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Terre des Éléments

Yuwena

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Tout ce qui a été posté par Yuwena

  1. Pour ma part, j'ai eu exactement les trois titres que je voulais alors euh ben merchi à toucheux qui ont voté pour moimoimoi !!!(^O^)-V Bravo à Suyvel et Hépha pour leurs RP, j'ai longtemps hésité lequel d'entre eux choisir. Dans toutes les autres catégories où j'étais éligible, je me montre bonne perdante et félicite les vainqueurs : \(*^o^*)θ~♪ Et cela vaut aussi pour les catégories où je n'étais pas candidate. Maintenant faisons la fête jusqu'à l'année prochaine. ♪~♪ ヽ໒(⌒o⌒)७ノ ♪~♪ P.S. : Suyvel j'ai voté pour toi, parce que tu défiais quiconque de voter à nouveau pour toi dans cette catégorie sur le post d'une année précédente
  2. J'ai trouvé justement le sac de diamants ce matin, la correction est possible en un(e) avec des parenthèses. Sinon, oui tout à fait pour le COI
  3. Ah d'accord je pensais qu'il fallait faire l'accord avec "laquelle" qui précède le verbe, mais je n'étais pas sûre à l'oreille (puisqu'on pourrait faire la liaison avec le t).
  4. Au cours de la quête de Van Pelt :
  5. (tout à fait Bonokor, j'avais l'eau violette en tête) Map du phénix : Vous plongez votre main dans les débris et vous mettez les doigts sur... unE Coupe de célébration incrustée. Il manque un e (coupe est féminin) et le point final.
  6. À Irliscia'ai enfin trouver que faire de la libellule (et je trouve ce jeu cruel envers les animaux, oui j'ai mis du temps à m'en rendre compte) : Vous décidez de vous concentreR et d'entrer en communion avec la nature. Vous attendez alors le bon moment pour sentir la libellule approcher. A son passage au—dessus de vous, vous l'attrapeZ. Vous lui prenez une de ses ailes, puis la relâcheZ dans la nature.
  7. J'ai trouvé le coin le plus chaud du refuge :
  8. J'ai soulevé et retourné "peu" dans tous les sens, mais rien trouvé dessous. Je ne veux pas te stresser -- d'autant plus que mes pavés et tartines sont bien longs à lire -- juste demander si tu y penses encore
  9. Dans la forêt d'Irliscia : En voyant cette libellule verte, vous sautez, vous ouvrez les bras et tentez de l'attraper. ... ....sans succès... Il [ne serait-ce pas plutôt elle ? accord avec libellule] vole si vite et dans des directions imprévisibles qui fait que pour cette fois, vous n'avez pas réussi.
  10. Offre un twix à Guix en guixse de cadeau d'anniversaire ! Longue vie à notre gaulois préféré !
  11. Sous firefox, j'ai souvent une page blanche avec un message d'erreur (connexion refused)
  12. Crash de firefox : EDIT : c'est noté. J'ai supprimé l'image.
  13. J'ai oublié de copier le texte, la phrase de Géfin après avoir acheté un plat : ... la personne que vous avez désignée (accord du verbe avec personne)
  14. Caresser un chat une heure durant, cela rend heureuse, pourquoi ce poème est-il né de cette action ? Je dois être vraiment déprimée parce que Biggie est plus une peluche lavée à l'assouplisseur qu'un animal à fourrure. des r Remparts – ferme rustique – ruines Dragons – rocchus – brigands Barbare – dangereux – dur Erg – reg – règne infertile Rocailleux – rugueux – creux Revêche – rétif – rude Sévère – solitaire – tortionnaire Encerclé d'une cordillère– encastré dans la sierra – bordé de cratères Brûlé et brûlant – ravagé et ravageur -- isolé et esseulé Est l'inapprivoisable désert de sable.
