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Terre des Éléments

bartimeus

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  1. Bartimeus se tenait solitaire au sommet de la montagne, la contemplation de son regard ancrée sur l'horizon lointain. L'air, imprégné de la brume délicate, caressait doucement son visage, telle une étreinte bienveillante, évoquant les douces larmes de l'âme en peine. Son cœur était lourd, empli d'une mélancolie profonde, telle une mer en tumulte reflétant les émotions tourmentées qui le submergeaient. À ses côtés, un bassin d'eau limpide étincelait, ses reflets dansants sous la lueur des étoiles, créant un tableau de lumière et d'émotion. Héphaistos s'approcha avec lenteur, ses flammes dansantes exprimant une passion intense, témoignant de la chaleur ardente qui animait son être. Il sussura : «Bart… » *snap* et puis plus rien en fait, disparu, tchao, sans prévenir. En un claquement de doigt D’ailleurs c’était probablement Thanos avec son gant magique ou un de ses sbires mal intentionné qui a fait disparaître la moitié, pour ne pas dire la totalité des aventuriers actifs sur la Terre dès Élément. Grandiose Mes respects Stal(o)ne
  2. Bonjour, Serait-il possible de mettre en place, comme pour la barre d'xp et lvl d'aptitude, la quantité d'xp restante lorsque l'on passe la souris dessus avant un lvl up pour le M1 et le M2 ? Merci
  3. Avis de recherche ? Mercenaire ? Radegonde ? Une sortie s'imposait pour dénicher la nécromancienne : Elle était probablement avec ses frères et soeurs à la peau verte ? Ces cul-terreux de Fimine, direction les terres des Orcs : Une lueur rousse au loin, était-ce elle ? Des cures dents, un arc ? Non ce n'était pas vraiment son style. Je continuais mes recherches quand, quelques mètres plus loin : La nécromancienne était en train d'égorger de pauvres vaches, probablement pour ses rituels sataniques. Ni une ni deux, je m'empressais d'attaquer cette pauvre folle. BAAAAAM POUDRE DE PERLIMPINPIN Qu'est ce que tu dis de ça, hein ? Fatigué par l'intensité de mon sort, j'en profitais pour me reposer dans la belle tour de l'Au-Delà.
  4. Devant la précarité de ce pauvre mage, je me vois dans l'obligation de lui faire don de cette somme. Merci à tous pour vos généreuses contributions, à l'image de l'amour collectif que l'on se porte tous ici. Total de 5508 PO + 10 000 po Multiplié par le coefficient du nombre de participant : 5508 x 8 = 124 064 po. Et vu que les Suisses sont blindés j'arrondi à 200 000 po. Biz
  5. Lors d'une joute qui se termine après l'heure, on se retrouve avec le bridage attaque PvP Tentative de connexion sur compte non actif précédemment et délai trop court (5min par défaut et 2h depuis la dernière action pvp). Dernière action pvp :2021-04-26 22:16:01
  6. De toute façon les sanctions ont été prises, je ne pense pas qu'elles seront revues.
  7. Donc l'idée selon toi Mali c'est que les joueurs cités servent "d'exemple" ? Parce qu'à ce moment selon ta logique, tu bans tout les joueurs sauf toi, et tu joues tout seul.
