Anamaya

Par dix fois elle avait fait le tour des ruines et du campement nomade, à l'affut d'un quelconque scélérat dont on lui avait appris l'existence mais pour lequel, pas même l'ombre ne s'était porté à sa vue. Elle avait même toqué la roche à plusieurs endroits, là où il y a un peu moins de dix ans, des bandits étaient cachés avec leur butin. Cette fois encore, elle pensait que ce tour de garde avait été en pure perte. Puis un éclair roux attira son regard vers les hauteurs alors qu'elle contournait les momies. Ce style vestimentaire, cette posture... Pas de doute, un brigand. La prêtresse n'avait pas particulièrement cherché à être silencieuse, pourtant la personne ne semblait pas l'avoir entendue. Cela l'étonna. Elle l'observa longuement, cherchant à discerner son visage et derrière, des intentions. Il semblait jeune, peu aguerri. Elle n'allait quand même pas l'attaquer dans le dos... "Eh vous là! Ce territoire est sous la protection des Constellations! Cessez vos activités malveillantes immédiatement ou je serai dans l'obligation de..." De quoi? Le tuer? L'aveugler? Crier très fort pour que quelqu'un vienne s'en occuper? "...d'intervenir." Bonne idée ça. Après tout il n'était pas censé savoir qu'elle était pacifiste. A ses paroles, le brigand eut un tressaillement. il se redressa vivement et.... glissa. Il lâcha une sacoche à l'endroit où il était et dévala le flanc de coteau jusqu'aux pieds de la prêtresse. Sa tête heurta une pierre dans un bruit d'os brisé et la nuit se fit dans son regard. Il était mort. La prêtresse resta coite quelques instants. Puis elle lâcha un "Par la Déesse, mais quel idiot!" héberlué. Ce n'était même plus du néophysme là! Et c'était ça la grande menace qui planait sur Melrath? Des gens comme ça qui semaient la terreur dans Melrath, pour lesquels on accusait sa faction de laxisme... Franchement... Elle pria pour l'âme de ce pauvre bandit, puis monta voir ce qu'il avait fait tombé. Il y avait là des vêtements couverts de sang et quelques ressources laissant penser qu'un herboriste avait été occis ou volé. Elle récupéra le tout. Un courrier devait partir ce jour pour la mairesse; ils pourraient peut être y joindre ces objets? Rentrée au campement, elle appris que le courrier était déjà parti. Désappointée, elle prit plume et feuillet, et y traça quelques mots à l'intention de la gardocherie Melrathienne. " Bonjour. Où devons-nous déposer les larcins des bandits une fois ceux-ci récupérés? Cordialement Anamaya." Le message parti peu de temps après et elle demeura silencieuse. Près de 10 ans. Non 7 ans presque 8. L'infini. Le cycle. En avions nous fait le tour...?

Probablement suite à la prise des deux tours de Til'ra, les participants Constels ont pris "quelques" points au classement de façon.... disproportionnée.

Ils ont mis un truc dans nos boissons, on est plus nous-même

Vite vite, on met tout notre or en coffre, on passe niveau 100 pour être balaise of the dead et on pourra garder tous nos cadavres dans le placard Bon par contre c'est pas sérieux, ça se voit trop là qu'on est favorisé in game par les admins, on avait dit subtilement quand même...

La prêtresse avait complètement perdu le fil des mots lorsque le guerrier avait parlé du "feu qui brûlait en elle". Assemblé aux informations données par Suyvel plus tôt sur les dragons, la phrase lancée en l'air donna un éclairage nouveau à l'un des plus grand mystère qu'elle poursuivait avec avidité. Vaguement, elle l'entendit prononcer son nom pour une histoire de défaut, puis repris surface lorsqu'il se mit en devoir de redécorer le sol d'un assemblage somme toute esthétique de verre brisé. Le plus étrange est qu'aucun personnel n'intervint pour lui demander de cesser sa destruction organisée. Assurément son ardoise allait en prendre un coup... Anamaya observa les échanges du guerrier et d'Aon, ce dernier refusant de poursuivre les dégradations, pour se vouer à une activité plus noble à ses yeux. La prêtresse avait des tas d'objets dans son sac. Elle plongea la main, tirant une griffe de sirène, 4 oranges et des crânes de singes. Et encore ce n'était qu'une infime partie de son petit bazar personnel. Elle soupesa l'orange. " N'êtes-vous donc point joueur, Aon Duine? La mafia GerGer se souviendra de chaque dépense que nous leur occasionneront, n'en doutons pas! Et si la maîtresse de cérémonie veut savoir ce que donne un groupe d'aventuriers, réunit pour un motif fallacieux et laissé à l'abandon dans une taverne et bien... Ayons le devoir et la politesse de lui offrir l'information. Mais tu as rendu le sol bien traitre Hepha." L'aéride lança une orange qui s'écrasa à quelques mètres de l'armoire, répandant du jus sur le sol. Elle retenta avec un crâne de singe qui alla un peu plus loin mais trop à gauche, abîmant le mur. Anamaya fit la grimace. " Hum... La précision n'est pas mon fort. Dommage que VAL soit parti. Quelqu'un veut essayer?" Tournant la tête, son regard croisa celui de Kiwae. " J'ai répondu au défi de la légéreté, voulez-vous avancer quels pourraient être les défauts que les enfants de l'Air partagent?"