  15. Yuwena

    Tranduil

    Fibine à ta question d'activer ou non les commentaires : ne pas les activer était l'annihilation de la pensée démocratique. Tu ne peux pas lancer un vote sans que l'on puisse en débattre... À bien y penser, tu aurais mieux fait de ne pas les mettre : les réponses ne te plaisent pas et tu parles déjà de les supprimer. J'en conclus que tu n'est pas intéressée par une discussion, un vote équitable et plus généralement la solution du problème que tu sembles avoir avec le jeu (et que je ne connais pas puisqu'il n'est pas expliqué dans l'entête et que j'ai pas la moindre idée du sens du titre). Si tu as quelque litige avec des joueurs parlent leur ou évitent les. Si ton malaise vient d'un sentiment de discrimination : contacte les admins ou les modérateurs. Je ne vois aucun cas de figure qui justifie un vote de personnes non impliquées sur ton envie ou droit de rester.
  16. D'humeur maussade IRL, ni la tête, ne le temps pour du RP. Voici tout de même un passage de mon livre réécrit vite fait (en gros changer les noms propres). C'est un motif très ancien qui m'a déjà de servit de poème (en anglais sinon je l'aurais publié ici) et pour d'autres persos RP. Un doux jour de printemps, Yùwéna arriva au pays des Mille Merveilles : la fabuleuse Irliscia, où la splendeur prédomine l'ordinaire, avec plus de spectaculaires que cents contes de fée et où chaque jardin, chaque demeure est un labyrinthe sans fin. Un pays où toutes les moindres choses vous surprennent. Où tout ce qui est et n'est pas d'or brille. Où l'on s'abandonne à la suave senteur des épices, au son fascinant des cithares, à l'eau froide des fontaines dorées, à la fraîcheur des confiseries safranées, aux vives étoffes des Elfes de la forêt. La longue, chaude et sèche absence de la pluie avait commencée, commandée par le soleil dans son manteau céleste de saphir. Sa lumière sur la plage dénudée à Yùwéna, elle cherchait un autre feu, celui qui donne la soif de découverte. Elle pouvait s’enfoncer dans la forêt foncée, vivre chez les Sylvestres hospitaliers. Indécise entre la présente paresseuse richesse et des aventures futures et dures, Yùwéna réfléchit en regardant la mer du haut des falaises, empreinte de malaise.Ce jour-là, l'océan gris avait mis sa robe émeraude. Les vagues chaudes, les navires, le vent tous criaient en même temps : « Reste dans notre pays prospère de rouges coraux, de roses rochers de granit, de perles admirées, de tout ce que l'âme peut désirer ! » Sans regret, Yùwéna a quitté cette somptuosité, ce charme, cette beauté. Parmi ces trésors sans mesures : pas un plaisir ! Le luxe apporte l'ennui. Cette même nuit, de ses ailes de faucons elle s'en fut partie.
  17. Un poème qui m'est venu ce matin alors que jeme retournais dans mon lit, il reflète bien mon état d'âme je crois. La Désertion À IssCanak dans le Marais, Dix canaques soldats j'armais. D'Afrique ils venaient ric-rac Mettre quelques orcs à sac ! Mais dans le froid et la mouillure Sacrebleu ! Trois d'entre eux moururent. Au milieu de la tourbe puante, Un canaque des contrées brûlantes Loin des dunes, sur les rives brunes S'étouffe au méthane et dans la brume Glisse sur une touffe de fougère Six qui restèrent : tous désertèrent ! Je ne faisais pas le fier seul, Troquant les orcs pour le peuple peul, Le marécage pour le Sahara, En rêve qui mon dernier ser...
