez tôt. [...]
  3. On peut lire dans un parchemin très ancien qu'une puissante tribu se distingua des autres avant le grand cataclysme. Ce peuple imposait le respect chez les tribus voisines, différant de par son mode de vie, ses coutumes. Le courage qui animait les membres de cette horde faisait d'eux des combattants redoutables. Lorsque la guerre entre les éléments éclata, bon nombre d'entre eux participèrent au combat. Des êtres mal-intentionnés menaçaient l'avenir du campement, annonçant le chaos total sur les terres élémentaires. Malheureusement, la majorité du clan disparut lors de la grande bataille. Les quelques survivants de ce qui fût une grande peuplade autrefois, durent fuir afin de trouver une terre d'exil. On ne pensa plus à leur acte héroïque ainsi qu'aux grandes actions qu'ils menèrent, Qu'il fût un temps, un rassemblement de belligérants s'était ligués contre les forces prônant le chaos. Bien déterminés à restaurer l'honneur de cette colonie, une poignée de combattants en descendant, S'est regroupée sous le blason des Oubliés, Aujourd'hui, reprenant leurs idéaux,nous combattront les forces chaotiques de ces terres. Edit Ifrit : J'ai transféré la suite ICI
  4. Ou alors tu dois encore t'améliorer pour que la dificulté change . . . *se rappelle des difficultés très difficiles qu'il a vu la veille*
  5. Ce matin là, Abaelion se levait plus tôt qu'à l'habitude, il avait fait un rêve plutôt bizarre, qui le tracassait au moment où le soleil commençait à se montrer au delà des montagnes. Le guerrier se sentait tout chose, quelque chose le tracassait, voilà bien longtemps qu'il errait en ces terres bordées par la mer, qu'il s'était fait de nouveaux amis, qu'il rencontrait chaque jour de nouveaux combattants au service de Posicillon. Abaelion avait un présentiment, ni bon, ni mauvais, il ne pouvait décrire cette sensation, il était stressé, très excité mais aussi anxieux. Le jeune barbare s'était assis sous son arbre favoris, au bord sur la plage, au milieu des crabes, pour méditer. Il repensait à son enfance, sa rencontre avec Xeax dès son arrivée en terres Posicilliennes, ses premiers combats en luttes, tout ça défilait dans ses pensées. Mais une image lui revînt à l'esprit, l'image du pendentif W, pendentif qui lui avait été remis très jeune par un vieillard lui demandant de l'eau. Ce pendentif lui avait donné accès à ce monde peuplé de maintes personnes liées. Abaelion allait alors chercher ce pendentif, qu'il avait mis avec précaution de côté, à l'abris de tous les regards. A peine l'eut-il en main que sa sensation d'excitation lui revînt plus puissante qu'avant dans le ventre, une boule s'était formée serrant son estomac. Une voix se fit entendre derière lui, une voix rauque et discrète. C'était en fait le Garde du maître des éléments qui appelait notre jeune combattant. - Viens par là toi, tu me semble prêt. Je vais t'envoyer au Maître des éléments. Le guerrier était encore plus excité, le stress montait, lorsqu'il entendi Maître des éléments, son coeur se mit à battre comme jamais encore. Il montait alors les escaliers avec le Garde pour arriver à hauteur de cet ître tant attendu. - Bonjour Abaelion, je vois que tu as été très matinal aujourd'hui. Je t'observe depuis tes débuts parmis nous, je vois en toi un bon guerrier. Je vois que tu es venu en aide à beaucoup de monde, que tu as su manier ta massue plus que correctement. Je pense qu'il est temps pour toi que je t'envoie en terres hostilles. - En terres hostilles vous dites ? ! Mais, je ne sais pas si je suis vraiment apte à y aller. Je suis très craintif, vous devriez le savoir, vous m'avez vu me battre déjà auparavant non ? - En effet, je t'ai vu. Mais j'ai sortout remarqué que depuis quelques temps tu as réussit à surmonter ton anxiété au combat, je sens que tu es prêt, et si je te dis que tu l'es, tu dois me faire confiance. Allez, donnes moi ton pendentif W, ne perdons pas de temps à discuter. Naïf comme il est, Abaelion tend son pendentif ne cherchant pas à savoir si cette personne était ou non le Maître des éléments. - Allez jeune homme, va voir Passironnus, il te conduira où tu dois . . . Abaelion ne se laissa pas le temps à son interlocuteur d'ajouter un mot de plus, il était déjà en train de courir en direction du Nord à la recherche de Passironnus. La rencontre se fit rapidement, le barbare était tellement pressé qu'il ne sentait pas ses jambes durant sa course. Il était tout fou de savoir qu'il pourrait harpenter de nouvelles contrées avec de nouvelles rencontres à faire. - Bonjour jeune homme. Je suis Passironnus, le Garde du passage vers les terres hostilles de Melrath Zorac. Je sais qui tu es, Vromir m'a prévenu de ton arrivée, je vais t'ammener à l'entrée du passage souterrain qui te guidera jusqu'à la ville. - D'accord, d'accord ! On y va allez ! Allez ! - Je vois que tu es bien agité et pressé d'y entrer. Saches que cette vallée n'est pas de tout repos, je te conseille de faire attention à toi jeune Abaelion. Je te souhaite bonne chance, que Posicillon veille sur toi. Et voilà notre tendre barbare en route vers cette ville mystérieuse et encore inconnue de tous, Melrath Zorac.
  6. Parchemin Crabe marron (1) Permet d'invoquer un Esprit de Crabe marron Je le vend pour la somme de 100 Pièces d'or.
  7. Bonjour à tous, Je suis Abaelion guerrier de l'eau, Je met en vente deux esprits de poulpe. L'esprit de terre ainsi que l'esprit de l'eau. Je les vend 25 pièces d'or chacun, ou bien je les échange à raison de deux esprits de moustiques contre un esprit de poulpe.
  8. Abaelion