Bon anniv Kéké

J'aime pas être obligée de faire quelque chose par un pop up alors je souhaiterai un bon anniversaire demain, na

Merci Hepha pour m'avoir mise en difficulté, ce bon moment que j'ai passé à cogiter sur comment réagir, et le plaisir de retrouver mon Ana intenable

Il y eut un léger blanc pendant lequelle la Tavernière ne dit mot, ce qui permit à la magicienne de sentir le regard et les paroles d'Héphaïstos dans sa direction. Elle l'écouta avec attention, signifiant d'un geste qu'elle n'avait aucune oreille à prêter à la Tavernière pour sa réponse, si elle souhaitait la lui donner pour l'heure. Cela attendrait. Parce que bon là, Héphaïstos, il venait de la mettre largement dans l'embarras. Elle resta coite, pouffa un peu, puis se releva en direction du guerrier. Sa tête fixa la porte par laquelle les aérides venaient de sortir, pensivement. « Que penser de sa sortie ? Je l'ignore, car je ne la connais point. Elle me semble jeune et entière, sans concession. Je n'ai pas suivi tous ses propos, mais elle y mettait souvent une virulence que je ne partage pas. Cela étant, je suis curieuse de ce qu'elle deviendra. » Son regard balaya la pièce cherchant quelque chose pour répondre au défi du guerrier. Puis elle reporta son attention sur lui, le fixant, mi-amusée, mi-songeuse. « J'ignorais que j'avais des choses à te prouver, à toi, Hephaïstos, ou à cette assemblée. Son départ me laisse en conséquence bien embarrassée. Je puis voler, mais cela nécessiterait magie... Je préférerai encore prouver la propension des aérides à réaliser des bienfaits, en parlant de moi, mais tu serais alors obligé de bâiller et d'autres de s'endormir complètement. En plus je te suspecte de m'acculer ainsi pour tenter de me subtiliser ma poudre aveuglante, et ça ce serait vraiment, vraiment, vraiment mal élevé. » Elle lui tira la langue, puis son regard parcouru les présents, majoritairement des personnes dont elle ne pouvait pas anticiper les réactions ou qui ne la connaissait pas bien et passa sur Ignis et Selene avant de revenir à Hephaistos. « Pourquoi l'air serait-il le meilleur élément ? Je l'ignore, en tout cas, c'est celui qui me correspond et est cher à mon cœur. D'ailleurs pourquoi l’élément auquel j'ai choisi de me consacrer serait-il forcément le meilleur ? Tout cela est trop fumeux pour moi et me dépasse. » Elle haussa les épaules. « Et voilà que tu m'obliges à parler encore et encore ! Comme j'aime bien les défis, voyons ce que je peux faire pour babiller moins et agir plus. » Anamaya, en deux petits pas sautillés fut sur Hephaistos, qu'elle embrassa. Elle ne resta pas pour savoir si son expression était choquée, amusée ou quoi que ce soit, filant d'ores et déjà sur Ignis qui devait se douter de son sort. Elle l'embrassa également, amusée puisque ce n'était pas la première fois. Enfin elle se tourna vers Selene, l'air mutin, espérant que celle-ci ne la mordrait pas, à vouloir la déconcentrer dans sa colère dirigée vers Yuwena. Elle fit les quelques pas qui la séparait de la magicienne, et posa également ses lèvres sur les siennes. Puis elle se redressa, fixant le guerrier d'un regard pétillant et amusé et lança, d'un ton qui était tout sauf sérieux : « Cessons donc ces chamailleries, les GerGer Awards ont déjà eu lieu cette année ! Moi je suis pour la paix et la tolérance entre tous, et j'aime nos différences, et tout ce qui fait que vous n'êtes pas moi. Nous respirons tous le même air, buvons la même eau... D'ailleurs en parlant d'eau, ça serait appréciable que tu me trouves à boire, parce que là j'ai dû prononcer le mot « moi » tellement de fois que ma bouche est complètement desséchée. » Elle balaya la salle du regard. « Qui a soif ? C'est Héphaïstos qui offre ! » Elle le fixa, en souriant, d'un regard presque innocent.

La prêtresse qui goûtait un plat de fruits de mer des plus succulents offert par Aon, prêta une oreille distraite aux dernières tirades de sa consoeur aéride. Pourtant, quelque chose la fit froncer les sourcils, la détournant du goût subtil du homard. Elle avala sa bouchée et retourna les mots sous sa langue. De quel choix de Tavernière parlait-on? Quelques mots échangés avec un voisin lui apprirent que la discussion n'était pas partie des aventuriers eux-mêmes mais avait été orchestrée par une jeune femme présente en ces lieux, la Tavernière, et qu'il s'agissait là d'une sorte de concours. Anamaya fixa la personne en question. Elle n'avait pas souvenir de l'avoir déjà vue ici. Ou ailleurs. Pourtant elle devait avoir l'aval de la mafia GerGer pour officier en leurs locaux. Elle prit le temps de finir son plat alors que Selene semblait de fort méchante humeur et se dirigea vers la Tavernière, tentant de capter son attention. " Madame, dîtes-moi donc, quelle drôle d'idée est-ce là que de générer ce genre de débat... Est-ce une façon de montrer que de tous les éléments c'est l'alcool et le profit qui mènent la danse, ou y avait-il une autre volonté...? " Elle se racla la gorge. " Vous ne devez pas être ici depuis très longtemps mais cela n'a pas dû vous échapper que certains tempéraments pouvaient facilement s'enflammer... Et je ne vois pas bien ce que vous cherchiez à obtenir en lançant un conflit verbal élémentaire saupoudré de vapeurs d'alcools, à part plus de conflits..." Il y avait des partisans de Reebom qui montraient le bout de leur nez. Cette histoire d'Architecte qui semblait avoir pour volonté de nuire et détruire... Des tours curieuses qui se dressaient partout... Et maintenant on se retrouve avec des Tavernières qui sortent d'on ne sait où pour lancer des concours pouvant générer des dissensions entre les êtres... Il y avait forcément un truc malveillant et fourbe là-dessous.