  8. L'exil bolossoïde, vous connaissez ? Ce barbarisme est à la hauteur de ceux que je vais vous présenter aujourd'hui. Nul n'est censé ignorer la loi, sauf chez l'Au-Delà, enfin plus précisément chez deux membres de l'Au-Delà. Nos deux petits boloss qui n'écoutent rien. Une humiliation sur la place publique était donc nécéssaire pour notre grand et beau Général ainsi que son fidèle calife qui voulait être calife à la place du calife. Jackall, fier porteur du drapeau et représentant des Au-Delà depuis maintenant de nombreuses années. Agissant tel un gourou, il manipule les esprits de ses faibles comparses. C'est un dictateur des temps modernes qui ne cesse d'user de son charme légendaire pour obtenir ce qu'il désir. Je passerai son côté harceleur auprès de tout être qui dispose d'un appareil reproducteur. Le Général menait donc ses troupes d'une main de maître, recadrant chaque débordement avec son beau et grand bâton veineux, qu'il se plaisait à nommer la Poutre du Botswana, en hommage au célèbre Anac Onda qui lui avait enseigné les rudiments de la circulation sinusoïdale en terrain boueux. Yaninho, grand Vizir, le plus puissant mage que vous pouvez rencontrer sur ces Terres. Il n'a qu'un seul but : gratter. Sans vergogne il pille, ratisse, vole, empruntesansjamaisrendre. Il veut se faire reconnaitre en tant que collectionneur ultime. C'est d'ailleurs le point commun de ces deux boloss, ils collectionnent. Que ce soit les conquêtes, les objets, les sanctions, ils collectionnent. La légende raconte qu'il aime a se cacher derrière les tiges de roseaux, avec sa silhouette filiforme, pour surprendre les autres aventuriers en agitant son épi staminé pour les appâter. Mais voilà, ces deux aventuriers exceptionnels ont joués une nouvelle fois avec les limites. Non non, ne leur jetez pas la pierre. Roulez leur dessus plutôt, mais avec classe. Ils seront comme de petits orphelins, dépouillés de leur maison, dépourvus de leurs apparences, et pour l'un d'entre eux le coffre bien vide... Le Général avait su profiter de sa position pour collecter des impôts et ainsi dormir sur sa montagne d'or, frôlant la syllogomanie. Le grand Vizir, lui dépensait à tout va, comptant toujours sur les autres pour le renflouer. Et une fois n'est pas coutume, il allait avoir besoin de nous vous. Toutes interactions auprès de nos deux compagnons nous était interdite, alors je compte sur vous. C'est pourquoi je lance une cagnotte à participation libre pour aider notre sans domicile fixe Yaninho, parce qu'on l'aime malgré tout. (et aussi parce que les Soeur Gerger sont horriblement cher, faudrait qu'elles se calment celles-là) Faites vos jeux. PS : vous me trouverez soit au bastion des Au-Delà, soit dans la taverne de l'Auberge Sud du Marais. Tout don sera taxé à hauteur de 5%, pour financer la fondation des boloss de la Terre des Éléments. Pour toutes demandes de remboursement vous trouverez les modalités au chapitre 12 de l'encyclopédie You Pin, point 6.
  9. Je veux bien rejoindre un potentiel jury si besoin
  10. Un claquement vaporeux résonnait dans l'obscurité du marais encore endormi. Le mage se tenait droit, immobile, scrutant la lueur safranée de l'aube qui se dévoilait doucement à l'horizon. Un léger foehn venait faire vaciller les mèches brunes qui ornaient son visage , lui qui d'habitude était si froid semblait apprécier les caresses de cette chaleur tout droit venue du Sud de Melrath Zorac. Le claquement se répétait, le vent s'engouffrait dans ses ailes, les faisant gonfler comme les voiles d'un navire. Cette époque où il pouvait profiter de l'immensité turquoise de l'Océan offert par Posicillon était bien lointaine désormais. Le mage prit une grande inspiration, serra ses poings puis les relâcha. Il fit craquer méticuleusement chacune de ses articulations, ses mains étaient décharnées, émaciées. Toutes ces années à lancer des sorts, il en payait le prix. Mais malgré cette apparence peu engageante, quelqu'un avait décidé de les lui attraper et de l'accompagner. Le sorcier déplia ses ailes, il dévoilait timidement leurs immensités aux spectateurs muets du marécage. Il ne le faisait pas souvent, c'était son fardeau. Peu de personne l'avait vu se mettre à nu de la sorte. Il avait prit l'habitude de les recroqueviller comme des élytres, sa carapace de fortune était faite. Elles