Liana

Relaxe perdu dans son petit monde intérieur minute bénie... fixe la paroi rocheuse ne détente évidente , ne pense a rien que le repas qui ne doit pas trop griller.. trouver un abri un peu moins en évidence, peut être près d,un point d'eau si possible... trouver encore herbe rouge pour soigner son Homme a l,épaule défaillante..Sourire béat naissant simplement en pensant a lui ... en pose plutôt Relaxe perdu dans son petit monde intérieur minute bénie... fixe la paroi rocheuse ne détente évidente , ne pense a rien que le repas qui ne doit pas trop griller.. trouver un abri un peu moins en évidence, peut être près d,un point d'eau si possible... trouver encore herbe rouge pour soigner son Homme a l,épaule défaillante..Sourire béat naissant simplement en pensant a lui ... en pose plutôt grotesque disons le .. accroupie les fesses a l'air, la jupe fendue révélant plus qu'elle ne devrait la pose et le geste , le sourire écarquillant les lèvres, la lumière heureuse aux yeux , regard fixe sur un rocher... Définitivement a son avantage notre dame des grandes habitudes. Sursaute déconcentrée par une ombre soudaine , sortie rapide des rêveries , porte main a roche tout près , perdant un peu équilibre , oscillant posant stress en bras pour propulser l'obus rapidement saisi. levé bien haut regrette ses reflexes perdus de putréfaction envoyé sans remords.. Et sent sa mâchoire tombée , ses jambes se dérober .. le fou rire la gagner... ... glisse .. ouf a coté.. et sent a ses yeux perles chaudes d,eau qui se dissipe sitôt trouvées les joues ... Hilare , cul a l'air reconnait son homme l'air embêté.. si dôle a voir, position qui pourrait sembler Humiliante, mais qui la fait se tordre de rire.. ils allaient s'entretuer pour si peu ... retrouvant a peine son souffle, hoquete entre deux rire Je .. hihi cherche mes ...hihi ailes la!!

Elle l'a senti partir et contrairement à ce que plusieurs auraient fait, elle s'est assoupie plus profondément, soulagée enfin , de la peur qu'une septicémie ne l'ait gagné ,et ne le rappelle au monde ou il n'a de compte à rendre qu'au plus grands. Etau dévissé.. respiration plus fluide , elle dort comme une roche un bon moment.. ne rêvant plus à rien , nul état d'alerte. Masse rocheuse. Il prend la relève , elle le sent , elle le sait..récupère , il a été absent si longuement , qu'elle n'a pas vraiment dormi depuis des jours , toujours entre deux états, aux aguets, au cas ou un de ces buissons apparaitrait ou ces serpent venimeux.. ou pire encore ennemis du genre humains.. Elle s'était avec un buisson a la branche déjà bien arquée , fabrique arc qui lui semblait trop instable , ne trouvant pas l'art et le manière de le tenir , elle avait beaucoup lu jadis.. et avait décidée de tenter de faire une arbalète , qui aux essais quotidiens de rapporter protéine au menu de son éternel vaillant gaffeur , c'était muté , c'était transformé a son grand étonnement en talent certain . Si son père la voyait , il en ferait tout un air..Sa petite princesse chassant le serpent et même assez habile pour toucher les moustiques. Éveil. Elle revient doucement a la conscience ayant pourtant dormi un bonne partie de l'avant midi à voir la hauteur de l'astre desquamant la peau sous cloques vicieuse si elle ne prenait pas soin de trouver Ombre en vitesse. Que ce pays est chaud. Réflexe, cherche son homme des yeux , un serrement au cœur . SI...si... Inspire profondément. Non si il est revenu à lui tout va bien , sans doute encore des ecchymoses à traiter.. des contusions à calmer..mais tout irait bien .. ainsi elle le voulait et vouloir c'est pouvoir, tout le monde sait ce fait! Se tourne nez a nez avec ..beurk ! n'aime mieux pas donner de nom a ces deux étranges textures par terre une plus étalée que l'autre.. sourit à comprendre comment ça c'est produit ,se disant qu'a défaut de le suivre à la trace elle le pourra peut être a l'odeur. Mais sincèrement confiante, opte plutôt pour cuire la pièce de viande qu'elle a enterrée au frais dans une peau de cuir propre , pour la garder loin et ne pas attirer les prédateurs potentiels.. Il doit avoir faim mon tigre malhabile.. Pense que de toute façon il ne doit pas être très loin, ses forces n'étant pas pleinement revenues , le manque d'exercice atrophie les muscles, c'est bien connu et une longue semaine au moins, sans trop bouger, pas plus qu'elle ne l'avait fait se mouvoir en fait, et elle avait peu fait par crainte de déchirer les tissus reprenant consistance. Se dit que déjà le fumet d'un thé un bout de viande cuite pour elle et pour lui dire ou trouver nourriture , un bout crue pour lui , comme il aimait et ça lui ferait grand bien de ne pas perdre tout se fer. Et sachant ses défauts, certaine qu'il n'avait pas du prendre sa vesse à eau avant de partir... trop pressé de découvrir son environnement , les dangers et avantages potentiels de ce lieu soupire en pensant a Son grand amour trop distrait . met donc tout en branle , puis chercher un buisson a tuer , par trois coups , zut , puis aller en prendre quelque feuilles pour lui faire son thé , et .. enfin libérer les eaux de la nuit trop longuement retenues. ahhhhh!