Anamaya hocha la tête en entendant la réaction de Yuwéna suite à sa réponse. Peut-être un jour serait-il intéressant qu'elles échanges. En d'autres lieux, d'autres heures. Pour l'instant, la vie des factions n'était qu'une parenthèse.... Aon et VAL donnaient un ton plus léger à l'affaire, ce dernier continuant à avancer ses arguments d'une façon peut être trop subtile pour que quiconque en prenne conscience. C'était pourtant là une démonstration des plus éloquente, qui fit sourire la prêtresse. Elle secoua ses cheveux pour enlever le reste de la neige qui s'y était réfugiée et lui mouillait le cou, écoutant les paroles de Merel. Elle hocha la tête en signe d'assentiment, levant son verre vers lui alors qu'il s'éloignait pour le saluer, et le remercier d'avoir faire don de sa sagesse et de son histoire. Ignis et Yuwéna continuaient à échanger sur la notion de tolérance, et la prêtresse laissa son regard glisser vers les présents et s'arrêter sur Héphaïstos qui allait finir par s'endormir dans son coin. Elle murmura, moitié pour elle, moitié pour les deux qui échangeaient : " Peut être qu'avec le temps on apprend à vivre les choses avec plus de distance... Parce qu'après tout, nous sommes tous maudits. Et que la mort, la fin, n'existe pas pour nous. Et s'il nous fallait juger et condamner chaque être ayant un jour fait couler le sang et bien... Nous sombrerions dans une morosité et une langueur qui ont déjà touché tant des nôtres... Les semeurs de mort qui agissent sans respect sont un fléau, pouvant briser les esprits et le goût de vivre. Mais il y a des semeurs de morts dans tous les camps. Simplement... L'esprit est peut être différent pour ceux qui sont sous la bannière d'Eolia, car ils pensent à la douceur et au don, plus qu'à l'appétit du sang, en théorie. Mais pourquoi cela ferait-il de l'air le meilleur élément? Autant dire que l'Air est le meilleur parce qu'il est le premier de tous à être appelé dans notre langue..." Elle se dirigea vers Héphaîstos. " Beaucoup ont déjà fait couler le sang. Et aimé ça. Y compris le mien. Mais vivre dans la colère ou la haine de ces personnes est éreintant et vain... Ils ont parfois un fond de sympathie, qui n'a rien à voir avec de la poudre aux yeux. Pas vrai Hépha? "

Anamaya manqua de s'étrangler lorsqu'elle entendit Yuwena traiter ainsi les dragons, et son regard se fit triste, mais elle ne pipa mot. Il ne semblait y avoir que débat d'ivrogne et la tournure des discussions était plutôt décevante. Puis les mots prononcés eurent un écho désagréable à ses oreilles. Elle s'adressa directement à Yuwéna. " Demoiselle, je vous ai entendu invectiver un peu plus tôt un jeune homme qui s'écartait, de la plus impolie des manières. La violence n'est pas que celle des armes et votre conduite ne représente en rien la civilité, la douceur ou la clémence que l'on associe à la Déesse. Et je ne peux que me sentir outrée de vous entendre dévoyer ainsi la devise du Souffle d'Eolia. Je sais qu'il a changé, et qu'il ressemble peut être aujourd'hui bien plus à ce que certains en disent que ce qu'il était autrefois.. Mais je vous prierai de ne pas utiliser ces phrases avec aussi peu d'humilité et de recul. Lorsqu'elles ont été écrites, elles l'ont été dans le respect de tous les éléments. Et si je puis l'affirmer, c'est qu'elles sont de ma main."