étaient tout aussi handicapante qu'esthétique. Mais cette armure, aussi solide soit-elle, commençait à se fendre et le mage l'ignorait encore. Tout avait commencé par des regardes furtifs, des regards qu'il pensait sans ambiguïté et à sens unique. C'est vrai, après tout, qui aurait voulu d'une créature aussi envahissante que lui ? Il continuait donc à être lui même ne s'interrogeant pas de l'intérêt qu'il suscitait auprès de ce guerrier. Les jours passèrent et peu à peu chacune de leurs virées programmées étaient savourées, comme deux enfants innocents ils profitaient du temps qui défilait à une vitesse folle. Ils pouvaient maintenant compter les mois, et cette ambiance élusive semblait leur convenir, jusqu'au jour où... le mage prit enfin conscience de cette situation -- Les deux amants étaient dans les grottes obscures du Marais d'IssCanak, une chasse au papillon boréal les avait égarée en ces lieux froids et désertés. Quelques clapotis résonnaient, les gouttes des stalactites s'écrasaient au sol, laissant une mélodie hasardeuse derrière elles. Les globrissons faisaient frémir leurs aiguilles et esquivaient difficilement grâce à leurs immenses yeux le balais ondoyant des sirènes qui mourraient d'un appétit sans fin au fond de leur tanière. Le guerrier et le mage se sentaient bien, l'environnement peu propice n'était pas un frein. Profitant du calme de ces lieux, le sorcier voulu se lancer dans la confection d'une liqueur dont il avait le secret. Le beau guerrier serait alors son garde du corps. Il sortit les ingrédients un à un, après avoir prit soin de choisir un endroit convenable il commença l'association des différents agréments. Ces productions demandaient beaucoup de concentration, il allait donc se retrouver à la merci de son protecteur. Seule la lueur de son orbe dessinait les traits des deux hommes. Laissant ses doigts agiles jongler entre les ingrédients, le mage libéra son esprit et s'égara à contempler son guerrier. Il était d'une beauté dont seul les Ignés avaient le secret. Son corps flamboyant semblait tout droit forgé directement depuis la lave en fusion qui coulait dans les montagnes d'Ignis. Et cette même lave semblait toujours couler dans ses veines, qui se dessinaient le long de ses bras musclés, sec et sinueux, laissant deviner le nombre incalculable de fois qu'il avait abattu sa hache sur ses ennemis. La façon dont il avait de se tenir ne laissait personne indifférent, et quand il commençait à parler sa voix suave donnait des frissons au mage qui lui parcouraient l'échine. Il trouvait toujours les mots justes, comme le chant d'un phénix qui venait réchauffer votre coeur et vous faisait oublier tout vos soucis. Cachée sous son capuchon sa chevelure cendrée flottait au gré des courants d'airs, la gravité rappelant à l'ordre ses mèches rebelles. Sa peau mate et cimentée ne laissait pas souvent apparaitre ses émotions, mais son regard brulait d'une intensité sans limite...et c'est à ce moment que le mage réalisa. Il n'avait jamais prit le temps de réellement le regarder. Il le voyait tous les jours, l'observait, l'espionnait parfois, mais il ne l'avait jamais regardé comme en cette fin de journée. Et il se rendit compte en cet instant que le guerrier le regardait avec la même avidité, leurs deux âmes se dévoraient et n'attendaient qu'une chose, de pouvoir gouter au plaisir charnel. Ils ne savaient pas depuis combien de temps ils se fixaient ainsi, personne n'était venu les déranger. Même les monstres des ces grottes semblaient avoir compris qu'une alchimie unique était en train de prendre forme, c'est comme s'ils avaient glissés sur les parois irrégulières et humides sans vouloir faire le moindre bruit, ils avaient apprécié que l'on respecte leur intimité, ils semblaient vouloir en faire autant pour ces deux êtres humains. Un cillement vint rompre ce moment si parfait, sa potion ne fumait plus, le temps avait fait son ouvrage. Le mage balbutia " Je...euh... je suis dés.." Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que le guerrier plaqua ses lèvres sur celle du mage. Les paupières clauses ils permirent à leurs esprits se vider de tous leurs tourments, laissant la plénitude les envahir. Le bonheur intense de sentir leurs corps fusionner, de sentir les mains de celui que l'on aime sur son corps. C'était pour eux l'Aube de l'espérance.