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    Pas touche massue -.- Sinon pan-pan dans ta caboche :|
  9. Informations sur les métiers de récoltes - 2007-11-14 12:56:51 Un descriptif des métiers de récoltes accessible dans le monde commun est accessible ICI Ouverture des luttes - 2007-10-30 11:09:42 Les luttes sont de nouveau lancée. Cette animation sera récurrente tous les 15 jours et d'une durée de 4 jours. Nous vous invitons à participer et à partager vos combats et exploits dans la partie rp du forum : ICI Les deux liens sont obsolètes, il faudrait remettre à jour avec le nouveau forum
  10. Abaelion

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    J'vous déteste . . . Allez faire calin à bridou plutôt -.-
  11. Abaelion

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    CALIN MASSUEEEE ! ! ! ! ! *___*
  12. Allez, 26 esprits à 100 POs ! Baisse du prix.
  13. Abaelion

    Nouveau forum

    Standard . . . Vous cassez pas la tête quoi . . .
  14. Bonjour à vous tous, Fidèles amis au service de Posicillon, j'ai une offre à vous faire, j'ai un coffre trop rempli d'esprits qui ne me servent à rien. Je vous propose d'acquérir tous ces esprits pour très peu d'or. Voici ce que j'ai : Esprit de feuillus rouge Poids : 1 Quantité : 4 Esprit de scarabée Poids : 1 Quantité : 4 Esprit de serpent venimeux Poids : 1 Quantité : 2 Esprit de feuillus rouge Poids : 1 Quantité : 4 Esprit de scarabée Poids : 1 Quantité : 4 Esprit de serpent venimeux Poids : 1 Quantité : 1 Esprit de crabe Poids : 1 Quantité : 1 Esprit de feuillus rouge Poids : 1 Quantité : 1 Esprit de serpent venimeux Poids : 1 Quantité : 1 Esprit de scarabée Poids : 1 Quantité : 4 Soit un total de 26 esprits mis en vente à 100 POs. Allez faut que ça parte !
  15. Abaelion

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    *Râle et commence à balancer des coups de massue de tous côtés* GrUmLlLfpPhFfF
  16. Abaelion

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    *SBLAAAAAM sur Keyros* Toi tu cours pas TRèèèèS vite comme lui
  17. Abaelion

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    Grumphf ! O_O GrRrR
  18. J'ai pratiquement lu tous les posts et je viens mettre à mon tour mon grain de sel. Je pense que l'élément Eau était le plus présent, c'était évident à beaucoup de moments. D'accord nous avons pas mal de gros niveaux et beaucoup de gens pouvant aller aux luttes. Mais, pour ma part, je trouve que les influences d'éléments sont très puissantes, par exemple, je tape très mal sur des membres de la terre, alors que sur les feu je fais un vrai carnage. Je me suis fait tuer en un contre un par Zarkness qui était de niveau inférieur, et pourtant j'ai tué 3 feus qui étaient autour de mon pilier quand je suis arrivé. Sinon, à mon avis, il n'y a pas que l'organisation, il y a aussi la manière de jouer, les eaux avaient surement un style de jeu qui genait les autres, ou bien de meilleurs connections qui sait. Il faut que l'élément qui attaque s'organise bien avant son offensive, il faut s'adapter aux situations. Pour finir, je ne pense pas qu'il faille trois éléments contre un pour faire le poids, loin de là même. Les terres ou les airs bien organisés peuvent renverser la balance, j'en suis sûr et certain. Il faut juste venir en même temps, bien se placer et bien préparer son attaque.
  19. Abaelion

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    *Sort sa massue lourde* Baba veut pas de calin . . . Que ce soit clair . . . -.-
  20. C'est ce que je fais pour le moment Merci de la réponse
  21. Serait-il possible d'instaurer une sorte de liste de gens dont on ne veut plus recevoir de MP ? J'ai un, comme on dit, Kevin qui n'arrête pas de me MP avec des pures bétises dans ses MPs, c'est plutôt lourd à force.
  22. Ou alors si tu peux pas venir pendant la période de bonus bah tant pis pour toi. A ce que je sache tu n'y perds rien là Merr'Aos tu es encore dans la période du bonus.
  23. Dans ce cas tu peux te connecter en attendant d'avoir 600 PC. Non ?
  24. *se flagelle* C'est pas possible de rendre muet les gens qui disent n'importe quoi parce qu'ils sont frustrés ? Je te met au défi de trouver quelqu'un d'autre qui le prouve Hormis un pote à toi qui le dirait juste pour tes beaux yeux bien sûr A propos de toi, j'ai déjà eu plusieurs MP de plaintes
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