C'était un mort. Une mort, c'était rare. Non, exceptionnel. Un mort pour de vrai, pour toujours, à jamais. Il n'allait pas revenir, la donneuse ne le renverrai pas. C'était pour nous autre ça... Mais pas pour eux. Curieux. Aussi rien n'aurait pu empêcher la prêtresse d'aller voir par chez les nomades ce qui avait bien pu se passer. Le corps était encore là. N'avait-on tellement pas l'habitude d'avoir des morts mort, qu'on ne savait plus quoi faire d'une dépouille? Une enquête en cours et qui... n'avance pas. On l'invita à se mêler de cette histoire, et elle ne se fit pas prier. Un mort, un vrai ! Depuis le temps qu'elle espérait en rencontrer un ! Quelques échanges lui apprirent qu'il y avait un lien avec Reebom. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait plus entendu parler de celui-là. Le bras de Guix lui revint en mémoire, la corruption qui rampait sur lui, cherchant à s'emparer de ce qui pouvait rester des lambeaux de son âme. Et une vague de honte, liée au secret qu'elle détenait dans un coffre, à l'abri. Reebom. Et un livre. Son sang se glaça. Un livre. Un livre sombre. Sans vraiment s'en rendre compte, elle acceptait d'aider l'ami du malheureux à enquêter, se mit à arpenter les terres et le désert, trouver un autre cadavre et confondre le criminel... Mais tout cela l'indifférait. Elle ne pensait qu'à ce livre. A l'abri, dans la cache de l'homme, elle en ouvrit le coffre. Elle fixa quelques instants l'objet maudit. Il ressemblait beaucoup à celui qu'elle avait récupéré, des années plus tôt sur les disciples de Reebom. Mais l'aura malsaine qui s'en dégageait lorsqu'elle l'effleura n'était pas la même. Peut être se complétaient – ils ? On lui avait demandé de détruire le livre. Elle fixa le puit près d'elle, attrapa l'objet maudit puis se détourna de l'attraction du vide. En quittant les lieux, Anamaya avisa un mot sur la table, comme laissé à son intention. Les sourcils froncés elle y jeta un œil. C'était une mise en garde... L'aéride regarda autour d'elle, se demandant qui avait pu déposer ce papier après qu'elle ait choisi de ne pas détruire le livre. Mais il y avait personne. Mais ce n'est pas parce qu'on ne voit rien, que rien n'existe. Après tout, le nécromancien avait une cape d'invisibilité plutôt efficace... Le cœur frappant fort contre sa poitrine, elle glissa le livre dans sa sacoche et pressa le pas. Elle se sentait mal à l'aise de le détenir ainsi, mais elle était persuadée que ce n'était pas le fruit du hasard. Il y a une raison à toute chose. Et les signes avaient déjà indiqué qu'une voie plus sombre serait offerte. C'était écrit. Il fallait qu'elle aille le mettre à l'abri. Avec l'Autre. Ensuite... Il faudrait trouver de quoi les nourrir.

C'est la recherche d'Ignis qui avait poussé la magicienne à entrer dans cette taverne. Son étonnement fut grand de voir autant de personnes assemblées, à discuter avec animation. Elle observa son confrêre Constellation s'animer dans un spectacle dont il avait le secret, puis demanda aux badauds ce qui se passait. On l'informa donc, en quelques mots, qu'il s'agissait de savoir quel élement était le meilleur. La prêtresse, étonnée, esquissa un sourire. .La coutume voulait que ce soit les guerriers qui s'appliquaient à savoir qui avaient la plus grosse... arme. Pour se battre. Mais elle comprit mieux le pourquoi de la présence de la nécromancienne, et se glissant jusqu'à elle, se baissa pour être à son niveau et lui déposa dans la main un petit sachet, d'un air entendu. Voyant que l'aéride avait terminé son spectacle d'une façon qu'il n'avait pas prévue, elle salua l'assistance. "Bien le bonsoir à tous, compagnons de ces terres. Voilà un sacré débat qui vous échauffe... En voyez-vous une issue? Je serai curieuse de connaître quel élément vous paraît être le meilleur, car selon moi la question est un non-sens... Nous ne pouvons nous passer d'aucun d'entre eux... Il n'y a pas d'élément plus fort. Il n'y a que des successions de circonstances où l'un prend le pas sur les autres. Et à ce moment-là, il ne s'agit point de suprématie mais du regard que nous portons sur ce moment, une vision de souris, partielle, qui ne voit pas l'ensemble, l'harmonie entre toutes.... Hier, le sang a coulé dans de futiles guerres, sur la même question. Je vous souhaite des échanges plus plaisants et moins fertiles!" Sur ce, elle emprunta le verre de vin d'Ignis, fit une grimace à l'odeur épicée qui lui piquait le nez et le lui rendit. Avisant la tavernière, elle lui commanda un vin plus sucré puis reporta son attention sur les présents, avec curiosité.

Idem. Nous avons été présent à environ 6- 8 pendant toute la session qui a duré 3h30 pour prendre la tour. Ben passer 3h30 à attendre que la barre rouge descende c'est long et pas du tout ludique. Je comprends qu'il est logique que nous ne puissions pas prendre une tour en 20 minutes et un café, mais le fait d'être bloquée dessus c'est au delà de mon seuil personnel de patience. En tout cas ça ne donne pas envie de recommencer ce qui est contraire à l'esprit, j'imagine. Du coup je plussoie Tigrr dans sa proposition. Egalement, j'ai apprécié que ce soit une apti propre décomptant les PI; ça évite de choisir entre aider les coupains à faire leur quête ou passer des heures à taper contre une tour. Merci en tout cas de cette nouvelle possibilité.

C'est la baguette de cuir qui me donne cet air viril!