  11. Plus dure sera la chute Ils l'avaient fait. Et pourtant les bookmakers n'auraient pas pariés une pièce d'or sur eux. Les phases de pools n'avaient pas été des plus simples, le jeune nécromant et son acolyte ailé avaient dû batailler férocement pour décrocher une misérable deuxième place. Deuxième place qui leur avait tout de même ouvert in-extremis les portes des quarts de finales. Il faut dire que cette première pool était constituée à quasi totalité de valeureux mercenaire de l'Au-Delà. Les combats gagnés prenaient encore plus de sens, tout comme les défaites. Mais voilà, les quarts de finales étaient à leurs portées désormais. Les plus impitoyables duos de combattants restaient, et ils étaient tous prêt à en découdre. Les blasons importaient peu, les classes étaient dépareillées, les éléments étaient mélangés. Malgré le fracas des armes, malgré la sueur des concurrents, malgré la brutalité des sorts, une odeur jusqu'a présent méconnue se faufilait dans les méandres de ce tournoi. La bonne humeur et les pop-corns se faisaient sentir ! Le duo de Posicillon devait se concentrer sur leur match à venir, car ça n'allait pas être une mince affaire. La fier rôdeuse aéride et la belle nécromante aqueuse allaient leur donner du fil à retordre. Et ce fut bel et bien le cas, même si les victoires s'étaient enchaînées pour les deux comparses, à aucun moment ils n'avaient prit pour acquis la victoire. Le plus dure restait à faire. Les demi-finales leurs réservaient un adversaire de taille, probablement les favoris de ce tournois. Ce guerrier Igné qui tentait de cacher ses rides derrière un pavois d'une robustesse incomparable, le visage orné d'un foulard qui se mélangeait parfaitement à ses cheveux grisonnants de père de famille. Et ce Mage, qu'il connaissait fort bien, ils avaient foulés ces terres ensembles depuis de nombreuses années, à la recherche d'une magie toujours plus puissante. C'était un modèle de perfection dans l'art du maniement de la magie des objets. Mais voilà de part cette proximité le fidèle de Posicillon connaissait ses faiblesses, et le plan pour leur premier match fut vite élaboré : les sorts allaient pleuvoir sur ce pauvre Aeride. Tactique qui se révéla payante, l'euphorie commençait à monter au sein du duo. D'entrée ils avaient réussi à mettre une pression énorme sur leurs adversaires. Le second match ne fut pas aussi facile, leurs opposants se réveillèrent et la colère de leur humiliation précédente se fit sentir. Ce fut une boucherie. Mais les aqueux tenaient bon ! Il restait un ultime combat, celui qui allait les départager. Les deux camps devaient avoir atteint un niveau de stress incommensurable. Les favoris se voyaient traverser un précipice sur une fine branche de bois, elle pouvait plier et se briser à tout instant. Quant aux outsiders, les portes de la finale semblaient s'ouvrir à eux, mais elles étaient encore bien loin... Les armures volaient en éclats sous l'impact des sorts, les combattants disparaissaient sous les coups d'épée, le public était tenu en haleine, le sang arrosait littéralement tous les murs de la salle de combat. Quand soudain, le glas final retenti. Tous se retournèrent vers le tableau des scores, et la surprise fut de taille. Ils l'avaient fait, ils avaient