  18. Pays aéride – entre les rides de pics grisonnants aux échos résonnants, voix chevrotantes et vieilles qui reflètent profondeur et sagesse d'âge – tu te caches toi la vierge verte jamais vaincue, jamais même meurtrie par une semelle ennemie. Belle pucelle tu étends tes prés verts, vers le Nord et vers le ciel. Ô Aéris tu portes tous les jours ta cape féconde de petits pâturages sinoples. Til'Lunis notre Constantinople et Til'Ra jadis Héliopolis dont ne subsiste que le bassin d'eau lisse, claire oasis au charme de cristal. Anciennes capitales, vestiges nouveaux. Vos vestales évanouies, vos foyers éteints. Ocre et poussières. Vents et lumière que rien, ni toit, ni mur ne retient, désert que néant n'arrête lors que la tempête du temps commet ses ravages. Combien avez-vous d'âge ? Melrath Zorac la sauvage ! Au karma opaque, à la vertu violée, épargnée de justesse par leurs altesses draconesques, infestée par les rats et que l'homme de foi toujours ignorera. Seul ton lac, grande flaque bleue est un peu de beauté et beaucoup de tranquillité. Des foulets de quatre couleurs côtoient des animaux fiers et sans peur. Hélas, le volcan aux flancs incandescents descend jusqu'à ta rive rouge du reflet menaçant. Le marais, moins brun que violet, n'est pas si laid que je l'imaginais. Néanmoins, bassesse et puanteur pour qui chéri altesse et parfum de fleur n'est qu'étouffement. J'y suis passée, j'en sais suffisamment. Terra terrifiante, Terra qu'on ne verra pas originaire d'Aéris, ce qu'on me rapporta suffit à ce que je rêvât d'une terre irréelle au sol de calcaire colombe, plus roc que terreau, aux arbres nus d'hiver, au pavé sans vert qui enferme la terre, à l'humus infertile que Lupus, terreur incivile d'un autre temps vient fouler régulièrement. Grotte du Léviathan, moment hors du temps. Surprise sucrée, mes sens se régalent de trouver cette salle sans égal. Un œil raz d'orgueil, des écailles de vermeil éclatant. Des lanternes pour éclairer la caverne, des cristaux véritables joyaux hauts comme homme, dans leurs lueurs la berge chatoie comme la frise d'un roi mécène. Es-tu dragon ou dracène ? Est-le le lieu où tu ponds ? J'ose... j'ose franchir le pont. Les murs sont ronds, loin-loin est le plafond, l'air est pur, il pousse des plantes. Je me sens soudain si lente. L'air libre aucunement ne me manque. Quitter ce lieux, vraiment ? Ce bleu ultramarin, ces champignons flavescents, ces rebords fluorescents ? Le Léviathan redescend. Quel chagrin ! Libre à vous d'ajouter vos billets, ou de ne pas le faire.
  19. C'est pareil pour le venin de vipère fermenté... Bah de toute façon je ne pense pas pouvoir venir, je suis trop loin, à moins que tu y sois encore demain soir.
  20. Y a-t-il une boisson drow que tu nous conseilles pour l'occasion ?
  21. Concernant les distinctions : j'ai constaté qu'il n'y a aucune distinction en rapport avec l'or (a gagné X PO, a dépensé X PO, a eu X PO en banque). Y a-t-il une raison ?
  22. HRP : Puisque je n'ai que peu de temps pour la suite des chroniques, voici un texte plus anciens que j'ai vite adapté au BG de TDE. Les Elfes y ressemblent plus aux gens du Moyen-Âge qu'au peuple aux oreilles pointus, il s'agit en effet d'un exercice de hagiographie (biographie d'un saint, ici fictif). Ceci dit, cela ne va pas tout à fait à l'encontre du fondateur du genre, Tolkien puisait son inspiration dans les légendes médiévales. Des origines elfiques de Yùwéna Lorsque Falen du pays aéride épousa la damoiselle Andelle, ce fut d’après les rites de son peuple : les Walanfilaya, les Elfes de la steppe. Falen prenait la main d’une fille de noble descendance, d’une lignée ancienne et révérée qui pourtant n’avait gardé d’antan que l’éclat d’un grand nom, mais ni l’argent, ni le pouvoir ancestrales. Nonobstant cet appauvrissement, la fierté de cette maison commandait la conversion de Falen à la religion des Walanfilaya et son ascension, nominale pour le moins, au titre de Môild c’est-à-dire de chevalier. Falen aux yeux jaunes, pris donc le nom elfique de Yùv. Il n’était plus dès lors un Aéride des hautes