Je veux bien signer le registre des parrains. Je vais pouvoir dévoyer toute la future communauté pour faire de cet endroit un monde de paix, d'entraide, d'amour et de lapins qu'on ne dépèce pas *_*

Y avait quelque chose qui sentait pas bon ces temps-ci. Autre chose que la sueur rance des piliers de comptoir que je croisais chaq'jour au bar. Nan, c'était quelque chose de plus diffus. Déjà, ces montagnes de glaces, là, qui étaient arrivées d'on ne sait où et qui n'avaient pas fait paniquer la population locale. Alors que, franchement, si j'ouvrais mes volets un pti matin et que je découvrais ça.... 'Fin bon, n'importe qui entraînerait ses capacités à monter dans les aïgues, non? Si ils avaient pas peur de ça, c'est qu'ils avaient peur d'autre chose. Ouep. C'était aussi clair qu'un verre bien lavé, et même si je fréquentais trop cet endroit, j'avais pas oublié à quoi ça ressemblais, l'propre. Les rumeurs c'est ce qui est le mieux dans l'métier. Avec ça, on peut se retrouver dans l'action en deux-deux. Mais ces temps-ci, les rumeurs, elles étaient plutôt fadass. Y avait bien eu une discussion sympa hier soir... Mais je n'sais plus sur quoi elle portait. J'm'extirpais du dessous de la table, la gueule de travers comme tous les après-midi après une nuit de beuve... d'enquête approfondie sur les coutumes locales. Même si ma tête me faisais un mal de torto, je titubais pas. J'avais toujours su garder mon équilibre en toute circonstance. Par contre j'aurai préféré que mon environnement cesse de bouger comme ça. C'était perturbant. Dehors, j'me déchargeais d'un trop de tout qui aurait gêné mon exploration. Puis direction la sortie de Melrath. Un salut et un rot en direction des gardes en faction aux portes. C'est important le respect. Et me v'là parti dans le sable du désert. C'est une vraie saloperie ce truc. ça s'enfonce, rentre dans les pompes et pour un peu qu'il y ait du vent ça vous bouche tous les pores de la peau. Sans compter les serpents et les scorpions qui se cachent là d'ssous. Le désert c'était vraiment pas mon truc. Vous vous dîtes, du coup, qu'est-ce que tu fous là, Jo? Ouais parce que, appelons-moi Jo, je suis plus sûr des autres lettres. C'est une bonne question. En fait tout l'monde sait que plus haut, vers la mine, y a une statue. Genre grosse, avec un piaf orangé-rouge qui tient une flûte dans sa serre. Ben des fois, la statue elle lâche la flûte. Et même que, plus tard, quand tu reviens, y en a une autre! ça doit être la ptite souris des flûtes qui vient en r'mettre. En tout cas, cette flûte elle permet de piquer des objets aux aventuriers inattentifs. C'est que enquêter sur les coutumes locales ça coûte cher... Sans compter l'auberge. Ne nous égarons pas. La flûte, elle permet de jouer des mélodies. Et ça se revend bien parce que c'est rare, donc précieux. Et ça ça me plaît. Je me laissais tomber dans le trou comme à l'accoutumée, parce que y avait pas l'choix, et essayait de récupérer un pti butin en or gardé par des rats. J'glisse la main.... " Nom de saloperie de fiente de dragon!!" ça m'avait mordu. Pestant contre ces charognards, j'me dirige vers la statue, essayant de me souvenir ce que j'avais fait cette nuit, tout en fixant d'un air distrait l'être physiquement présent, à l'esprit absent assis pas loin et visiblement blessé. " 'Foiré de rats, hein?" Je lui lance, mais il me répond pas. ça doit être une sorte de transe. Je tends la main vers l'endroit habituel, le regard vague... Et là y a comme un pépin. Je fixe, j'recule, j'avance, je baisse la tête, je me file une taloche.... Mais non rien y fait. Y a comme un problème avec la statue. J'ai l'impression qu'on vient de m'arracher un bras. Mon gagne pain! Furibond, je cherche l'auteur de ce crime odieux. On dit que les criminels retournent toujours sur le lieu de leur crime. Ba lui, il a pas l'air d'en être parti. Je l'apostrophe : " Eh toi là? T'as fait quoi à la statue?!" Cela semble être une de ces créatures qui vont et viennent sur ce monde, qu'on ne peut pas frapper et qui peuvent disparaître et apparaître à leur guise. Y en a qui dise que c'est des Dieux ou des envoyés. Moi j'pense juste qu'ils ont trouvé des artefacts puissants et les ont pas partagés, les rats. Comme il va s'avérer que c'est peut être pas la pourri que j'pensais au début, appelons le Bob.

Humm... Serait-il possiblement envisageable de repousser le délai de restitution des copies à ce week end? Parce que j'ai un binôme qui est motivé mais a une vie palpitante et ce serait dommage de priver la communauté de la "chose" que nous préparons. Pitié?