Froidure en rêves caverneux , solitude et réalité revécu.. Trouver bois, Porter eau , Nourrir feu, Chauffer eau Soigner plaie , inventer pansement. Découvrir plantes à cataplasme et courage de le voir dépérir. Trouver pitance revenir , dépecer, désosser , apprêter ,cuire , la lui piler, hacher , le diluer avec eau , le gaver. Son amour.. son rêve.. son seigneur ayant perdu terres... Reviens en moment de bonheur, rêvasse de jours heureux , ou le feu, sa viande cru , ses vins fins ornaient banalement la table quotidienne. Apportés par des bras dédiés a ses tâches. Les sourire de ses yeux , passant en passion par mouvement de paupières lents, levres s'etirant en appel tentant... ses grandes mains vaillantes , travaillantes sur sa taille prête a plier pour lui. Cette odeur a lui , vins et sueur melés a effluves de chair chaudes de ..cochon... cochon roussi... remue le nez .. douce chaleur gagnant son dos.. s'y colle doucement.. répit dans le gel de leur routine... si seulement ...il revenait à lui... Sans savoir pourquoi sa rêverie se fait réconfort comme si elle y était , à nouveau dans ses bras fort et puissants. Son sourire se perdant en souffles profonds dans son cou.. sa chaleur irradiant en ses muscle tétanisés par l'anxiété et le froid de l'inquiétude. Ouvre sa conscience à la douleur du jour , voyant à sa surprise buche presque neuve dans fossé à cendres... Reconnaissante a elle ne sait qui de la délicatesse posée...ou peut-être ne venait -elle que de s'assoupir. se sent pourtant encore lourde de sommeil et profondément adaptée a la rondeur de sa niche.. Qui sent étrangement le feu évité. Réalise présence de ceinture vivante à sa taille et retient son souffle, tentant de tourner en discrétion son regard sur la cape de chair qui la couvre..examinant d'abord la main large et aux ongles pleins qu'on devine anciennement soignée mais sale sous les traitements des jours arides. Les doigts fins et agiles, le bras musclé si bien découpé.. coeur qui débat. âme qui s'allège . Il s'est levé , il est venu la trouver.. il est sans doute sauvé... Sans vouloir l'éveiller retrouve son dieu sculpté en patience et répétition.sentant son coeur prendre expansion en danse affolée ne peut s'empêcher de toucher sa peau en confirmation de réel changement , trop heureuse pour retenir un larme qui se sèche elle même dans l'environnement sans humidité. Son fou..un détail sombre attire son regard à ses cheveux... cendrés habituellement , ont reflets de suie..éclate d'un rire vorace d'appétit de vie. Mais qu'est ce qu'il a fait encore le temps de se réveiller.. Frôle son front de ses muscles placoteur , en prière d'accalmie, se disant que peu importe si il reste lui-même gaffeur et volontaire. Ils sauront bien lui retrouver royaume ou régner...