montagne, mais le chevalier de quelque rocher proche du siège familiale des parents de sa bien-aimée Andelle. Tout ce théâtre lui semblait ridicule, le faste, le pompe, le luxe n’existaient plus que les discours ampoulés d’Elfes qui confondaient amour-propre et arrogance. Sa fiancée lui rappelait à chaque occasion de supporter cette farce, pour que bientôt elle puisse le suivre dans son pays et y vivre en quiétude. En effet, Yùv et Andelle vécurent des jours simples dans la ville de Suspensia et oublièrent bien vite la vie poussiéreuse qui étouffait Andelle. La steppe et ses habitants oublièrent bien vite l’expatriée, le venin des reproches de trahison à son sang n’y était pas pour rien. Finalement, Yùv à sa mort fut enterré selon les coutumes de son peuple natal, d’après lesquels sa famille avait vécut sans se préoccuper de gentilhommerie à la mode de Elfes. Voici pourtant pour les cœurs curieux le conte du comté d’Eauclaire. L’histoire de la famille Aviyù, d’Eauclaire dans notre langue, remonte aux premiers siècles de notre Grâce, quand Ste Èshnadira fuit son pays natal pour le pays de Walanfil. Pendant longtemps elle traversa une plaine déserte et balayée par le vent, l'été venu elle ne trouva plus d'eau. Elle grimpa alors sur la seule colline pour scruter les environs. Assoiffée, elle fit une pause sur un rocher, sans avoir aperçu aucune source que les soleils n'aie tarit. Elle pria donc le Seigneur de raisonner les Tyrans des Cieux. Sa prière fut entendue et un rayon de l'astre diurne jaune vint se planter devant elle. Sans hésiter Èshnadira le brisa à la taille d'un grand bâton et s'en servit pour déplacer le rocher. Un jet d'eau jaillit ! À sa suite, un ruisseau brun et malodorant se fraya un chemin vers la plaine. Èshnadira enfonça le rayon de soleil dans le ru, sa lumière clarifia et lava l'eau jusqu'à ce qu'elle soit plus limpide que du cristal. N'oubliant pas de louer le Seigneur, Èshnadira bu à grande gorgée. C'était le meilleur liquide qu'aient jamais touchée ses lèvres. Il était si froid, car venant des profondeurs de la terre, que malgré la chaleur estivale Èshnadira frissonnait un peu. Elle décida de s'allonger pour se reposer des derniers jours de marche sans répit. Le bâton posé à côté d'elle fit un arc de lumière par-dessus son corps, pour former une couverture scintillante et tiède. Le soir venu, le berger de l'autre côté de la colline vit du sommet une chose luisante. En s'en approchant, il la prit pour une étoffe d'or pur. Il entreprit de la voler, tirant son couteau prêt à égorger sa détentrice, si elle se réveillait. Le rayon de soleil cependant protégeait la juste et ne voulait se donner à l'infâme. Il brûla la main du voleur et brilla si fort pendant un instant qu'il perdit la vue. Ses cris de douleur et l'éclair intense réveillèrent Èshnadira. Elle vit le berger plonger son moignon dans l'eau du ruisseau pour le rafraîchir. De l'autre main, il se frottait les yeux, croyant probablement à une cécité passagère. Èshnadira se leva et s'appuyant toute droite sur le rayon de soleil récita les mots du Dieu Créateur sur le vol, aussi bien que ceux sur le pardon et le repentir. Le berger était un adorateur des quatre divinités, il s'enfuit au village de tentes de ce qu'il croyait être un mauvais esprit. À l'aube, des Elfes de sa tribu vinrent vérifier les dires du berger. Lorsqu'ils découvrirent le ruisseau à l'eau pure, ils surent que ce ne pouvait être l'œuvre d'un esprit malveillant. Èshnadira les salua et à leur demande fit récit des évènements de la veille. Ils reconnurent alors la force et la justice de Dieu. Èshnadira leur raconta comment notre Créateur fut trahi et comment ceux qui ne le reconnaissent pas prolongent sa peine. Avec l'eau du ruisseau elle les baptisa tous au nom de Sa Sainte Vision. Le premier fut Zèldassar un jeune et riche guerrier. Le berger entretemps avait entretenu le chef de la tribu qui avait rassemblé des hommes armés et deux druides pour combattre le mauvais esprit. Les Elfes baptisés prirent la défense d'Èshnadira, mais ne purent les raisonner. Le rayon de soleil s'était refroidi continuellement jusqu’à devenir un simple bâton de cornouiller.