Indéniablement la ville avait changé. En visite au quartier nord de Melrath, voulant faire un tour à la banque, elle croisa un guerrier devant une structure qui ne lui disait rien. Il lui parlait de guerre, d'un architecte, d'un type qui menait l'assaut, et si elle voulait bien aider. La prêtresse, sous ce regard pressant ne pu que consentir.... Elle se dit qu'elle aurait l'occasion de les rejoindre après avoir déposé ces affaires qui alourdissait son sac inutilement, et récupéré quelques pièces. Il y eut un vacillement, et elle se retrouva... ailleurs. Là où une odeur de mort, de sang et des cris. A peine le temps de donner son accord, qu'elle était envoyée sur le champ de bataille! Engagez-vous qu'ils disaient! La prêtresse échangea quelques mots avec les soldats, voir ce qu'elle pouvait faire. Elle fut même surprise de découvrir qu'une des soeurs de la Mafia GerGer avait ouvert une succursale ici. En effet, il devait y avoir bien des soldats a héberger, mais même sur un champs de bataille, elles trouvaient moyens de penser à leurs finances! C'était à la fois écoeurant et respectable. D'une certaine façon. La leur quoi. On demanda à Anamaya d'aller tabasser des gens pour aller voler leur insigne ou leur arme une fois qu'ils étaient à terre. La prêtresse rit. Le militaire gradé non. La prêtresse continua à rire en lui demandant si il l'avait bien regardé. Il la regarda bien et lui dit des choses qu'elle préféra oublier très vite. Elle lui répondit que tuer c'était pas son credo, merci au revoir. Un peu en colère contre sa rencontre, elle croisa un prêtre avec qui elle eut une longue discussion sur le bien, le mal, l'origine des créatures en face, leur damnation, et le besoin de rédemption. Tout cela était théologiquement agréable. Il parvint même à la convaincre du bien fondé de cette mission, et elle obtempéra. Les jours étaient long, salissant et épuisant. Chaque nuit lui coûtait une fortune et elle en vint même à piocher dans les économies si durement gagnées dans les marais depuis son retour, car les combats de ces créatures là ne rapportaient rien qu'une profonde lassitude, et l'impression que la tâche ne finirait jamais. Les jours passèrent, mornes. Elle réalisa plusieurs missions pour les soldats, et en vint à recevoir une demande particulière. Elle resta perplexe avec cette demande, sans trop savoir qu'en faire. Elle fini par consulter d'autres Etoiles qui, à force de patience, de plan et d'explication, lui montrèrent ce qu'il fallait faire. C'est là que tout a vraiment basculé. Une histoire de trou et de chose à attraper. Elle se positionna sagement, tenta ce qu'on lui avait montré. Sans succès. Une fois, deux fois, trois fois... Elle fini par attraper un sac contenant l'un des objets qu'on lui avait demandé, mais ce n'était pas fini.... Et les minutes passèrent S'agglutinèrent par dizaines. Ainsi vinrent les heures. Et toujours rien. Anamaya avait appris la patience. La tolérance. L'ouverture d'esprit et savait prendre du recul pour beaucoup de choses. Elle n'était pas du genre à perdre son sang froid pour rien. " Que le malade mental qui a eu l'idée de mettre ces objets là-dedans soit maudit! C'est une aberration, une torture, ahhh si il était là je le, je le, je...." ou encore "Mais c'est pas possible ce truc c'est impossible! C'est une vaste fumisterie! Rhaaaa je le haiiiiis!" C'est important de savoir garder son calme. Malgré ses cris et ses imprécations, elle n'obtint pas ce qu'elle souhaitait. Ayant besoin de repos, elle fini par abandonner au bout de plusieurs heures infructueuses, ravalant son envie d'égorger la Geranium qui osait leur louer des chambres où ils dormaient à même le sol. La Guerre c'est sale. Y a du sang et des larmes. Et puis des cris aussi.

Inspiration Expiration Regard Hagard Démarche fébrille Crissement de feuilles Quelques pas téméraires Inspiration Pleurs d'enfant Soupirs Retour en arrière Oubli La plus efficace prison est celle que l'on se construit avec ses peurs.

*mode nombrilisto-délirium on* Quoi? On me fait revenir et le jeu s'arrête? Quelle persécution! *mode nombrilisto-délirium off* C'est bien d'avoir su dire stop à un moment donné. D'autant que j'ai lu, outre pas mal de choses très vilaines, des messages intelligents et constructif qui font penser qu'on peut arriver à tous cohabiter, "bordel". ( comme le dit si bien Bénabar) Je ne peux parler que depuis mon point de vue, donc je ne tenterai pas d'aller plus loin; de même je n'ai pas de proposition constructive à faire pour ma part parce que cela me prendrait un temps que je n'ai plus, pour rendre mes propos pertinents et adaptés à une situation actuelle que je ne connais que de loin. Je passe juste dire que TDE est un très bon jeu qui mérite qu'on trouve des solutions et qu'il ne soit pas détruit par sa communauté. Sans glisser dans un discours Anamayesque mais un peu quand même, la tolérance et le respect c'est important, et savoir prendre du recul quand on est en colère ou atteint, c'est juste vital. Ce n'est qu'un jeu, un objet ludique qui permet de prendre du plaisir à intéragir avec les autres, même si le fait que la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres ne soit pas toujours applicable à ce jeu, ce qui me semble un tort. Voilà un post pas très utile j'en conviens mais surtout une marque d'attachement, un soutien et une preuve supplémentaire que, oui, certains aimeraient que ça s'arrange. En tout cas j'en fais parti. Pour le reste, j'attendrai sa réouverture, pour le meilleur. Bisou à tous.