gagné. Comment était-ce possible ? Le mage et le nécromant hurlèrent de joie, les félicitations pleuvaient, personnes ne s'y attendait, personne ne les attendait. Mais les voix de l'Unique étaient impénétrable. Tentant de se faire entendre malgré ce vacarme, la personne en charge du comptage de points avait une bien mauvaise nouvelle à annoncer... une erreur s'y était glissée. Tel un serpent répandant son venin, la rumeur s'écoulait dans les artères de Melrath. A chaque pulsation le coeur de la ville propageait cette information. Le fier duo de Posicillon lui, sirotait déjà des bières ou des laits fraises offert par les soeurs Gerger en taverne. Ils pensaient pouvoir s'enivrer légitimement de cette victoire, jusqu'à ce que la dite rumeur vienne se faufiler entre leurs oreilles. Le silence ce fit entendre, le nécromant et le mage se fixaient, quelle décision devaient-ils prendre ? S'ils conservaient cette victoire elle allait leur laisser un goût amer, refaire ce dernier combat leur semblait hors de portée. Ils avaient épuisé toutes leurs ressources, et l'ascenseur émotionnel qu'ils venaient de subir était d'une rare violence. Le nécromant vola une bouteille de liqueur et alla s'attabler seul dans un coin de la taverne, quiconque tentait de l'approcher se voyait envoyer paître par des grognements inaudibles dans le meilleur des cas ou par un tambourinage de torse en bonne et due forme dans le pire des cas. Le mage quant à lui trouva conseil et réconfort dans les bras de son bel Igné Hephaistos, il sirotait son lait fraise tout en écoutant ses conseils avisés. Ils devaient se décider. Le mage alla voir son frère d'arme, il se servit un verre avec le peu de liqueur que le nécromant lui avait laissé. Pas un mot, juste un regard, un geste, le nécromant le savait, il l'avait compris depuis le début. Ils allaient devoir retourner sur le champ de bataille. Leurs adversaires s'en voulaient également de devoir recroiser le fer. Mais les tentatives de compassion de l'un comme de l'autre n'arrangeaient rien. En choeur les fidèles de Posicillon annoncèrent : Allons-y. Qu'importait l'issu de ce dernier combat, ils avaient eu leur victoire. Si bien qu'ils retournèrent dans l'arène vidé de toute énergie, comme s'ils savaient que ce combat était perdu d'avance. Cette fois la victoire de leurs adversaires était incontestable. Ils avaient su rebondir plus férocement qu'eux, et c'est ce genre de détails qui montre la qualité de futur grand champion. Les portes d'une finale s'ouvraient bien aux deux aqueux, pas celles qu'ils avaient espérées, mais ils n'en étaient pas pour autant déméritant. Le podium leur tendait toujours les bras.
  12. Conte pour enfants arrogants Tome 2 - Comment maîtriser ses vils progénitures. Edition Bibliothèque de Melrath. Bonjour les lutins, Nos cadeaux sont-ils prêts ? Car il ne serait pas très malin De nous laisser sans sachets. Bonjour Père Noël, Comme ton traineau semble beau As-tu pensé a ta ronde annuel ? Il ne faudrait pas oublier de marmots. Bonjour petit Renne, Arrives-tu a passer des portes ? Car avec toute ta couenne Il y a des chances que jamais tu n'en sortes. - Bonjour petit garnement, Pourquoi es-tu si insolent ? Tu veux finir à l'isolement ? Alors un coup de fouet, et bon vent !