Étau viscéral.. Le contemple en paleur apparente, ridules crispées, traits enlaidis par la souffrance , sueurs donnant couleurs à la terre redevenant boue sanglante par endroit, en son front. Elle réalise qu'il l'entend , mais ne la comprends pas.. Son amour...Son amour semble s'éteindre.. son coeur a elle arrete son popre tamtam.. retenant le souffle de vie qu'ils ont si passionnément partagés, pour écouter le sien , faiblir. Qu'elle idiote que de lui demander de bouger...elle pouvait prendre.. dans cet état il n'aurait pas réagit. Vraiment ou étaient ses réflexes de soin. Elle le voit peiner là ou il a toujours brandi ,dégainé. Sombrement, sobrement cueillir. S'en veut de son manque de prévoyance , pose doigts graciles au pommeau de l'immense arme , qu'elle devra prendre à deux mains pour être efficace , si c'est vraiment ce qu'il faut qu'ellel fasse . Se questionnant encore , sur comment couper ce pieu transpercant le plus précieux élément de sa vie. Son âme en possesion charnelle. Il parle...si bas.. elle entend murmure rauque , se penche, se plie , se voudrait, luciole à ses levres pour qu'il ne se force pas..Qu'elle fasse clarté a ses mots. Il l'appelle... anxiété suprême qui la transperce, elle. Plus rien sans lui. Si ..si c'etait ses derniers mots... Son vaillant guerrier l'appelle. Et combat l'ennemi inerte qui pour se moquer, lui secoue les feuilles au nez , ultime provocation. Shhh , mon conquérant....shhh, calmes toi .. je suis là , je t'écoute , je suis tout avec toi .. L'écoute lui offrir sa fidèle compagne , celle qui la remplace lors de ses combats...testament ? Pleurs s'ecrasant , vain essai pour éteindre la lave jaillissant encore lentement de son torse... Il la tue, en mots.. lui coupe espoir demeuré, jonc pliant au vent des torrents fumants. Fondre son arme.. Défaire son bras... Tuer l'homme qu'elle connait, que trop longtemps elle n'a osé approcher , par peur de devoir véritablement se révéler. Fondre sa vie, pour la porter sur elle, en continuité. Effroi. Il faiblit encore , pâle assemblage de son energie , semblant photons tristement collés, souvenir déjà. il lui semble transparent. í€ travers les flots affluents sur ce qui aurait pu être le lit de leur nouvelle vie, l'inspecte. Rideau fluide incontrolable de faisant vapeur sous l'adeur du moment.. Sent ..sent une présence déjà percu , s'essuie les yeux de facon brutale , voulant le voir jusqu'à la fin, être avec lui... Sent , palpe, hume .. le combat revenant.. son guerrier est tout la , sa rage, sa colere, sa puissance encombrées.. mais présentes. Ibliss..... Ce grand tigre hargneux et defenseur...qu'elle avait découvert , lorsqu'il se combattait lui même , tentant à son incontournable surprise de trouver chemin juste. Ibliss...son guide fier... Retrouve élan vital pour elle , pour lui.. Fera ce qu'il faut, si le tigre est là pour le mener vers la victoire au combat , son combat, survie au pays du renouveau. Peu importe si plus jamais il ne porte l'épée, si seulement ses lèvres vibrantes, elle peut baiser. Décidée. Le sachant seconder prend en silence l'immense arme qui semblait vermisseau à son flanc, bouge le corps inerte sans faire de cas des dommages encourus , un peu plus, un peu moins, apres tous les essais qu'il a fait. Avec la force de l'espoir possible , leve haut l'arme de bronze assombri, abat la lame sur l'abrisseau soudainement devenu , éclats , éclisses , sciures... Priant en silence , pour que les forces infernales les protegent.. là ou ils ont toujours veillés avant.. presque sauvagement repousse l'envahisseur fibreux faisant brochette de choix. Froide, seche..outil necessaire à sa liberation...pourtant toujours sur ses joues, luisent la preuve de son attachement , de ses craintes, de ses peurs.. Elle qui n'avait jamais pleurer , découvre , le vide creuser en soi, de trop le faire.. Retrouvant soubresaut corporel, l'adrénaline faiblissant en action , le prend contre elle parlant au grand félin. Rends lui gout a la vie, redonne lui rage de vivre...qu,il se repaisse de celles des autres meme au moment de leur morts.. Ibliss tigre que j'ia sauvé en le gardant en vie, Fait de même pour moi.. garde le ici. Je serai fidèele compagne, partenaire de combat fiable... je vous protegerais comme je le peux tout le deux .. prendrais arme vu qu'il le faut.. Fouille rapidement son sac de corps et sort le baume de plantain, enlevant sommairement bran et feuilles demeurées collées à la plaie béante.. prend le canif... et découpe à vif les chairs éclatées. Y jette un jet d'alcool puis y pose en maigre consolation la subtance si peu efficace contre cette perte immense de sang.. passe un bandeau sur le tout , en ajuste un autre à sa tête. Heureuse d'une seule chose , qu'il ne soit plus conscient. Pose en poids pesant , voulu et songé sa tête sur son torse , sa main fermement appliquée, en son dos sur le sol de pierre maintenant appuyé. Trop de chemin, fait ensemble, encore tant à faire... Reviens-moi...

