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Terre des Éléments

Morghana

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  1. Morghana

    Morghana

    Zauberer, peut être pas autant que toi, mais j'apprends très vite! :twisted: Merci Tristana, le tien aussi est franchement intéressant à ... regarder!
  2. Morghana

    Morghana

    Bien le bonjour tout le monde Comme à mon habitude, j'oublie toujours qu'il existe un topic de présentation et je ne m'en rends compte souvent que bien des semaines après. Bon, dans d'autres mondes de jeux rpg, vous me connaissez peut être sous les noms d'Elendra ou Busard (oui, je sais, j'ai un problème identitaire assez grave). Donc, sur Terre des éléments, je suis Morghana, nécromancienne de la terre, avec des tendances psychopathe sadique.
  3. Tu as effectivement raison Glorfindel, les deux objets ne sont pas inutiles. Chacun on leurs spécificités. Ce que je voulais dire à Amlugnen, c'est que les deux objets ne peuvent se porter en même temps.
  4. C'est impossible, c'est soit le grimoire, soit l'orbe
  5. Alors jeune fille, c'est bien simple. Tu feras la cuisine et le nettoyage de la maison. Mais en aucun cas, tu ne devras entrer dans la bibliothèque ou dans mon bureau. Est-ce bien claire ? Ces paroles avait prononcé par un vieil homme, à la peau parcheminé et vêtu d'une robe de magicien. Il s'adressait à une jeune fille qui devait être âgée d'environ 18 ans. Oui, maître ! La fille, vêtue pauvrement, une robe au tissu grossier et d'un tablier, était néanmoins jolie, avec ses yeux bleus clairs et sa chevelure rousse. Je dois m'absenter, je reviendrais pour le repas du soir. Bonne journée, maître ! Elle se courba en signe de salut et partie vers la cuisine. Dans la cuisine, elle se mit à ranger le plan de travail et les placards, car la précédente femme de ménage du magicien avait quitté les lieux précipitamment et sans donné de raison. Au bout de deux heures de nettoyage, la pièce était enfin propre. Elle se dit qu'avant le repas, elle pouvait aussi ranger le salon. Ayant fini de même, elle alla ouvrir la porte près de la grande cheminée. C'était la bibliothèque, lieu que le magicien lui avait formellement interdit d'entrer. Mais la curiosité fut plus forte, elle entra et regarda les grands étagères couvertes d'objets étranges et de livres. Un murmure parvint à ses oreilles. Viens par ici, ma belle demoiselle ! La fille, par peur allait s'en retourner loin de cette pièce. Mais non, viens ! N'ai pas peur ! Elle passa outre sa peur de cette voix, et commença à se diriger vers la source de ce murmure. Qui êtes vous ? Où êtes vous ? arriva-t-elle à articuler. Je suis sur l'étagère avec plein d'objets bizarres. Là, tu vois, tout ceux de couleurs noires. Je ne vous vois pas, où êtes vous ? La peur était telle, que la fille allait rebrousser chemin. Non, non ! Je t'assure, cela vaut le coup d'œil de me voir, mais il faut faire un effort. Là, la belle boule de couleur noire aux reflets bleus. Prends là. Mais, non, celle aux reflets bleus ! Quelle cruche, cette fille ! Allez, oui celle là ! La fille attrapa la boule noire en question. A son contact, une forme noire, de consistance vaporeuse se jeta sur elle, et s'incrusta par tous les pores de sa peau. Elle s'évanouie sous le choc. Quelques minutes plus tard, la fille se releva. Ah ! Enfin libre de cette fichue prison ! Se regardant dans un miroir qui était accroché au mur, la fille dit d'une voix différente de celle qu'elle avait le matin même. En fait, c'était semble-t-il la voix qui murmurait quelques instant plus tôt. Hum, pas mal ! J'aurais pu tombé sur une moche. Par contre ses frusques, quel horreur ! Va falloir que je trouve mieux que çà ! Le miroir renvoyait le reflet de la jeune fille avec une différence énorme, ce visage là, n'avait plus rien d'angélique, elle arborait un air machiavélique et les yeux étaient entièrement blancs. Regardant autour d'elle. Pouah, en plus ce stupide magicien ne savait même pas ce que cette orbe renfermait, il n'y a rien d'intéressant pour moi ici ! Entendant un bruit de porte qui s'ouvre. Tiens donc, serait-ce par hasard, justement lui qui rentrerait ? Je vais un peu m'amuser ! dit-elle avec un petit rictus aux lèvres. Elle referma la porte de la bibliothèque et s'assit dans un des fauteuils du salon, face à la cheminée et dos à la porte d'entrée du salon. Mais où est-elle donc, cette fille ? Le magicien venait d'entrer dans le salon et eut une impression étrange, un frisson le paralysa. Qui est là ? Montrez-vous ! Bonjour, mon cher, votre souillon ne pourra plus officier dans votre cuisine, je le crains! Elle venait de se lever et se tournait vers le magicien. D'ailleurs, je suis en train de me dire que vous n'aurez plus jamais besoin des services de qui que ce soit puisque vous allez mourir. Qui êtes-vous ? Je ne peux plus bouger ! Qui je suis ! Je peux vous le dire, en effet, au moins vous ne mourrez pas ignorant ! Je m'appelle Morghana, nécromancienne des ombres, vouée à la terre. Je suis née il y a longtemps de cela, et un jour, un des votre a réussi à m'enfermer dans cette orbe-là. Depuis lors, j'attendais qu'une femme inconsciente et dépourvue de magie, me sorte de ma prison. Elle poussa un soupir d'exaspération. Et puis, je n'ai pas le temps de discuter plus avec vous, alors adieu ! D'un mouvement de la main de la femme, le sol sous les pieds du magicien venait de s'ouvrir comme un gouffre et l'emporta loin. Son cri ne fut plus qu'un murmure. Pathétique, il ne s'est même pas défendu ! Bon maintenant régler ce problème de vêtements ! Sortant de la maison, la femme regarda autour d'elle, c'était un bourg. Elle chercha les commerces, les trouva, se changea enfin : robe noire, cape avec capuche tout aussi noire, des chaussures bien meilleure pour la marche que les gros sabots. A chaque fois qu'elle était entrer dans une boutique, elle avait tuer les occupants. La rumeur de la mort inexpliquée de personnes avait circuler dans tout le village, les forces de l'ordre c'était rassemblées dans la rue principale. Morghana, sortant du dernier magasin, se retrouva nez à nez avec eux. D'un grand éclat de rire machiavélique et d'un mouvement large du bras, la terre se mit à tremblez. Les habitants, de peur s'enfuirent, mais ne purent allez très loin, car un gouffre était apparu devant eux. Le lendemain, des fermiers des environs arrivant dans le village pour vendre leurs récoltes ne comprirent rien à ce qui se passait. Les bâtiments étaient encore présent, intacts, par contre plus aucun êtres vivants présents. Tous avaient disparus.
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