Jean Posté(e) 14 avril 2009 Signaler Share Posté(e) 14 avril 2009 (modifié) Bon après quelques explications il s'est excusé, pauvre petit, il manque d'expérience, c'est pas comme Dame Roberte. Et alors que je parlais avec lui de ma passion pour le tricot, j'aperçus Mr Much et Jean qui traficotaient dans un coin près des lits. Curieuse et espérant voir des hommes nus, je m'approchai discrètement... (Je courrai, bavant partout et faisant trembler la terre à chaque pas)"CALIIIINNNNN !"Couic.L'onde de choc que m'avait envoyée Jean me projeta contre le mur, je retombai inconsciente...Se reposant dans l'auberge, Jean fut réveillé par le bruit de coups frappés à la porte de sa chambre. Après s'être habillé, il alla ouvrir. La personne se trouvant à l'entrée lui répondit :« Pardonnez-moi de vous déranger, Mr Much vous demande dans le hall d'entrée »Les souvenirs de ce qu'il s'était passé plus tôt dans la journée refirent surface. Les habitants du marais avaient annoncé que des archers sans scrupule volaient les personnes innocentes et s'étaient réfugiés quelque part autour de la ville. Alzeus, Larosius et Jean réussirent à aller dans les environs. Un premier rôdeur tomba, Alzeus s'appropria l'arbalète surpuissante que le rôdeur avait laissée avant de mourir. Après avoir recherché à divers endroits, les trois compagnons rencontrèrent un deuxième archer : le combat fit rage. Les potions se firent rares et il fallait trouver une solution. Thald , général de La Mélancolie de l'Akasha, passait par là. Il rejoignit les trois compères, et les aida en soignant leurs blessures. Grâce à cela, ils purent vaincre le rôdeur et Jean prit la seconde arbalète. Il remercia Thal et lui promit une récompense en or pour l'aide apportée. Il dit ensuite :« Je connais un manieur d'arbalète qui risque d'être très content. Il faut que Mr Much vienne à ma rencontre le plus rapidement possible, à l'auberge du Marais. J'aurai un cadeau pour lui »Il sortit de sa chambre et alla saluer son ami. Une autre personne était dans l'auberge. L'aura de celle-ci n'était pas familière au guerrier. D'après les caractéristiques spécifiques à son âme, elle devait être une guerrière terreuse qui ne semblait pas agressive. La méfiance était tout de même de rigueur ; les deux Union attendirent quelques minutes en espérant que l'inconnue quitterait les lieux, mais hélas ce ne fut pas le cas. Etant donné qu'elle semblait rester proche de l'aubergiste, elle ne devrait pas déranger lors de la transaction qui se déroulerait de l'autre côté de l'auberge.Les deux compagnons s'avancèrent vers leur dépôt, l'inconnue était toujours là mais elle ne semblait pas avoir bougé de sa position. Jean prit dans son dépôt l'arbalète qu'il avait gagné quelques heures auparavant et la déposa afin que Mr Much puisse s'en emparer.Soudain, Jean ressentit la présence de la guerrière derrière son dos, elle était déjà à moins d'un mètre de lui. De nombreuses interrogations vinrent à l'esprit du guerrier :- Comment avait-elle fait pour arriver jusque là sans qu'il ne l'ait remarqué ? Elle avait dû sans aucun doute s'approcher de lui très rapidement. - Que faisait-elle à côté de lui ? Elle n'avait aucune raison de ce trouver là étant donné que la seule chose qui se trouvait en proximité était le dépôt, les deux membres de l'Union et l'arme qui était déposée à terre.- Quelle intention avait-elle ? Une attaque surprise ne semblait pas être la réponse, la différence de puissance étant bien trop grande. Il ne restait plus que la possibilité du vol d'arme.Il n'eut que quelques instants pour prendre une décision : il fallait à tout pris l'empêcher de se saisir de l'arme qui était déposée à terre. Jean pris sa masse instinctivement et envoya une onde de choc qu'il espérait, repousserai la guerrière la faisant comprendre qu'elle n'avait pas à être aussi proche. Malheureusement l'onde fut si violente que la guerrière fut gravement blessée.Jean dit à haute voix:« Dans la situation où je me trouvais, je me devais de défendre le précieux trésor de l'Union. Je ne sais pas ce que tu as tenté de faire, mais tu t'es trouvée au mauvais endroit au mauvais moment. De plus, tu n'avais aucune raison compréhensible de courir vers nous alors que nous étions devant le dépôt. Il est vrai que j'aurais pu agir de manière moins brutale, mais dans le feu de l'action j'ai fait ce que j'ai cru juste. Sache que je ne regrette en aucun cas mon acte. La prochaine fois, évite de nous courir dessus sans raison apparente »La guerrière le regarda avec un regard noir, puis relâcha son dernier soupir avant de rejoindre le recycleur d'âme. Modifié (le) 14 avril 2009 par Jean Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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