  13. Noël, ce n'était qu'une mascarade J'aime à penser que Grace aux FNous Noël est devenu un moment magique, En compagnie de mon bel Hephaistos Ca été un supplice. C'est pour Monsieur Reine que Vivre entouré des FNous Aura été le meilleur moment de sa vie Je suis sur que ça Sera pour mon promis La dernière fois de l'année en ma compagnie -Allez Au-Delà du sens de lecture conventionnel-
  14. L'Adéquation. La Terre, une sphère parfaite. Peuplée par des espèces toutes aussi différentes les unes que les autres. Une symbiose qui reflète un équilibre fragile. Une adéquation. Des Mondes, une diversité culturelle. Forts de chaque environnement, un engrenage (il)logique qui suit des sociétés contradictoires. Une adéquation. Des Villes, une libre circulation. Une connexion de chemins pédestres ou marins, une immensité de ramification qui ne font qu'une. Une adéquation. Des Factions, le choix de la raison. Un regroupement d'êtres qui se côtoient, rassemblés par une idée. La (dé)raison du plus fort est toujours la meilleure. Une adéquation. Un Membre, le seul. Un homme, une âme. Masculin, féminin. Cela m'importait peu, c'était lui, le seul. Mon unique, mon tout. Depuis quelques temps, mes pensées divaguaient inlassablement vers lui. Sinueuses et tordues, elle s'enivraient de son odeur, voyageaient de corps en corps pour tenter de s'expliquer. Pourquoi lui ? Il y a des choses que je ne peux maitriser : ma fourberie, ma lenteur, mes sentiments. Les voilà enfin revenir, s'enracinant autour de lui avec fougue. Il en émanait presque une crainte, celle de le voir trancher ses liens invisibles avec sa hache. Et pourtant... L'air ne se fendit pas, la liaison devenait de plus en plus chaleureuse. Etrange paradoxe, car je n'ignorais pas d'où il venait, ni ce qu'il était. Aucune magie, aucun sort, aucune incantation ne pouvait provoquer cela. Cette attirance était le fruit d'une incertitude nourrie par le regard d'une société en perpétuelle évolution. Cela faisait quelques temps déjà qu'il me troublait, il est devenu la flamme qui réchauffe mon coeur, je suis l'eau qui hydrate son corps. Il est mon accord parfait, il est mon Adéquation.
  15. Pour préciser que Krynn (guerrier air) est mon multicompte, uniquement joué par moi (Bartimeus, mage Aqua)
  16. L'évolution, Comparable à une chaîne alimentaire. L'après croquant l'avant avec voracité, sans pour autant y délaisser les qualités déjà acquises. Depuis mon arrivée sur les Terres de Melrath, je n'avais cessé d'évoluer. Je cherchais à corps perdu un lieu où je pourrais être moi, sans façade, sans artifice. J'avais arpenté de nombreuses Factions, et toujours arboré leurs blasons avec fierté. Ce chemin parcouru ne me laissait aucuns regrets ni rancunes, c'était l'évolution. Mais enfin, elle était là. Elle me lançait des regards aguicheurs, en me susurrant : Allez viens, vieeeens. Regarde tout ce que l'on va pouvoir faire... Fraîche, mais chaude en son coeur, l'aura qu'elle dégageait ne pouvait laisser quiconque indifférent; de la peur, de la jalousie, de l'amour. Pour ma part j'y voyais beaucoup d'amour, un amour fraternel qui était peut être naissant mais promis à de grande choses. Comment résister ? Tout y était, la force, l'amitié, un beau Général, un état d'esprit, un clan, une famille. Toutes ces valeurs que beaucoup prônait mais que personne ne respectait. On en trouvait même qui fanfaronnait, qui se disaient être son égal, quelle affront. C'est finalement en cette période Créativa, le 13 que mon humble vie de Mage pris un tournant : La demande d'intégration de Bartimeus a été acceptée par Rhadamanthe 2011-01-13 Mon ADhésion était faite. Et me voilà 9 années plus tard, défendant avec toujours autant de fidélité ce Blason. Des rencontres ? Bien évidemment, toutes aussi uniques les unes que les autres. C'était ça les Au-Delà, une groupement de mercenaires, avec des idées différentes mais un but commun, une perpective avec le même point de fuite. Grâce à cette confiance qui règne au sein des Au-Delà, j'ai pu m'ouvrir. Certains textes vous diront que j'ai toujours été ouvert, comme la porte des Etoiles, et qu'un certain Jaffa pouvait y séjourner aisément. Mais je vous parle ici d'ouverture de coeur. Tout d'abord à une belle chevelure rosée, puis progressivement, ou plutôt brutalement au reste de ses Amis. C'était comme ça, le tact n'était pas notre fort. Mais en dépit de cela rien n'avait changé, et rien ne changerait. Ils sont toujours là dans les moments d'euphorie tout comme dans les moments les plus triste. C'est un beau papillon boréal qui vient se poser au creux de ta main, ils te donnent de l'espoir. Nous voulons aller au-delà ensemble, nous voulons évoluer ensemble. Accepter l'Au-delà c'est évoluer. L'évolution.