* Sans arme, les nouveaux croyants ne purent résister longtemps à la colère des païens. Ils furent fait prisonniers. Èshnadira fut condamnée à mort pour punir les blessures du berger et la disparition des moutons égarés pendant la nuit. Elle passa la nuit en prière entourée par ceux qu'elle avait convertis. Èshnadira n'appréhendait pas la mort, certaine que son âme monterait au paradis. Elle partagea ses maigres possessions, faisant don notamment de son Histoire de l’Origine et d'un petit reliquaire. Le lendemain au milieu du jour, Èshnadira fut posée sur un grill. Les quatre soleils du haut de leur trône s’apprêtaient à occire la martyre. Le Seigneur envoya aussitôt une pluie torrentielle qui devait encore durer plusieurs jours. Les rayons des soleils furent alors remplacés par de longues aiguilles ardentes qui libèrent l'âme d'Èshnadira. Les Elfes baptisés furent obligés à assister au spectacle sanglant. Leur foi n'en fut qu'affermie. Ils se jurèrent de remplacer cette barbarie païenne par la justice et la miséricorde divine. Quand la sainte femme ne put plus être sauvée, les gardes relâchèrent leur emprise. Zèldassar parvint à se libérer et se précipita sur la grande colonne de bois sur la place entre les tentes. Il renversa ce qui était sensé servir de pilier au ciel. Personne ne l'en empêcha car tous était trop ébahis pour agir. Ils attendaient que le voûte céleste leur tombe sur la tête ou que la foudre punisse le mécréant. Mais rien ! Zèldassar prêcha alors de renier les dieux élémentaires impuissants et inutiles. L'Unique leur avait offert la pluie tant espérée, aucune de leur idole n'avait accédé à leurs prières. Les païens durent le reconnaître. Quelques-uns seulement persistèrent dans leur tort. Au bout de trois jours, toutes les idoles de bois furent rassemblées et jetées dans le ruisseau limpide, gonflé par l'eau de pluie. Ceux qui ne voulurent toujours pas se faire baptiser furent chassés. Zèldassar fut choisi comme nouveau chef. Il fit construire une chapelle de bois sur la colline qui pris le nom d'Eauclaire. Èshnadira y fut enterrée sous l'autel. Par la suite cette chapelle fut remplacée par une église de pierre. Les Elfes se sédentarisèrent et les bergers et chasseurs devinrent des cultivateur. Pour ce protéger des païens belliqueux jusqu'à l’heure de leur conversion, un fort fut bâti au sommet de cette même colline. Zèldassar y résidait. Il prit Ste Èshnadira comme patronne et protectrice. En son honneur, il choisit un blason d'argent – dont la blancheur rappelait la pureté et l'innocence d'Èshnadira – paré d'une fasce de gueules qui évoquait le sang de la martyre et paré au cœur d'un soleil. Sainte Èshnadira est invoquée pour que la pluie arrive au bon moment. Elle fait en sorte que la pluie ne gâche pas les récoltes avant qu'elle ne soit rentrée mais ne tarde pas trop pour éviter la sécheresse. * Note sur le bois de cornouiller : Simple comparé à un prodigieux rayon de soleil, cela reste tout de même le bois le plus dur à pousser en Europe, il ne flotte pas tant il est lourd. Sur les noms : Èshnadira : celle que la lumière protège Zèldassar : épée de loup Falen : probablement faucon en langage Aéride Yùv : faucon Walanfil : de vert, pays et vent = la steppe Môild : grand cœur, le moindre des titre nobiliaires Défense contre les accusations de blasphème : le dieu Unique de TdE n'est pas un dieu de lumière, il faut prendre cela au sens figuré de vérité, clarté d'esprit, trouver la voix et vision, tout comme le païen rendu aveugle. L'Histoire de l'Origine est dite de tradition orale... sur la terre des éléments, la steppe qui est le lieu de cette action n'en fait pas partie (elle n'apparaît pas sur la carte du monde) et j'ai décidé que là-bas on avait une Bible
  23. Moi, je choisirai un phénix (☆‿ ☆)
  24. Énoncé dans l'onglet quête : La paix de l'âme Objectif : Tuer suffisamment de momie pour aider Mystika à rendre ce lieu calme. Il manque un "m" Keril : Corrigé
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