"Le petit flocon de Neige Il était une fois, dans les cîmes au dessus de la ville de Melrath Zorac, un petit flocon de neige. Ce petit flocon n'avait pas de nom. D'ailleurs, aucun d'entre eux n'en avait. C'était un flocon parmi tant d'autres, tout aussi cotonneux, tout aussi froid, tout aussi prêt à retourner à l'état liquide si jamais une main humaine un peu chaude le saisissait. Pourquoi alors, s'intéresser à ce flocon ? Et bien, parce qu'un jour, dans le secret de la nuit, quelqu'un avait bu une potion. Et de ce petit écrin de verre avait coulé quelques gouttelettes égarées. C'était quelque chose d'anodin. Souvent, des gouttes vertes ou rouges d'elixir constellaient la neige, sans compter le sang des aventuriers voire... de la bave... Pourquoi ces gouttes-là eurent un effet particulier est un mystère. Toujours est-il que, d'un coup, notre petit flocon s'éveilla. Oh, il n'était pas le seul ! D'autres s'éveillèrent également tout autour de lui. Ils s'agitèrent, nouvellement dotés d'une perception de ce qui les entouraient. Ils ne pouvaient parler ou voir, car ils n'avaient ni bouches ni yeux. Mais ils percevaient le monde comme autant de pulsations différentes. Chaque petit flocon eut sa propre réaction. Certains fondirent d'angoisses, d'autres cherchèrent à ne plus être rien du tout. Et un petit nombre voulu se nourrir de ce qu'il y avait autour d'eux, autant que leurs sens le leur permettait. C'était le cas de notre petit flocon. Le jour revint, puis une nouvelle nuit. Ils avait goûté à la sensation désagréable d'être écrasé sous un pied, ou lancé avec d'autres flocons, tant et si bien qu'ils étaient tous éparpillés. Et lorsqu'ils se tendaient les uns vers les autres, ils pouvaient percevoir la forme du sol. Mais pour notre petit flocon, ce n'était pas suffisant. Il savait qu'il existait d'autres endroits où le sol n'était pas rempli de neige. Il le savait, car il avait rencontré de la terre sous le pied d'un humain. Et il voulait découvrir cet ailleurs.... Alors dès qu'il en eut l'occasion, le lendemain il s'incrusta dans une chaussure. De toute sa volonté il se maintint là, caché, en attente... C'est ainsi que le petit flocon descendit la montagne et fit ses premiers pas dans le désert de sable. Ses premiers pas... Et ses derniers. Car ce que ne savait pas le flocon curieux, c'est que le soleil était chaud au dessus du désert, encore plus chaud que la paume d'un humain. A peine eut il effleuré le sable, que son petit corps fondit. Il devint eau, et cette eau se mêla au sable qui l'aspira en un clin d'oeil. Il aurait pu s'éteindre ainsi. Ce ne fut pas le cas, Posicillon veillait sur lui. Il n'était simplement plus un, mais plusieurs. De minuscules grains avaient recueillit le petit flocon devenu eau, et sa conscience s'était parcellée. Il percevait tout comme par un prisme... Avec la complicité de l'air, il s'éparpilla, les grains s'éloignant les uns des autres, touchant forêt, créature, feu ou point d'eau. Mais cette découverte avait un prix, et plus les parties de lui s'éloignaient les unes des autres, plus il avait du mal à rester un. Et peu à peu, sa conscience commença à s'effacer. Certains grains ne répondaient plus à l'appel des autres, s'étaient détachés, peu à peu. Lorsque le petit flocon ne fut plus que dans quelques grains, il prit une décision. Quitte à s'éteindre, cela ne pouvait être que parmi les siens, dans ces cîmes qui l'avait vu naître... Et il n'avait plus beaucoup de forces... Trois grains de sables s'accrochèrent à la chaussure d'un aventurier. L'un retomba a peine dépassé la mine. Le deuxième perçut la vibration du sol sous le coup d'un taurus avant de ne plus rien percevoir du tout. Le troisième.... Le troisième sentit le froid avant de se détacher de son porteur. Il n'était pas encore arrivé pourtant... Son chagrin était grand. Il échangerait volontiers les gains de son voyage contre le fait d'être à nouveau à sa place. La Déesse sentit sa douleur, et d'un simple courant d'air un peu plus fort, elle lui offrit ce retour tant désiré. Des autres, flocons de neige, il ne percevait aucun signe. Peut être était-il le seul à avoir tenu aussi longtemps ? Si il avait pu, il aurait soupiré d'aise. Mais il ne soupira pas, et très vite, il ne fut plus. De flocon de neige, il était devenu goutte d'eau et grain de sable. Il avait voyagé et était retourné chez lui. Il avait vécu tout simplement." Mille et un contes de Festiva, auteur inconnu, p.74.

