L'histoire de Magestrius

[Magestrius]

Chapitre1 : Avant le commencement.

L'ombre, le froid, l'humidité... esprit perdu au milieu du néant, Magestrius l'attendait dans cet endroit déprimant. Son seul espoir était la trouvé. Mais comment ? Tout est noir, on ne peut rien y voir, rien entendre. On ne peut rien dire. Seul dans ce monde, entouré d'étranger dont on ne pouvais pas distingué la forme, ni communiquer. L'envie de disparaître envahissant la pensée, on a du mal à voir l'avenir.

Un jour, je ne saurais dire quand, l'espoir apparut. Une lueur blanche s'alluma au loin. Presque invisible mais tellement voyant parmi les ombres. Sans savoir a quoi j'avais a faire, j'avançais vers ce signe inconnus. Si chaleureuse, si réconfortante. Elle semblait parfaite. Plus je m'en approchais et plus elle semblait forte et belle. Elle était encore si loin mais une voix raisonna en moi.

- Bonjour esprit abandonné. Je me nomme Eliose et je serais ta guide à travers ces ombres. Mais pour cela il faudra que tu m'écoutes et que tu acceptes de ne servir mes seuls désirs. Désires tu quitter ce monde et rejoindre un autre lieu, atteindre la gloire et défier la mort ?

Je ne répondis pas. Cette sensation de bien être, cette voix qui flottait dans mon âme tel une douce mélodie portée par le vent. Je l'avais trouvé, enfin ! Malgré mon silence, la lumière se rapprocha prés de moi. Je ne pouvais pas lui donner une forme. Elle était juste d'un blanc pur qui perçait les abîmes.

- Je vois que tu le désires. Tu ne souhaites plus rester ici. Bien, n'oublie jamais que ce que je désire tu le feras.

Après ces mot, tout devin blanc et je me senti libre. Les ombres avaient disparu mais malgré sa, il faisait toujours noir.

- Et bien qu'attends tu pour ouvrir les yeux ?

J'ouvris les yeux et tout autour de moi était blanc. Elle était là juste devant moi. De longs cheveux blonds, de beaux yeux bleus tirant au vert. Elle portait un long drap blanc transparent qui laissait entrevoir un superbe corps.

Si je peux la voir, alors peut être que je peux me voir. Pensais je. Je baisai doucement mon regarde tout en levant un bras. Celui-ci entra dans mon champs de vision, j'aperçu une main légèrement rosée. Elle était toute petite. Je fus surprit.

- Et bien tu semble surprit.

- Que suis-je ?

- Ben tu es un humain.

- Un humain ? Mais les humains ne sont pas si petits ! ils sont puissant, robuste et même certain ont de puissant pouvoir ! je ne suis rien de sa !

- Cesse de dire des bêtises ! tu ne sais rien des humains ! cette forme est celle que tu auras lors de ta première apparition dans leur monde ! quand tu y seras tu grandiras et tu deviendras puissant ! Moi je serais la avec toi, a l'intérieur de toi et quand le moment sera venus je t'aiderais dans ta quête de puissance.

- Si je suis humain qu'es tu ?

- Tu le sauras en temps voulu. Maintenant il est l'heure !

Elle disparut et une grande porte apparut face à moi. La porte était entre ouverte. Je l'ouvris et avança tranquillement. Après tout devin confus.

Quelques cris, des gens qui parlent,... Enfin je vis quelque chose, un visage. Enfin ! Elle étais belle mais semblait fatiguée, en sueur. Elle me prit dans ces bras et me sera contre elle. Plus tard, quand j'eu appris a communiqué, je la nomma maman...

[hrp] Les paroles de Magestrius sont en bleu et celle d'Eliose en orange[/hrp]

[Magestrius]

Chapitre 2 : l'enfance.

Les débuts étaient bien durs pour cet esprit ayant toujours aspiré à la puissance. Se traînant a gauche et a droite sur ses quatre pattes, il en apprenait tous les jours. Des choses tantôt joyeuses. Comme le rire, les longues course après les petites balles sur le sol et d'autres un peu moins facile a vivre. Comme le feu sa brûle, les cactus sa pique !

Après quelques temps il apprit a se mouvoir sur deux jambes, puis il se mit a maîtrisé la parole. Tout commençait à prendre forme. Il sentait qu'il devenait puissant. Mais dés l'age de 12 ans, il remarqua que son corps ne se formait pas pour la puissance et la force. Malgré qu'il fasse tout pour obtenir un corps musclé, rien n'y faisait. Il n'était pas gringalet, mais il ne pouvait pas tenir un bouclier avec un bras. Il savait qu'il ferait honte à son père si il ne devenait pas forgerons ! Il continua à tenter de se forger un corps mais il n'y parvint pas...

Un jour, lors du rangement de printemps, il découvrit quelques manuscrits cachés dans le placard. Ils semblait remonté a la nuit des temps. Indéchiffrables et tout poussiéreux, il les cachât sous son oreiller et les consultait la nuit. Il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait mais il s'amusait à lire tous les hiéroglyphes qui étaient inscrit. Souvent, quand il lisait, une tempête se levait dehors mais bizarrement celle-ci n'endommageait jamais la maison familiale.

Puis vint le jours où il comprit que cela venais e lui. Dans l'euphorie de cette découverte, il ne lui fallut pas deux minute pour dévaler les escalier et aller conter ses exploit a son père. Celui-ci n'aimait guère tout ce qui tournait autour de la magie. « Les élément on faillit causé notre perte a tous ! » disait il. Il renia Magestrius et lui interdit de remettre un seul pied dans sa demeure.

Le jeune Magestrius, alors âgé de 17 ans, dût prendre ses affaires et partir vers l'inconnu. Espérant qu'un jour, son père lui pardonnerais et l'accepterais tel qu'il est.