  17. Like a Gnou démoniaque : --- > Réalisation : L'unique grand et beau Hephaïstos
  18. Une craqueuse d'allumette ? Allait-elle encore frapper ? En tant que disciple de Posicillon je devais agir, je devais noyer cette étincelle dévastatrice, et ainsi protéger le Festival des Divinités. Vulfume est connu pour sa fougue chaleureuse, mais un bon coup de flotte là-dessus et ça en calmerait plus d'un ! Bon où se trouvait-elle ? Je devais chercher les traces de cendres, un peu comme quand je piste les limaces dans mon potager de gentil mage herboriste (chasseur)/cueilleur. Si tant est que j'arrive à les rattraper ces foutues limaces. Une odeur de souffre planait, j'étais sur la bonne piste ! Je me cachais derrière un petit buisson, étonnement feuillu d'ailleurs ? Je m'insérais dans ce feuillu, juste avant de trouver une grosse branche sur laquelle m'appuyer pour espionner la fameuse pyromane.. mais, en réalité je tombais sur notre beau et grand Yaninho qui tentait de remplir les ballons du festival avec un gaz échappant de ...euuuh. Bref d'où l'odeur de souffre. Fausse piste, mécréant ! Je quittais mon buisson avec l'étrange sensation de me sentir observé par celui-ci. La branche sur laquelle je me tenais semblait provenir d'un sapin qui dégorgeait sa sève, car mes mains étaient toutes souillée. La texture et l'odeur qui en émanait me rappelait les folles nuits passées avec mon beau Sergent, un pied noir sorti de la pinède méditerranéenne , étrange... Je continuais mon enquête, et sur ma route j'entreprit de me laver les mains dans un petit tas de neige. P.A.R.F.A.I.T Allez hop trois belles boules dans les mains je vais vous la calmer l'allumeuse ! Et VLAN, dans ta face la limace ! Ne me remerciez pas d'avoir, bien évidemment, sauvé le Festival des Quatres Divinités. Et hop je m'enquille quelques délicieuses bières de Lalis pour fêter mon joli coup.