On peut faire le tour mais on a pas le droit de ressortir de la mine

Bon ça fait des jours que j'hésite à intervenir parce que franchement je ne sais pas si je vais apporter grand chose, mais comme c'est important, qu'il y a un super boulot qui a été fourni, c'est le minimum de reconnaissance que je peux donner, alors allons-y *_* En tant que mage des objets avec 100% de chance, j'ai fait mes tests. Les effets ont l'air de se déclencher relativement "facilement". Le concept de l'assoupissement provoqué est très sympa, pour l'hypnose comme j'ai toujours pas compris à quoi servait l'UD je sais pas à quoi ça sert mais le concept RP me convient également. J'ai beaucoup pleuré la disparition de la résistance mineure et surtout du désarmement, pour moi, parce que c'était quand même plus facile pour permettre à une personne qu'on protège de fuir et d'empêcher le joueur d'attaquer. Alors que là l'assoup(L)issement implique que le joueur en face ait attaqué pour pouvoir lui faire des misères et augmenter sa fatigue. Quand on teste au dojo on est tous de même level donc pas d'OS. Mais une fois de retour dans le monde virtuelo-réel je ne suis pas sûre d'avoir l'occasion d'utiliser la compétence avant de passer de l'autre côté du voile. J'ai l'impression en voyant les nouvelles capacités que ne sont plus/ ou moins pris en compte le PVP forcé (soit le Player vs Pinata) ou la traque au BL, bref ce qui depuis ma tour d'ivoire semble se pratiquer un peu plus que le PVP classique avec respect et consentement des adversaires, je me trompe? Je ne saurai rien dire sur la fatigue, les dégats, si c'est bien ou pas bien. Vu comment j'ai monté mon personnage et le fait qu'avec les compétences précédente je n'ai jamais vraiment combattu je ne suis pas quelqu'un qui pourrait avoir un avis pertinent. J'ai testé les frappes, j'ai vu que je faisais des dégats assez médiocre mais je pense que c'est normal. J'ai deux questions sinon en restant sur les compétences. - L'hématocrite, ou les sort de type invocation (bref tout ce qui n'est pas en beta test ) vont-ils être supprimés et à racheter quand viendrai l'heure? - vous disiez que certaines armes allaient être gérés un peu comme la flute. Du coup pour la flute, les compétences vont elles être modifiées, supprimées, remodelées, étoffées? Pour des considérations purement RP Pour moi un magicien c'est quelqu'un qui ne se salit pas les mains. Il peut faire mal, mais de loin, il peut être maléfique à souhait, il n'empêche qu'il va pas salir sa robe ou sa barbiche. Et puis il fait des trucs relativement classe aussi. Rien qui ait un côté trop malsain. J'irai pas à dire que c'est un certain Directeur de poudlard mais voilà quoi. Le nécro il fait des trucs sale, il met ses mains dans les boyaux (d'ailleurs pourquoi croyez vous qu'ils s'habillent en noir? Comme ça on voit pas les taches de sang pardi ) Du coup qu'un magicien lance dégénerescence musculaire ou cutanée ça me choque. J'imagine devoir raconter que mon personnage a fait fondre le visage du gars en face d'elle parce qu'il voulait l'attaquer. Prochaine étape : attention si tu dépeces ce lapin, je te fais ressembler à un écorché C'est pas le magicien qui pousse un rire sardonique en sentant l'odeur du sang et de la chair putréfier se répandre dans l'air pendant que son adversaire hurle à genoux, se dissimulant avec ses mains "mon visage, mon visage!" Non, dans cette scène là je vois une Ignis, un nécro quoi. Chez nous on pourrit mais avec style. Du coup pour conserver l'effet qui est : Mollesse diminution de la frappe : quelque chose comme Entrave mentale:Oblige l'esprit de votre adversaire à lutter contre l'ordre de baisser son arme, l'empêchant de donner court à sa violence habituelle. Affaiblissement : baisse de la défense : Décontraction temporaire : Brise les positions d'encaissement les plus rôdées. L'adversaire aura une moins bonne défense. (vu qu'il faut proposer je propose ) Autre considération RP dans laquelle je me perd un peu : Orus dit que "Pour info: dans notre soucis d'équilibrage des classes, nous avons pris en compte le fait qu'il existe des magiciens maléfiques et des nécromaciens harmoniques." (post 58) Yteyk : " Où est-ce le cas ici ? Nous avons laissé à chacun, tout élément/classe/karma confondu la possibilité de pouvoir choisir une stratégie offensive, défensive ou tactique. Cela n'a rien à voire avec le karma, il n'entre pas en ligne de compte ici." (post 87) Dans la définition des sensibilités élémentaires qui a été notamment donnée sur l'ébauche de la fiche de description détaillée des héros Orus a posté ceci : Sensibilité karmique : - Quen (divinité harmonique reconnaissant l'intégralité du panthéon des dieux élémentaires ) - Niue (divinité maléfique ne reconnaissant que l'Unique et une et une seule divinité élémentaire possible) adresse : http://www.terre-des...éros#entry73318 Si je dis que je me perds c'est parce que du coup je ne sais plus ce qui est entendu par maléfique est harmonique. Le fait de dire que un magicien est maléfique, ça implique donc qu'il soit du côté de Niue et donc renie sa divinité élementaire, c'est ça? En quoi ça pourrait impliquer qu'il soit forcément une raclure lui même et qu'il prenne son pied à dégénérer les gens? Je n'arrive pas à comprendre ce que les uns et les autres vous avez voulu dire par rapport à cette histoire de sensibilité karmique oui ou non prise en compte pour les nouvelles compétences PVP, et si oui ou non ça a un rapport avec la sensibilité karmique montrée plus haut (ça a dû être fait pendant mon absence parce que j'avoue que j'ai été très surprise de découvrir quand le sujet sur les description détaillées a été ouvert, qu'il y avait ce type de sens au karma) Autrement, très contente que l'approvisionnement en mana puisse être modifié !