Renouveau... Se battre.. combattre survivre...renouveau? Vie. Vie dure et acide, chaque minérai de bonheur puisé , ejectant des tonnes d'épreuves , de pleurs amères et de colères enfouies. Mais elle l'a, LUI. Haletante, assomée légèrement par un rocher surplombant la muraille les ayant menés ici , les genoux écorchés , si au moins elle n'avait pas porté sa robe préférée de soie rouge quand c'était arrivé. Quand c'est arrivé , elle l'attendait , dans sa chambre.... Réalité... Ouvre les yeux , tentant d'oublier la douleur s'inscrivant en pulsation mordante à chaque battement de coeur qui lui rappelle son état...vivante. Contemple un moment son homme semblant incapable de faire le focus, LUI , son paradis , flou un moment. Ses lèvres si bien découpées.. la terre ayant envahies en coulisses brûnatres son haut front , s'entremêlant à sa chevelure argentée. Ses yeux perspicaces et au moment douloureux...les sourcils froncés.... Réflexe. Elle s'éloigne et contemple son corps couvert de poussières et de boue , sauf ou elle était si égoistement blottie , ELLE. LUI, au milieu de vestiges de nature en colère.. Pourpre, pourpre gluant... Fige.. fige un moment. Mais .. je sais quoi faire.. je sais quoi faire. Que dois-je faire? Il a branche transpercant son épaule.. je ..je savais quoi faire.. Panique. Elle pose ses mains sur son bras le regarde , observe la plaie, volcan de sang, crachotant coulées sanguines. Mais que dois-je faire..? Reflexe fou la lui enlevé .. nah ... Grudu .. tu ... merde!! Eclat de rire nerveux , yeux pleurants soudainement la joie de la survie , la tristesse de sa blessure, le bonheur d'être pres de lui.. qui ne change pas. Avant de continuer, l'embrasse , ardemment pour être sûre, certaine, qu'elle ne rêve pas Chaos, qu'ils ont survécus,qu'il est aussi maladroit que toujours , et goute toujours les frissons de paradis. Son baiser.... cette energie.. son grand esprit d'entreprise.. partagé , se sent revenir à la terre, quittant la messe des âmes, à regret.. Scuse-moi mon seigneur fou , voila, et bien je connaissais porter sa croix , apporter son bois mais pas comme ca.. Maintenant il faut te soigner... Se demande tout à coup si... si... cela avait atteint un organe vital. Glisse sa main à son poignet , réflexe inné. Y percoit la vitalité qui y combat tout sentiments , tout états dégradants. Tente de voir derrière lui, comment entre la piece de bois..craignant ..craignant...craigant le pire, une artère principale, un bout de son coeur , un os essentiel à la lutte . Non, son indépendant..ne tolererait pas de devoir dépendre d'elle.. sauf si.. sauf si..pour le dorloter..mais ici , nulle demeure, nulle chambre aux relents d'amour. Que du roc chaud, de la lave se laissant refroidir au soleil. Elle décourage un peu à voir l'état dans lequel il est. Heureusement il lui reste le flasque qu'il lui a offert à sa bourse de corps, un peu d'herbe curative, son petit canif et l'essentielle gourde d'eau. Grudu...mon adoré...tu peux me passer ton épée... En signe de renouveau.. je vais...je vais.. te faire..Mal

Arrivée précipitée, course déchainée. Le sol qui fuit sous les pas.. la poussière qui couvre l'au-dela . Cris , puissante coulée de lave, jets de pierre en strident sifflements percus venant attaquer la fuite en écueils ajoutés. Magma grésillant plantes et vie tout pres derrière... fuite. Perdue , suivant la solidité des sols.. cours de l'avant, cours, oublie le passé, va devant va .. là bas, il faut survivre , là bas, il faut aller , cherche la main qui la guidait trois fractions de temps plus tôt, son assurance, sa source de paix , son seul espoir pouvant stimulé ce désir de survie...lui . Perdu. Sens en aguets dejà en fébrile état , ne le voit plus , ne le sent plus panique , émoi.. Gruduuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu! Oreilles engorgées de par le vacarme épouvantable, épouvantée, gorge aspirant sable, poussière , petite éclats et s'étouffe sur ce mot que crie aussi son âme. Palpe en ralentissant malgré la fission des éléments qui l'entoure. Ne voit que la pluie de ses peurs qui lave la cendre de leurs pays.. Pas plus loin que la suie sur son nez. Ferme ses yeux , laisse guider son coeur, à la rechercher de son âme soeur. Lève la main, fait un pas à gauche , dans l'obscurité presque plus sécurisante que la vue présentement autour. Soulève les doigts , le trouve , c'est lui.., cette électricité palpable , cette energie qui la gagne, son aimant appelant.. son opposé complément . Cibler, voila qui lui serait plus facile peut etre ici ...cibler.. Se jete à son corps , prenant sa taille de son bras, reprenant la course folle vers leur futur incertain, ayant de toute facon retrouvée sa patrie unique.. courant à en tuer haleine...qu'il lui redonnera de toute facon, si ils en ont la chance, en un simple frisson.