  19. Survolant le fier bastion des Au-Delà, une jolie mouette vint se poser sur le rebord de l’une des meurtrières. Deux trois coups de becs histoire de se remettre le plumage en place, le mode vision panoramique enclenché pour surveiller le moindre danger, puis ses poumons se gonflèrent pour s’apprêter à lâcher son plus beau rire moqueur : *Iiiikkkkkiikiikk* VLAAAM * kk….* Un magnifique : VOS G****** LES MOUETTES s’ajouta à une volée de plume. L’une d’elle tourbillonna à la recherche d’un innocent nez à chatouiller, qu’elle trouva rapidement grâce à l’immense aspiration générée par celui-ci. *AAATCHOUUUUUMMM * …. *Prrrrtttrtrtrrr* Saleté de pollen ! Pas moyen d’inventer une foutue potion contre ces éternuements… et puis à mon âge les troubles vésico-sphinctérien, difficile d’y échapper. Enfin est-ce vraiment à cause de mon âge ? Je devrais aller poser la question à Kara, il doit avoir le même genre de problème. Bon, maintenant que je suis réveillé, qu’est ce que je vais bien pouvoir faire pour occuper mon temps ? Aller plumer quelque-uns de ces ridicules volatiles multicolores ? Boarf, cette éternelle routine. Tout ça pour gagner de malheureuses piécettes. Si ce maudit Jackall pouvait me filer 2 ou 3 millions qu’il a sur le compte ça serait vite réglé cette affaire je vous l’dis. Bien décidé à rendre sa journée utile, le mage s’étira, mit les pieds en dehors de son lit, enfila sa magnifique toge et direction la sortie. Aaaaah cette bonne odeur de marécage ! Bon je vais me concentrer sur une nouvelle potion pour améliorer la puissance légendaires des magiciens. Voyons voir… de quoi aurais-je besoin. Mmmh, ah oui de genièvres, ça sert vraiment à tout ce truc ! Quelques cailloux sans valeur, une ou deux écorces grattées à mes compagnons. Voilà qui devrait faire l’affaire. *SPLITCH* SCHINDLER BORDEL, JE T’AI DEJA DIS DE NA PAS JOUER AVEC TA MORVE PAR LA FENETRE !! Mais c’est pas vrai, j’suis pas aidé j’vous jure. Mais, maIS, MAIS c’est quoi ce truc ?! Le mage trempa ses doigts dans ce qu’il pensait être le fluide nasal de son coéquipier. *Iikikiiiiiikkki Iikkkkkiiikk kkiiikkii* Toi le piaf là-bas ! C’est toi qui vient de te soulager sur ma tunique ? Si j’te choppe j’vais te farcir, et crois moi c’est pas toujours agréable ! Et puis d’abord t’es quoi comme piaf ? Une mouette ? Mais qu’est ce tu fous ici la dinde des mers ? *Iiikkkiikiiikkiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiik* Pardon ! Viens me le dire en face sale toucan mal rasé ! Ni une ni deux, le mage pris sa robe à son cou pour suivre la mouette qui s'était envolée. Oui parce que les mages sont lent sur ces terres, très lent, trop lent. C’est à cause de leurs longues robes, tout le monde le sait. Quoi et les rôdeurs ? Connais pas ce truc. Après une courte mais loooooongue course, le mage réussi à balancer un souffle, en espérant qu’il soit assez puissant, pour cuire ce pseudo stercoraire. AH BAH TU LA RAMENES MOINS MAINTENANT ! Grmmpf, y’a même pas de quoi bouffer là dessus. Puis le mage vit où est-ce qu’il avait atterri. A sa gauche une plage, un phare et d’autres mouettes. A sa droite quelques phoques bien gras, une légère odeur de poisson pourri, et… un tas de gros boulets, de quoi lui rappeler le fort des Au-Delà. Quand soudain un bruit sourd se mit à résonner : *TuDum TuDum TuDum* Quel était ce bruit ? *TuDum TuDum TuDum * Serait-ce son fidèle acolyte, l’éclopé Yaninho, qui l’avait suivi ? *TuDum TuDum TuDum* Serait-ce Hephaïstos qui tentait la danse de la poulpeuse afin de séduire ce beau mage ? *TuDum TuDum TuDum* Non, non, c’était bien le… oui le gout de l’aventure ! Le sang qui palpite, la veine sur le front prête à exploser, la baguette bien droite ! Le mage se dirigea vers l’entrée du phare, et s’écria : A moi les AD, car ensemble nous irons toujours plus haut, toujours plus loin, toujouuuuurs plus fooooooort !!! Enfin, l’euphorie du moment lui avait fait prononcer ces mots, mais il savait bien que ce n’était qu’utopie. Toujours plus fort, mouarf, reste à ta place le soigneur ! Avec un sillon de voilure bleuté, le mage disparu dans l’encadrure de la porte, bien décidé à venir à bout de ce phare.
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